Le gouvernement ment aux Français, l’énergie éolienne pollue et nous coûte trop cher!
Il n’est plus possible de voir la France défigurée de la sorte par des éoliennes coûteuses qui aggravent nos problèmes écologiques sans offrir la moindre solution!
REUTERS PHOTOGRAPHER / REUTERSLe gouvernement ment aux Français, l’énergie éolienne pollue et nous coûte trop cher!
En diffusant sur Envoyé spécial un reportage intitulé: « Éoliennes: le vent de la révolte », France 2 a dévoilé au grand jour l’exaspération généralisée des Français face à la politique agressive et coûteuse du gouvernement en matière d’installation d’éoliennes.
L’installation des aérogénérateurs est un échec écologique, une gabegie financière et un scandale démocratique. De plus en plus de dirigeants, en particulier à droite, découvrent que les lois qu’ils avaient votées après le Grenelle de l’Environnement et que nous avions combattues n’ont absolument pas tenu leurs promesses, bien au contraire.
Tout d’abord le coût financier de l’énergie éolienne s’est avéré exorbitant! Les subventions envisagées pour les seules six centrales éoliennes côtières, « offshore », ont été évaluées par la Commission de régulation de l’énergie (CRE) en 2017 à 40 milliards d’euros. Ces révélations ont contraint le gouvernement à une mauvaise renégociation avec les industriels maintenant le niveau considérable de subventions à 25 milliards d’euros sur 20 ans et 50 milliards sur 40 ans. A titre de comparaison, le projet d’EPR de Flamanville, décrié à juste titre pour sa mauvaise gestion, restera néanmoins bien plus rentable, en produisant à lui tout seul plus d’électricité pour 11 milliards d’euros sur 60 ans.
La Cour des comptes, dans un rapport de mars 2018, a souligné la faible efficacité du soutien à l’éolien terrestre tout en alertant sur son coût financier astronomique évalué à 4,4 milliards d’euros rien qu’en 2016 et anticipant un essor de ce montant compte tenu des engagements envisagés.
Toutes ces subventions cumulées contribuent pour une grande part à l’explosion de la facture d’électricité des Français qui a progressé de plus de 150 euros en dix ans à cause de la contribution au service public de l’électricité (CSPE) devenue hors de contrôle pour subventionner les énergies éolienne et photovoltaïque. En 2017, son montant total atteint 7 milliards d’euros et passera à plus de 10 milliards d’euros en 2022 pour produire moins de 10% de la consommation électrique!
Avec de tels niveaux de subventions il n’est pas surprenant que la mise en œuvre de la politique éolienne s’accompagne d’un fort développement de la corruption dans le domaine avec des condamnations d’élus pour prise illégale d’intérêt. Le Service central de prévention de la corruption (SCPC) avait déjà officiellement alerté les pouvoirs publics en 2014 sur ce phénomène massif. Espagne, Italie, Belgique, Hollande… aucun pays européen n’échappe à la corruption généralisée dans ce domaine.
Pire encore, ces projets s’imposent à des populations dont l’opinion défavorable est systématiquement bafoué. Or, non seulement les éoliennes détruisent le paysage, ruinent toute possibilité de développement touristique, fragilisent les métiers de la pêche, mais elles dévaluent du jour au lendemain l’ensemble de la valeur des biens immobiliser des habitants, injustement spoliés.
Dans de telles conditions, comment accepter que la France se soit donnée pour objectif de multiplier par trois son parc éolien quitte à supprimer les voies de recours des riverains?
Enfin, les éoliennes aggravent nos principaux problèmes écologiques.
Utilisation de terres rares extraites dans des conditions déplorables en Chine, déchets des éoliennes désinstallées non recyclables, bétonnage des sols et des mers, dégradation massive des paysages, les éoliennes dégradent notre environnement et le cadre de vie de nos concitoyens.
Les caprices du vent et l’impossibilité de stocker l’énergie éolienne obligent les fournisseurs d’électricité à compenser ces graves défauts par des centrales à charbon et à gaz très polluantes!
Ainsi la baisse de la production nucléaire en France depuis trois ans et la hausse de la production éolienne ont fait augmenter les émissions de CO2 du système électrique français de 20%!
Contrairement à ce qu’affirme la propagande gouvernementale, les éoliennes aggravent donc le réchauffement climatique alors que la France avait le mix électrique le plus décarboné des grands pays industriels, un comble!
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Publiée par Moteur Eau sur Lundi 3 décembre 2018
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Mar, 2019
L’Isère souillée par les eaux usées de Lactalis. / © DR
Installée sur la petite commune de Saint-Just-de-Claix, Lactalis deverse depuis des années ses eaux usées dans l’Isère qui se trouve en contrebas du site. Le groupe fromager souhaite construire sa propre station d’épuration, tandis que la mairie l’enjoint de se raccorder au réseau public.
Par Nathalie Rapuc / édition ARPublié le 20/10/2017 à 18:16 Mis à jour le 21/10/2017 à 15:40Sur la petite commune de Saint-Just-de-Claix, trois entreprises sont implantées depuis de nombreuses années sur les rives de l’Isère.
A l’origine en 1940, il s’agissait d’une seule industrie « l’Etoile du Vercors ». Elle a été divisée et revendue à trois groupes : Saint-Jean, Rians et enfin Lactalis (qui a gardé le nom du site).
Un réseau d’assainissement construit en 2014
En 2000, L’Etoile du Vercors demande un raccordement à un réseau d’assainissement. Entre temps, en 2011, Lactalis reprend la fromagerie.
Trois ans plus tard, en 2014, le réseau d’assainissement aux portes du site est terminé. Il a coûté 22 millions à l’intercommunalité.
En 2015, la PME Saint Jean investit près de 5 millions d’euros et se raccorde au réseau public d’assainissement. Elle est ensuite certifiée ISO 14 000 (performance environnementale). Pour son directeur, Guillaume Blanloeil, « Il n’y a aucune raison que dans un pays comme la France, de rejeter ses eaux usées dans le milieu naturel (…) C’est important d’être une entreprise responsable ».
Lactalis veut construire sa propre station d’épuration
De son côté, la multinationale Lactalis dépose des demandes de permis de construire auprès du maire de Saint-Just-de-Claix pour construire une station d’épuration autonome.
Permis successivement refusé par le maire qui souhaite préserver la zone agricole autour de l’usine ainsi que les riverains. D’autant que le réseau public est techniquement apte à traiter les eaux usées de l’Etoile du Vercors.
Suite à cette pollution, en septembre 2016, l’Etat met en demeure l’Etoile du Vercors de mettre fin à cette pollution et a lance une procédure de consignation à son encontre de plus de deux millions d’euros. Mais la préfecture ne peut contraindre Lactalis à se raccorder au réseau d’assainissement public.
Lactalis n’a pas répondu à nos sollicitations et n’explique pas pourquoi l’entreprise déverse depuis des années l’équivalent d’une ville de 10 000 habitants en eaux usée dans l’Isère qui se trouve en contrebas de l’usine.
Un bras de fer qui se poursuit
Pour sa part, le maire de la commune de Saint-Just-de-Claix souhaite toujours que la multinationale se raccorde au réseau public afin de participer aux frais de fonctionnement, et pour que le traitement des eaux usées reste sous le contrôle public.
La Frapna Isère, une association environnementale, a déposé plainte pour pollution des eaux en mars 2017.
En attendant qu’une sollution technique se concrétise, les eaux usées de la multinationale sont toujours déversées dans l’Isère.
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Mar, 2019
Des chercheurs belges développent un panneau solaire qui produit de l’hydrogène
L’équipe de Johan Martens, professeur de Chimie à la Faculté des bioingénieurs de la KUL, travaille depuis dix ans au développement d’un panneau solaire très spécial.Date de publicationvendredi 01 mars 2019 à 09h47 Source : RTBF
Panneau solaire produisant de l’hydrogène, développé par l’équipe du Professeur Martens – Johan Martens
Son principe : produire de l’hydrogène à partir de la vapeur d’eau présente dans l’air. Avec vingt panneaux, une famille devrait pouvoir être autonome en électricité et en chauffage pendant toute l’année.
La recette classique de production d’hydrogène nécessite de l’eau et de l’électricité. Environnementalement, on pouvait donc mieux faire. L’un des défis de ces dernières années était de produire de l’hydrogène d’origine renouvelable. C’est la grande avancée de cette invention louvaniste.
Ce qui existe déjà
Il existe par exemple déjà un immeuble autonome en énergie grâce à l’hydrogène à Nantes par exemple. Mais dans ce cas précis, des panneaux photovoltaïques produisent de l’électricité qui scinde la molécule d’eau en deux parties : l’hydrogène d’un côté, l’oxygène qui repart dans l’atmosphère. Quant à l’hydrogène, il peut être stocké et réutilisé comme électricité via une pile à combustible. La production d’hydrogène nécessite beaucoup d’énergie.
L’innovation apportée par des chercheurs de la KUL
Les chercheurs belges, eux, ont développé un procédé qui utilise de l’air plutôt que de l’eau. « L’air contient de l’eau, explique Tom Bosserez, bioingénieur à la KUL. L’air entre dans notre panneau. Au même moment, de l’énergie solaire arrive sur notre panneau solaire et transforme l’eau présente dans l’air en hydrogène qui ressort ici sur le côté ». L’avantage du procédé, c’est qu’il est utilisable même dans les parties du monde où l’on manque d’eau. « Vous avez seulement besoin de la lumière du soleil et de la vapeur d’eau , explique Johan Martens, professeur à la Faculté des bioingénieurs de la KUL. Et partout dans le monde vous avez de la vapeur d’eau dans l’air, même dans les endroits les plus secs au monde ».
Le panneau produit 250 litres d’hydrogène en moyenne par jour.
« Ensuite, vous devez stocker cet hydrogène dans un contenant pressurisé, comme vous le feriez avec du gaz naturel, explique Johan Martens. C’est comme du gaz naturel, sauf qu’on ne produit pas de gaz à effet de serre au moment où on l’utilise. Quand on utilise de l’hydrogène, cela recrée de l’eau. La particularité de notre invention, c’est qu’on produit de l’hydrogène au rythme du soleil, à des courants électriques beaucoup plus faibles. On optimalise donc chaque étape et on minimalise les pertes ».
Depuis que nos confrères de la VRT ont publié un article sur leur panneau solaire, ce mardi, Johan Martens est inondé de mails. Son téléphone n’a pas arrêté de sonner. Il reçoit notamment des marques d’intérêt de société commerciales qui se montrent intéressées par son panneau. » On avait un rêve, qu’on est en train de réaliser. On a vraiment le sentiment que notre panneau vient combler un manque. « .
Le panneau va être testé les deux à trois prochaines années, et le professeur Martens compte sur une commercialisation au terme de cette période d’essai.Odile Leherte
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Mar, 2019
2H30 DE CHARGE ET 23 EUROS POUR FAIRE 300 KM …
Image (c) Automobile-propre
Le très pro-électrique magazine Automobile Propre vient de réaliser un test grandeur nature du Kia e-Niro 64 kWh sur un trajet Paris Lille (220km) et en dresse le bilan …
Au delà des conditions du voyage que nous vous laissons découvrir à la lecture de l’article d’Automobile Propre , faisons un focus sur l’autonomie et les aléas rencontrés pour recharger le Kia….
Nos braves essayeurs sont partis de Paris avec un véhicule chargé à bloc et affichant une autonomie prévisionnelle de 477 km, permettant donc (théoriquement) de faire l’aller-retour. Ils rejoignent Lille à une vitesse moyenne de 96 km/h pour constater que vitesse et chauffage ont drastiquement réduit l’autonomie et qu’il ne reste que 90 km d’autonomie.
Il faut donc « faire le plein » pour pouvoir rentrer. Ils décident de repartir en direction de Paris afin de charger sur l’aire de Saint-Léger, à 57 km au sud de Lille, cette aire étant équipée d’une borne rapide Corri-Door censée délivrer jusqu’à 50 kW en courant continu. Arrivés sur place, il leur reste seulement 5% de batterie pour 15 km d’autonomie restante affichée. Mais la charge plafonne à 40 kW, elle va s’interrompre soudainement après avoir fourni seulement 1,9 kWh à la batterie de la Kia. Une seconde session de charge leur permet de récupérer 1,7 kWh de plus. Les appels auprès du gestionnaire de la borne ne parviennent pas à résoudre le problème. Après 4 sessions et seulement 7,3 kWh récupérés en plus d’une heure de manipulations, ils repartent pour terminer la charge sur une autre station. Ils doivent parcourir 75 km avec 26% de batterie pour atteindre l’aire de Ressons-Ouest qui dispose d’une borne du réseau Corri-Door. A 110 km/h sur l’autoroute, ils atteignent la borne avec des sueurs froides : le e-Niro est passé en « mode tortue » sur l’accès à l’aire. La vitesse décline très rapidement et soudainement la vitesse maximale plafonne à 15 km/h, permettant tout juste d’atteindre la borne : Il reste 1% et 1 km d’autonomie.
Heureusement, cette fois la borne fonctionne correctement et ils récupèrent 58 kWh en 1h20, permettant de rentrer à Paris. Le temps de charge totale s’approche de 2h30 … heureusement qu’il n’y avait pas d’attente à la borne et qu’ils n’avaient pas prévu un rendez-vous en soirée…
Le tarif de la recharge est particulièrement salé : via le Pass Chargemap, ils ont du acquitter 23,16 euros, pour les 300 km effectués entre le matin et la borne de recharge.
Ce coût porte l’usage de la Kia e-Niro 64 kWh au même niveau que son équivalent thermique essence, pour une source énergétique pourtant pas encore frappée de fiscalité.
Cette expérience met également en avant la problématique de la fiabilité des bornes de recharge et le coût de leur maintenance qu’il faudra bien supporter d’une façon ou d’une autre.
Enfin, elle pose aussi la question de la tarification très variable des différents opérateurs de réseaux de bornes et de leurs opérateurs commerciaux (ChargeMap, Sodetrel, Ionity …)
Photo d'illustration © Automobile Propre
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Publiée par Moteur Eau sur Lundi 3 décembre 2018
12 Fév 2018
A la Une , Communiqués , CRIIREM , En circonscription , Medias
Michèle RIVASI demande la mise en place d’un moratoire afin de répondre aux recommandations de la Cour des comptes.
Ce mercredi 7 février 2018, la cour des comptes a rendu un rapport à charge contre le compteur électrique LINKY déployé par ENEDIS. Ce rapport met en lumière les mensonges communiqués par ENEDIS pour justifier son compteur ainsi que les montages financiers utilisés :
ENEDIS annonce en effet que le coût d’investissement ne sera pas répercuté sur les factures des consommateurs. Or la cour des comptes montre aujourd’hui qu’il s’agit d’un dispositif « coûteux pour le consommateur mais avantageux pour ENEDIS ». Le financement est en réalité « assuré par les usagers » et les conditions de rémunération d‘ENEDIS sont « généreuses et doivent être revues ». Le compteur LINKY tel qu’il est proposé ne respecte pas la directive européenne de 2009 qui demande le déploiement d’un compteur permettant la participation active du consommateur. Dans le cadre de la transition énergétique il est important que le citoyen connaisse sa consommation en temps réel enfin de pouvoir la diminuer pour réduire à la fois sa facture et la demande nationale de production d’électricité. Les anglais proposent gratuitement à ceux qui le souhaitent un affichage dans l’habitation de la consommation en temps réel en MWH et en Euros. Or le LINKY ne propose pas d’affichage dans l’habitation, il ne propose pas non plus la consommation en temps réel et n’indique pas le montant en euros de sa consommation. Comme le dit la cour des comptes, les moyens mis en place « sont insatisfaisants ».ENEDIS annonce que les compteurs sont obligatoires et qu’on ne peut pas s’y opposer. Or la loi ne permet pas à ENEDIS de l’installer sans le consentement des usagers . ENEDIS a déjà été contraint par la justice à Grenoble et à Toulouse de ne pas installer le compteur LINKY et même de remettre l’ancien compteur chez des personnes opposées pour des raisons de santé.
Pour Michèle RIVASI, députée européenne : « La Cour des comptes montre aujourd’hui qu’ENEDIS a choisi ses propres intérêts financiers aux dépens de ceux des consommateurs. Ce compteur demandé par l’Union Européenne en 2009 aurait pu être un formidable outil de la transition énergétique et solidaire en permettant aux citoyens d’être actifs dans leur consommation d’électricité et ainsi de réduire leur consommation pour le bien de notre planète et de nos portefeuilles. ENEDIS, entreprise de service public, a agi pour son propre intérêt financier à l’encontre de celui des citoyens. La cour des comptes montre ici qu’ENEDIS est la honte du service public ! »
Michèle Rivasi demande à l’Etat de mettre en place un moratoire
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Fév, 2019
Les permis d’exploration minière menacent désormais 3000 km2 de forêt guyanaise
PAR NOLWENN WEILER 20 FÉVRIER 2019
Iamgold, Goldinvest, Sudmine, projet de la Montagne d’or… Depuis 2017, le gouvernement français ne cesse d’accorder de nouveaux permis d’exploration à des sociétés minières en Guyane. Au point que 300 000 hectares de forêts tropicales y sont désormais menacés de destruction, soit l’équivalent d’un département comme le Rhône. Une politique non seulement contraire aux engagements de la France, mais aussi combattue par les populations locales et par les ONG. « Il ne sert à rien de faire de nouvelles mines d’or , alerte pourtant un ingénieur. C’est une pure logique d’enrichissement des entreprises qui obtiennent ces concessions. »
Une partie de la Guyane va-t-elle se transformer en gruyère, au gré des forages et de l’implantation de sites d’extraction minière ? Depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement ne cesse d’accorder des permis d’exploration minière en Guyane. Dès le 27 juillet 2017, il autorise la société minière canadienne Iamgold à y rechercher de l’or, de l’argent, du cuivre ou du zinc. Le 17 novembre de la même année, c’est cette fois la société Goldinvest, filiale d’un groupe immobilier, qui se voit attribuer un permis similaire.
Depuis, la liste s’est encore allongée : le 8 août 2018, Iamgold obtient un autre permis exclusif pour la recherche d’or. Puis le 11 septembre, le ministre de l’Économie et des finances attribue le « permis de Kourou » à la société Sudmine, une petite holding basée dans le Loiret [1 ]. Il s’agit d’un permis de recherche concernant plusieurs métaux : le tantale (un minerai utilisé dans l’électronique), le niobium (un métal rare présent dans de nombreux alliages), le lithium (pour les batteries), le béryllium (pour l’industrie nucléaire), l’étain, le tungstène, le titane et l’or.
Un territoire grand comme le département du Rhône livré à l’exploration minière
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Fév, 2019
Le vélomobile : 80 fois plus efficace que la voiture électrique
Par Jean-Jacques Valette I Publié le 31 Mars 2015
À mi-chemin entre le vélo couché et la voiture de course, voici le véhicule propre par excellence. Équipé d’un habitacle et d’une assistance électrique, il pourrait concurrencer le vélo. Et même la voiture électrique… si la loi le permettait.
Le Raht Racer peut atteindre les 110 km/h avec son moteur électriqueRouler à vélo plutôt qu’en voiture : tout le monde est pour, mais qui le fait ? En pratique, le vent, la pluie et la proximité des autres véhicules ont souvent raison de nos convictions écologistes. Surtout quand il s’agit d’aller loin. Même aux Pays-Bas, paradis de la bicyclette, 77 % des trajets à vélo s’effectuent sur moins de 5 km et seulement 1 % sur plus de 15 km.
Alors qu’en France, 26 km séparent en moyenne notre domicile de notre travail, nos Titine seraient-elles donc irremplaçables ? Pas forcément. Un véhicule alternatif propre existe déjà et il ne requiert pas des millions d’euros d’investissement comme la voiture électrique. Ce véhicule, c’est le vélomobile. Venu d’Europe du Nord, il est apparu dans les années 1980 et n’a cessé de s’améliorer depuis. Cette étrange voiture à pédale est composée d’un vélo couché à trois roues, protégé par une coque aérodynamique.
Cette dernière réduit jusqu’à 30 fois la résistance de l’air. Ajoutez à cela le pédalage en position couchée, et voici que le cycliste dépense trois à quatre fois moins d’énergie qu’au guidon d’un vélo traditionnel. Cela lui permet de rouler sur de plus longues distances, mais aussi d’aller plus vite. Et ce, sans sacrifier au confort : la carrosserie le protège des intempéries et des collisions, alors que les trois roues lui assurent la stabilité.
Intérieur d’un vélomobile. Source velomobiel.nl
PEDALER A 40 KM/H
Un vélo-mobiliste sans entrainement peut ainsi atteindre facilement les 40 km/h sur du plat. Il n’est donc pas rare, dans le nord de l’Europe, de voir l’un de ces véhicules flashé pour excès de vitesse. Une source de fierté plus que d’amertume dans le petit monde des cyclistes. Cependant, ce tricycle a quelques défauts. Son prix tout d’abord : comptez entre 2 500 et 10 000 euros pour en acquérir un. Ce coût s’explique par une production encore artisanale et l’emploi de matériaux haut de gamme (carbone, kevlar, fibre de verre…). Un prix important certes, mais inférieur à celui d’une voiture et de son carburant. Vient ensuite son poids : pesant entre 24 et 40 kg, il est plus lent au démarrage et dans les côtes qu’un vélo classique. Voilà qui ne facilite pas son utilisation en ville.
80 FOIS PLUS EFFICIENT QU’UNE VOITURE ELECTRIQUE
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Fév, 2019
Assemblée : un député sort une banderole «La France tue au Yémen»
>Politique |P.R.|19 février 2019, 17h58|MAJ : 19 février 2019, 18h05|18
Sébastien Nadot a rapidement été sanctionné après avoir brandi sa banderole. AFP/Jacques Demarthon
Le député, secrétaire du groupe parlementaire France-Yémen, milite depuis plusieurs mois pour une commission d’enquête sur la vente d’armes aux belligérants du pays ravagé par la guerre.
« Monsieur Nadot, vous remettez immédiatement cette banderole aux huissiers ! Immédiatement ! », a scandé Richard Ferrand, tel un maître d’école. Mardi, le député de Haute-Garonne Sébastien Nadot a fait une incartade remarquée dans l’hémicycle, en brandissant une banderole sur laquelle était inscrite « La France tue au Yémen ».PUBLICITÉ
inRead invented by Teads
LCP ✔ @LCP
– @Sebastien_Nadot sort une banderole sur laquelle est inscrite « La France tue au Yémen ». Rappel au règlement de @RichardFerrand , les huissiers de l’Assemblée nationale interviennent. #directAN #QAG 119 16:05 – 19 févr. 2019 154 personnes parlent à ce sujet Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité
Le député, qui avait été exclu du groupe LREM en décembre 2018 pour avoir voté contre le budget 2019, a rapidement été recadré par le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand.
« M. Nadot, cette attitude non seulement interrompt inutilement la parole de notre collègue Meyer Habib, de surcroît je vous rappelle le règlement et ce sera également inscrit au procès-verbal », a-t-il déclaré.
Une commission d’enquête sur la vente d’armes au Yémen
Cette sanction privera le député d’un quart de son indemnité parlementaire pendant un mois, soit environ 1 331 euros, selon la plateforme Projet Arcadie .
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