Hydrogéne : Avantages & Inconvénients

Avec l’arrivée commerciale des premiers véhicules alimentés à l’hydrogène, de nombreux enjeux économiques et technologiques apparaissent. 


L’hydrogène, ou dihydrogène (H2), utilisé comme source d’énergie pour le transport peut sembler encore une idée farfelue pour le commun des mortels, mais l’annonce de Nexo, la prochaine génération de véhicules électriques alimentés à l’hydrogène, par le constructeur coréen Hyundai lors de l’édition 2018 du Consumer Electronic Show (CES), qui s’est déroulé du 9 au 12 janvier à LasVegas (états-Unis), et lamise en service des premiers vélos électriques à hydrogène en France, à Cherbourg et Saint-Lô, le 11 décembre dernier par la PME biarrote Pragma Industries, montrent bien l’essor de ce nouveau vecteur d’énergie.

Comme l’électricité, l’hydrogène est en effet perçu comme une énergie propre car il permet une utilisation de ressources variées et renouvelables. La production de H2 pur est issue de l’électro-yse de l’eau (H2O), selon la réaction suivante : H2O + énergie = 1⁄2 O2 + H2. Cela permet, par exemple, de valoriser les surplus de production d’électricité. Autres avantages de l’hydrogène, cette énergie se caractérise par une réduction des énergies fossiles et des gaz à effet de serre – les véhicules alimentés à l’hydrogène n’émettent que de la vapeur d’eau – et une production plus locale. Cela se traduit notamment par l’indépendance énergétique des pays, une meilleure valorisation des productions d’électricité locales en heures creuses. Et l’hydrogène présente même des avantages sur l’électricité : un stockage d’énergie plus simple, où le H2 est stocké sous pression, ce qui évite le recours à des batteries électriques, la réduction des coûts de transport, la production pouvant se faire sur site ou l’hydrogène pouvant être acheminé via des pipelines. Comme le H2 peut-être stocké de nombreuses façons et que les piles à combustible à hydrogène sont transportables et adaptables, il existe beaucoup d’applications potentielles, telles que les véhicules (voitures, bus, vélo), les générateurs d’électricité indépendants, les batteries de téléphone, etc.

AP2E EST IMPLIQUÉ DANS DEUX PROJETS EUROPÉENS




Mais tout n’est pas parfait. De par leur fonctionnement, les piles à combustible à H2 sont notamment sensibles aux impuretés de l’hydrogène, d’où un impact sur la qualité et les performances des piles (même en présence d’impuretés à l’état de trace) et, au-delà, un problème de responsabilité qui peut se poser. En cas de défaillance, à qui incombe la faute : au fabricant des piles à combustible ? Au gazier ? Au fabricant du véhicule ou de la station de H2 ? A l’utilisateur final ? Parmi les autres enjeux liés à l’hydrogène, on trouve également l’aspect normatif car, même s’il existe des normes européennes, elles sont aujourd’hui obsolètes. Il y a donc pas mal de choses qui bougent sur ce secteur.

L’hydrogène a-t-il un avenir ?


La voiture à hydrogène, on nous la promet depuis belle lurette. Bien que de rares modèles sortent çà-et-là, cette technologie est vue comme une alternative à l’électrique voire son remplacement à long terme. Quelle est son histoire ? Comment fonctionnent les fameuses pile à combustibles et comme produit-on l’hydrogène ? Quels sont leurs avantages et les freins à son développement ? 

 

Le 1er juin 2018, la conférence de presse des 24 Heures du Mans a surpris le monde de la course automobile.Plutôt que des batteries longues à charger, l’ACO a préféré introduire une catégorie hydrogène pour 2024 où six constructeurs seraient déjà intéressés selon le président Pierre Fillon. Malgré l’échec de la GreenGT H2 (forfait en 2013), est-ce un signe que l’hydrogène est enfin une énergie d’avenir en auto ? Avant cela, focus sur sa fabrication et comment il propulse.

Comment fonctionne une voiture à hydrogène ?

Bien que de nombreux prototypes aient utilisé l’hydrogène directement dans des moteurs à combustions interne, la solution aujourd’hui utilisée est celle de la pile à combustible (PAC), ayant plus d’autonomie tout en étant moins bruyante. Il en existe plusieurs types, dont le plus populaire « alcaline » et la PEMFC (membrane à échange de protons) ici employé sur les véhicules. C’est un système lourd à embarquer mais en réalité très simple de fonctionnement. La PAC utilisée dans une voiture nécessite du combustible hydrogène (précisément du gaz dihydrogène ou H2), stocké sous forme liquide  à -253°C dans des réservoirs à haute pression de 350 ou 700 bars (soit 3 à 6 kg par unité), sécurisés par une enveloppe en fibre de carbone. Elle entraîne une réaction chimique ayant pour formule 2H2 + O2 = 2 H2O, donc a besoin d’hydrogène mais aussi d’oxygène, ce qui explique les grandes aérations à l’avant des véhicules comme pour un moteur thermique. La réaction génère de l’électricité, envoyée directement dans le moteur électrique, et de l’eau pure sortant via un petit tuyau d’échappement. On vous épargnera le coup du verre d’eau, et pas d’inondation à prévoir ni de cycle de l’eau brisé car on parle ici de moins d’un litre par kilomètre. Pour être plus visuel, rien de mieux que la PAC de la Toyota Mirai :

A noter que des batteries, alimentées par la PAC, sont toujours présentes afin de supporter les accélérations franches et le démarrage. Cependant, avec l’amélioration des puissances développées (il faut au moins 150 ch pour bouger les 1,8 à 2 tonnes des véhicules), elles se réduisent : si la Hyundai ix35 gardait encore un bloc de 24 kWh en 2014 (= première Nissan LEAF), la Toyota Mirai n’a besoin que d’une capacité de 1,5 kWh,


Bien que la PAC prenne une place conséquente dans un châssis automobile, elle offre de sérieux avantages par rapport aux véhicules électriques actuels. Elle stocke davantage d’énergie en autorisant des autonomies plus élevées (600-800 km contre environ 400 km), surtout chez les camions (1 900 km pour un Nikola One vs 800 km pour le Tesla). Également, le plein d’hydrogène est plus rapide qu’une recharge (moins de 5 minutes contre 45 minutes à plusieurs heures) et la technologie nécessite moins de matériaux compliqués à récolter/recycler tels que le lithium ou le cobalt. En revanche sur ces points, la technologie hydrogène est mise sous pression : l’électrique va rapidement adopter des batteries plus capacitives et plus véloces à recharger.


Le point noir de l’hydrogène est son coût, les voitures étant encore peu répandues donc chères (une Mirai coûte 3 fois plus qu’une berline équivalente), à cause du platine nécessaire à la réaction, et un plein tarifé environ 50 euros. Aussi, l’infrastructure est inexistante (25 stations en France) bien que la perspective de déploiement du réseau soit facile via les stations actuelles et non via un total réseau de bornes.

D’où vient l’hydrogène ?

L’hydrogène (H) est l’élément le plus commun de l’univers, car le plus simple chimiquement (1 seul électron autour du noyau), et est donc le plus présent sur notre planète Terre. Or, cela peut sembler bête, mais il n’existe quasiment pas à l’état naturel. L’hydrogène n’est trouvable que dans des molécules plus complexes, qu’il faut casser afin de l’extraire. Si cela semble obscur, c’est un peu le syndrome du marin assoiffé en plein océan : il est bien entouré d’eau, mais son besoin est en eau douce, qu’il doit extraire afin de la séparer du sel. Il faut donc produire de l’hydrogène, précisément dans sa forme « dihydrogène » ou « H2 ».

Comme il est présent dans de très nombreuses molécules, l’hydrogène est extractible de différentes manières, mais sa production est actuellement pour 95% à base d’énergies fossiles.


La plus commune est le reformage de gaz naturel ou vaporeformage (méthane ou CH4), l’autre étant de la gazéification d’une biomasse (charbon de bois en général). Ces méthodes sont cependant productrices de gaz à effet de serre, respectivement de dioxyde de carbone (CO2) et de monoxyde de carbone (CO). La seconde a par contre l’opportunité de devenir entièrement renouvelable, en reproduisant au fur et à mesure la biomasse, mais elle aura également besoin de capter le carbone pour devenir « verte ».

Enfin, un troisième procédé plus « propre », l’électrolyse de l’eau, reprend le principe de inversé de la pile à combustible : eau = hydrogène + oxygène. C’est une alternative peu répandue (1% de la production) plus chère en raison d’une demande forte en électricité, et davantage dans le cas de l’électrolyse PEM (membrane à échange de protons) plus adaptée aux variations des énergies solaires/éolienne. C’est paradoxal, mais il faut donc de l’électricité pour produire l’hydrogène qui produira l’électricité, mais il faut bien stocker l’énergie quelque part. Une PAC aura de toute façon plus d’avantage qu’une batterie, car à la densité énergique plus élevée.D’autres types de production plus expérimentaux existent tels la photosynthétisation de microbes ou d’algues, la photoélectrolyse et la décomposition thermochimiqiue de l’eau à haute température (900°C).

Générateur d’hydrogène via électrolyse par Areva H2Gen


Si l’utilisation d’une voiture à hydrogène et de sa PAC est propre sur la route, son bilan global devient moins « vert », et très variable selon la méthode de production, comme pour les voitures électriques à batteries. Ces derniers auront dans TOUS les cas des émissions de CO2 globales bien supérieures, tout en sachant que les émissions sont isolées, et sans parler des particules ou NOx, inexistants lors de la production et de l’utilisation de dihydrogène.

Quel avenir ?

Les modèles ne pullulent pas malgré une technologie éprouvée. Hyundai a présenté son séduisant NEXO, mais il rejoint une famille se comptant en 2018 sur les doigts d’une main. La faute au prix (80 000 euros en Europe pour une Mirai), et au manque d’infrastructure.

 




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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

 

Faites tourner votre Moteur… à L’eau !

créer de l’électricité aussi “simplement et librement que lorsque fait pousser des tomates sur son balcon”.

Reliez cette box à un vélo ou un panneau solaire pour fabriquer votre propre énergie

Reliez cette box à un vélo ou un panneau solaire pour fabriquer votre propre énergie

© © Skavenji



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INNOVATION – Et si on pouvait produire simplement son électricité à domicile ? C’est le défi que vous lance Gael Desperriès avec cet appareil made in France.

Imaginez pouvoir créer votre propre énergie, à domicile, sans avoir à installer des panneaux photovoltaïques sur votre toit ou une éolienne de jardin de plusieurs mètres de haut dans votre jardin.

Désormais, c’est possible, grâce à cet appareil mis au point par un entrepreneur niçois : la box Skavenji. Il suffit de brancher la brancher sur un petit panneau solaire, une petite éolienne maison ou même un vélo générateur pour recharger de petits appareils qui ne demandent pas beaucoup d’énergie tel qu’un ordinateur portable.


“En tant que citoyen, je me suis rendue compte que c’est important de choisir la manière dont on consomme l’énergie”, explique Gael Desperriès, le créateur de Skavenji.

Même si cette box ne permet pas d’être autonome en énergie, puisqu’elle ne fournit que 150 à 200 watts-heures, mais c’est un premier pas pour utiliser les énergies renouvelables : “Il faut changer les mentalités face à nos dépendances énergétiques”, estime Gael Desperriès.

© Skavenji

Pour lui, cette box permet de créer de l’électricité aussi “simplement et librement que lorsque fait pousser des tomates sur son balcon”.


Comment fonctionne Skavenji ?


Un panneau solaire, pouvant produire jusqu’à 50 watts-heures, est déjà fourni avec la box. Celle-ci récupère l’énergie produite et permet de recharger des appareils électroniques. Il est également possible de brancher un panneau solaire plus puissant.

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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

 

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Chrysalis Transforme le Plastique en Diesel

Sauvons la Méditerranée : un prototype qui transforme le plastique en carburant présenté à Antibes par Samuel Le Bihan

Chrysalis, un prototype présenté sur le port d'Antibes, face à la Méditerranée polluée par des plastiques. / © J.C. ROUTHIER
Chrysalis, un prototype présenté sur le port d’Antibes, face à la Méditerranée polluée par des plastiques. / © J.C. ROUTHIER


Samuel Le Bihan est connu comme comédien, mais il est aussi engagé pour la protection des océans. Fondateur de l’association Earthwake, il a présenté une machine pour revaloriser les déchets plastiques. Explications.


Par Catherine Lioult  

Les plastiques asphyxient la mer Méditerranée. Ils représentent  95 % des déchets sur les plages et en surface de la Méditerranée.

Le plastique se délite et se retrouve dans la chaîne alimentaire. / © France 3 Côte d'Azur
Le plastique se délite et se retrouve dans la chaîne alimentaire. / © France 3 Côte d’Azur

Et si ces déchets se transformaient en carburant ? Pour Samuel Le Bihan, comédien et fondateur de l’association Earthwake, c’est chose possible. Depuis trois ans, une machine est à l’étude. Le prototype a été présenté ce lundi à Antibes. La machine s’appelle Chrysalis et le principe est simple :  inventée et développée par un technicien
salarié de l’association, elle est déjà capable de traiter un kilo de plastique par heure et de fournir ainsi de 500 à 600 grammes de gazole.

Samuel Le Bihan, en direct dans le Midi Pile de ce lundi 10 septembre :

Samuel Le Bihan présente un prototype censé transformer le plastique en diesel à Antibes





Le comédien était en direct dans le Midi Pile de France 3 Côte d’Azur pour expliquer son engagement. – France 3 Côte d

Le principe est simplissime : une fois broyé, le plastique est chauffé à haute température puis distillé. De l’eau pour le refroidissement et une petite alimentation électrique sont également nécessaires au processus. Le diesel est quant à lui récupéré comme carburant pour un moteur de bateau, de voiture ou pour un générateur.

Une machine plus grande pour traiter les plastiques sur place


L’étape suivante consiste à fabriquer une machine plus grande, de la taille d’un demi-container, qui serait transportable sur une zone polluée. Elle pourrait traiter 70 kg de déchets par heure, explique Samuel Le Bihan, qui estime à 50.000 euros le coût de fabrication d’une telle installation et son amortissement à moins d’un an.




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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

un monstre de pollution ?

Antoine de Saint-Exupéry : le plus gros porte-conteneurs français est-il vraiment un monstre de pollution ?

Le CMA CGM Antoine de Saint-Exupéry
© CMA CGM – Licence : Tous droits réservés


Avec l’essor de la mondialisation, les échanges internationaux de marchandises s’effectuent principalement via des porte-conteneurs, des bateaux de transport colossaux qui sillonnent les océans et mers du globe pour approvisionner le monde entier. C’est ainsi que le groupe CMA CGM vient d’inaugurer le plus gros porte-conteneurs au monde battant pavillon français. Si le transport maritime est encore le moins polluant, les grands médias l’ont accusé d’être un pollueur considérable. Info ou intox ?


Jeudi 6 septembre, le plus gros porte-conteneurs au monde battant pavillon français, le « CMA CGM Antoine de Saint-Exupéry » a été inauguré au Havre. Ce premier navire d’une série de trois fait partie des 10 plus gros bateaux du monde et pour cause, ces caractéristiques sont impressionnantes :

  • longueur : 398 mètres , c’est plus que 4 terrains de football ;
  • largeur : 59 mètres ;
  • une poussée équivalente à celle de 10,5 réacteurs d’Airbus (3 000 KNewton) ;
  • il peut contenir 20 600 conteneurs, qui alignés, forment une chaîne de 123 kilomètres.

détaille le constructeur français CMA CGM.Ce porte-conteneurs est un véritable rouage de la mondialisation puisque 90 % des échanges de marchandises transitent maintenant au moins une fois par la mer que ce soit les biens fabriqués en Asie (dont en Chine) ou les produits alimentaires importés (fruits exotiques) et exportés (céréales, viande…).

Le « CMA CGM Antoine de Saint-Exupéry » renforcera la plus longue route maritime du monde qui relie l’Asie à l’Europe du Nord : la French Asia Line 1.
Il effectue sa boucle en 84 jours : en partance de France, il exportera vers l’Asie (et principalement la Chine) des produits français (parfum, bateaux, rames de métro, vin, viande de porc…) ; puis il se chargera en biens de consommations manufacturés asiatiques à destination du marché européen.

Symbole de la mondialisation, le « CMA CGM Antoine de Saint-Exupéry » n’a pas été construit en France mais sur le chantier philippin Hanjin Heavy Industries & Construction Philippines de Subic Bayaux.

Le « CMA CGM Antoine de Saint-Exupéry », une pollution effarante ?

Avec de telles dimensions, l’énergie nécessaire pour mettre en mouvement ce navire est considérable. Si le groupe CMA CGM souligne que son nouveau mastodonte bénéficie des meilleures technologies disponibles pour diminuer sa pollution, les grands médias ont avancé des chiffres ahurissants sur ses émissions de CO2. « Le Saint-Exupéry carbure au fuel lourd et émettrait autant de CO2 que 55 millions de voitures, » ont déclaré France 2, Sud-Ouest et d’autres médias qui ont diffusé ce chiffre insensé : une fake news de plus pour les grands médias

Saint-Exupéry : le monstre des mers qui émet autant de CO2 que 55 millions de voitures !

 


Ce mastodonte des mers est une hérésie aussi bien technologique qu’économique qui démontre à quel point la société moderne est animée d’une volonté suicidaire stupéfiante. Vouloir à ce point polluer l’atmosphère et les mers en rejetant des  déchets équivalant à ceux de 55 millions de voitures relève de la psychiatrie. Au niveau économique c’est bien pire puisqu’il est question de vendre la camelote chinoise en Occident et donc condamner les peuples européens au chômage, après bien sûr avoir délocalisé toute leur industrie et leur savoir-faire ! Bref, nous assistons à un véritable suicide aussi bien sanitaire qu’économique et nos élites applaudissent des deux mains ce qu’elles considèrent comme une prouesse ! Il va sans dire que nous subissons les derniers outrages de la modernité à travers le règne de la quantité tel qu’annoncé dès 1945 par le grand penseur français  René Guénon dans son ouvrage mémorable Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps. 


Jeudi 6 septembre, le « Saint-Exupéry », le plus gros porte-conteneurs français a été inauguré.

Un navire que Nicolas Hulot avait pointé du doigt le jour de sa démission.


Dans le port du Havre (Haute-Normandie), le Saint-Exupéry fait figure de monstre des mers avec ses dimensions qui battent tous les records du monde. Il fait 400 m de long soit quatre terrains de foot, et a une capacité de plus de 20 000 conteneurs, soit 123 km mis bout à bout (la distance entre Paris et Orléans). Ce bateau doit transporter des tonnes de marchandises alimentaires, mais aussi des bateaux et des métros jusqu’en Asie. À côté de ce géant, un Airbus a l’air d’une miniature. La salle des machines est aussi grande que Notre-Dame-de-Paris et le moteur diesel aussi haut qu’un immeuble de cinq étages.

Autant de C02 que 55 millions de voitures

Derrière la prouesse technologique, le bateau est aussi un pollueur des mers.


Une situation dénoncée par Nicolas Hulot le jour de sa démission. « C’est une superbe performance technologique, mais est-ce bon pour la planète ? La réponse est non », a-t-il déclaré au micro de France Inter. Le Saint-Exupéry carbure au fuel lourd et émettrait autant de CO2 que 55 millions de voitures.


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France Télévisions

 

 

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le Portugal a généré 143 % de son électricité à partir des renouvelables

Le Portugal dépasse les 100% d’énergie renouvelable


Les barrages portugais ont fourni 55% de l’électricité du pays en mars. [Shutterstock]

En mars, le Portugal a produit plus d’énergie renouvelable qu’il n’en a utilisée. Mais le surplus d’énergie n’est pas utilisé, faute d’interconnexion entre le pays et le reste de l’Europe.

L’augmentation des capacités renouvelables est l’un des points clés de l’Union de l’énergie. Au mois de mars, le Portugal s’est plusieurs fois servi de la production propre, principalement éolienne et hydraulique, pour répondre à la totalité de ses besoins électriques.

Selon le gestionnaire du système de transmission, REN, la production d’électricité renouvelable a atteint 4 812 GWh en mars, soit plus que leurs besoins, qui se sont élevés à 4 647 GWh. Au total, cela équivaut à une production de renouvelable de 103,6 %, plus que le record précédent, 99,2 %, en février 2014.

Un nouveau record d’autant plus frappant qu’en mars 2017, les renouvelables n’avaient fourni que 62 % de l’électricité portugaise.


Claude Turmes, eurodéputé luxembourgeois Vert, s’est félicité de ces progrès « impressionnants », qui prouvent selon lui que l’UE devrait hausser son objectif en termes de renouvelables, actuellement fixé à 27 % d’ici 2030.

Des négociations à ce sujet sont en cours entre le Parlement, la Commission et les États membres. Les eurodéputés voudraient que l’objectif soit revu à la hausse pour atteindre 35 %, alors que l’exécutif et le Conseil rechignent à s’avancer au-delà de 27 %, malgré la baisse des prix de l’énergie propre.

La Commission pourrait cependant encourager le Conseil à trouver un compromis. Elle a en effet indiqué récemment qu’un objectif à 30 % serait tout à fait atteignable.


Selon l’association portugaise pour l’énergie renouvelable (APREN) et l’ONG ZERO, la production énergétique du mois de mars se traduirait par un « manque à émettre » de 1,8 million de tonnes de CO2 et une économie de 20 millions d’euros de quotas d’émissions.

Les énergies fossiles et les importations ont encore dû assurer la stabilité des réseaux pendant certaines heures, mais ces périodes ont été équilibrées par un surplus de production verte à d’autres moments.

En ce qui concerne le prix de l’électricité, c’est aussi une bonne nouvelle, puisqu’il devrait avoir chuté de 43,94 euros par MWh en mars 2017 à 39,75 euros par MWh cette année.

Isolement énergétique

Les efforts de décarbonation portugais sont toujours plus couronnés de succès, mais la place du pays, aux confins de l’Europe et avec l’Espagne comme seul voisin, pourrait freiner le développement de son énergie propre.

Les interconnecteurs, et en particulier les câbles électriques, sont un élément essentiel de l’Union de l’énergie pour assurer un vrai marché unique de l’électricité. Ils permettent en effet de faire circuler les surplus produits d’un État à l’autre en fonction de la demande.


Une fonction particulièrement importante pour le renforcement des capacités renouvelables, par définition instables et dont les possibilités de stockage sont encore insuffisantes.

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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

 

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Transformer La pluie en électricité

BIENTÔT UN PANNEAU SOLAIRE HYBRIDE QUI FONCTIONNE SOUS LA PLUIE ?

panneau-solaire-hybride

Les scientifiques asiatiques travaillent à la mise au point d’un panneau solaire hybride capable de fonctionner même sous la pluie. Une telle innovation serait un moyen efficace de rendre les panneaux photovoltaïques encore plus performants.

INNOVATION : UN PANNEAU SOLAIRE QUI FONCTIONNE SOUS LA PLUIE ?

bubble-clean-clear-339119Les panneaux solaires séduisent chaque année toujours plus de consommateurs et d’entreprises dans le monde entier. Pourtant des freins ont toujours bridé l’intérêt envers ces panneaux car l’énergie solaire est par définition intermittente. Pour contrer l’apport en énergie ponctuel des panneaux solaires, des chercheurs de l’Université de Soochow en Chine ont créé un panneau solaire hybride. Ce dernier génère aussi bien de l’électricité en étant exposé au soleil que sous la pluie.

Comment exploiter l’énergie de la pluie ?

Cela peut paraître invraisemblable, la pluie qui fait baisser la production d’énergie des panneaux solaires pourrait devenir leur alliée. Pourtant en 2013, l’association des professionnels de l’énergie solaire publiait les résultats d’une étude qui mesurait la dégradation de la production d’énergie des panneaux solaires en cas de pluie avec un constat sans appel. La production d’énergie baissait de 90% en temps de pluie, ce qui posait la question de la nécessité d’implanter des panneaux solaires dans les régions où le taux d’hygrométrie est élevé.

 

En 2016, des chercheurs chinois de l’université de l’Océan et de l’université de Yunnan ont donc tenté de contourner le problème en exploitant l’énergie de la pluie pour augmenter le rendement des panneaux solaires. Bien que cette première expérience n’ait pas eu le succès escompté en terme de rendement, les chercheurs ont ouvert la voie à de futures recherches car cette expérience a mis en lumière le potentiel de la pluie pour valoriser la production d’énergie.

Ainsi, 2 ans plus tard, une nouvelle équipe de chercheurs chinois de l’université de Soochox s’est constituée avec comme objectif de créer le premier panneau solaire hybride. Pour cela, elle s’est basée sur la technologie du nano générateur triboélectrique, qui possède un principe simple : générer de l’énergie grâce à la friction de deux matériaux.

Transformer une goutte de pluie en électricité

Pour produire de l’énergie, les chercheurs ont recouvert les panneaux solaires d’un polymère transparent, un matériau issu du carbone. C’est la friction entre les gouttes d’eau et ce matériau qui produit le courant.

D’après les premières observations des chercheurs, ce système améliore le rendement du panneau solaire. Contrairement à la première équipe, l’équipe de Soochow a bien pris en compte les contraintes d’une production industrielle pour son panneau solaire hybride. L’innovation devrait donc être fabriquée en série prochainement. Toutefois, avant de lancer sa fabrication, l’équipe doit encore réaliser des tests en conditions réelles pour valider le rendement du panneau.

Sources de l’article :

https://lenergeek.com/2018/04/26/panneau-solaire-hybride-pluie/
https://www.novethic.fr/actualite/energie/energies-renouvelables/isr-rse/innovation-des-panneaux-solaires-qui-fonctionnent-sous-la-pluie-145797.html

En 2016, des chercheurs chinois de l’université de l’Océan et de l’université de Yunnan ont commencé à s’intéresser à la pluie comme facteur d’augmentation du rendement des panneaux photovoltaïques. Pour cela, ils ont étudié les propriétés électro-chimiques de l’eau de pluie. Pour cette première tentative, les chercheurs ont conçu des panneaux solaires en graphène, qui est un matériau très conducteur. Grâce au graphène, l’eau adhère à la surface des panneaux solaires, et un condensateur à deux couches permet de générer de l’électricité grâce à une réaction chimique.

Malheureusement, cette première expérience n’a pas eu le succès escompté. Car si l’expérience a mis en lumière le potentiel de la pluie pour valoriser la production d’énergie, le rendement effectif s’est avéré trop peu élevé pour que l’idée soit viable. De plus, les coûts de production liés à l’utilisation du graphène, un matériel encore récent et trop cher, rendaient inenvisageable une production à échelle industrielle. Pourtant, l’idée d’un panneau solaire hybride était née.

Le 1er panneau solaire hybride chinois

Pour faire de cette idée une réalité, une nouvelle équipe de chercheurs chinois s’est constituée au sein de l’université de Soochow. Elle a travaillé à la mise au point du premier panneau solaire hybride qui reprend les principes du TENG. Le TENG est le nom donné à la technologie du nanogénérateur triboélectrique. Son principe est relativement simple : il s’agit de générer de l’énergie grâce à la friction de deux matériaux.

Leur prototype se compose de trois couches. A la base, on retrouve une couche de polymère texturé ; il doit servir d’électrode commune au TENG et aux cellules photovoltaïques en silicium du panneau solaire. Entre la couche de base et la couche inférieure, les chercheurs ont intercalé un mélange de deux polymères. La couche supérieure se compose d’un polymère transparent, ce qui permet à la lumière du soleil de passer et d’être captée par les cellules photovoltaïques. Lorsque des gouttes d’eau tombent sur la surface du panneau, leur friction avec la couche supérieure permet de produire de l’électricité. Grâce à ces trois couches, le panneau solaire hybride peut continuer à produire de l’énergie grâce à la lumière du soleil. Mais la couche protectrice permet également d’imperméabiliser le panneau : il est protégé en cas de pluie et peut continuer à produire de l’énergie.

D’après les premières observations de l’équipe chinoise, la couche supérieure du panneau de test a une autre incidence : elle augmente la surface du panneau en contact avec la pluie, ce qui améliore le rendement du panneau solaire. Contrairement à la première équipe, l’équipe de Soochow a bien pris en compte les contraintes d’une production industrielle pour son panneau solaire hybride. Il devrait donc être facile à fabriquer en série. Toutefois, avant de lancer sa fabrication, l’équipe doit encore réaliser des tests en conditions réelles pour valider le rendement du panneau.

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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

le projet d’éolienne low cost en kit

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Quatre astuces pour fabriquer son électricité soi-même !



Produire une énergie propre pour recharger son téléphone, son tapis roulant, voire sa maison toute entière ne nécessite pas d’avoir un Bac+12. Quelques mouvements toniques et un peu de bon de sens feront très bien l’affaire ! Voilà 5 achats malins pour du courant vraiment alternatif.

La batterie du marcheur.


Pour ceux qui n’ont pas de quoi investir dans un tapis roulant, il y a Go Kin. Cette petite batterie portable se glisse dans votre sac à dos etproduit de l’énergie grâce aux mouvements effectués. Ainsi, plus vous bougez et plus la batterie contenue dans votre sac se remplit. Un compagnon idéal pour le randonneur contemporain qui a besoin de recharger son smartphone, son appareil photo, son GPS, sa torche USB, on en passe et des meilleurs. Emmanuel Macron likes this.

Le générateur du flemmard.

Soyons honnêtes : vous n’aimez pas la marche à pied… Bon, on ne vous juge pas, d’ailleurs il existe une solution pour vous : HandEnergy. À l’instar du sac Go Kin, elle fonctionne lorsque vous vous déplacez, mais sa petite taille permet de l’avoir en main à tout moment. Ainsi, vous pouvez la secouer lascivement tout en regardant la télévision, dans le bus (évitez de regarder les gens en même tempsn vous pourriez avoir des réactions bizarres) ou en faisant la queue au resto. L’engin se charge comme par magie et sert à recharger les appareils habituels, téléphones, tablettes, … Tout se connecte à un port USB, pour 70 euros, ça va aller ?

L’éolienne à 30 euros.

Un peu plus ambitieux ?


Pourquoi ne pas produire de l’électricité pour votre maison toute entière ? Le projet d’éolienne low cost en kit de Daniel Connell se pose en super défi en la matière.Lui qui a participé à l’aventure innovante DIY « POC21 » en 2015 vous propose de construire une éolienne à six pales grâce à des matériaux de récupération et un tutoriel vidéo en une cinquantaine d’étapes. L’objet peut délivrer un kilowatt sous un vent de 60 km/h, soit l’équivalent de l’énergie pour jouer cinq heures de PS4, regarder 29 films sur DVD ou se faire griller cent tartines. Chaud ?

 

Les enfants aussi ont le droit à leur énergie gratuite.


Quoi de mieux qu’apprendre en s’amusant ? L’entreprise QMod Energy a créé « Block », un boîtier qui permet aux enfants de produire de l’électricité grâce à tout ce qui les entoure : plantes, fruits et légumes, petits objets électroniques, etc. L’idée est de se familiariser avec ces notions, mais aussi d’inventer soi-même des petits objets alimentés directement grâce aux 5 volts produits par leurs trouvailles. Un moyen sans danger d’ouvrir l’imagination de la génération de petits loups qui inventera les solutions pour vivre dans un monde plus vert.

Le tapis roulant auto-alimenté.


Dépensez des calories mais pas d’argent, voilà la promesse d’EcoMill Treadmill, un tapis roulant écolo qui ne requiert aucune électricité si ce n’est celle que vos efforts produisent. Et pas besoin de courir comme un dératé, EcoMill fonctionne aussi en marchant. Vrai bijou de technologie, son ergonomie permet même de griller 30% de calories de plus que sur un tapis classique. Idéal pour les allergiques à la salle de fitness et aux factures d’électricité salées ! Vous êtes à quelques foulées de l’autonomie énergétique pour un investissement initial de 9 900 euros ! Hum, oui, bon, la gratuité prend du plomb dans l’aile…


N’empêche qu’en courant chaque matin vous allez résilier votre abonnement au réseau électrique.

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transforme le plastique en carburant

Une nouvelle machine qui transforme le plastique en carburant inventée par un Azuréen


Le comédien Samuel le Bihan est connu pour son implication environnementale. Le fondateur de l’association Earthwake a présenté le 10 septembre 2018 un prototype d’une machine qui va permettre la valorisation du plastique afin d’éviter que ces déchets se retrouvent dans l’océan.


Regardez la vidéo afin de découvrir comment fonctionne cette machine et les applications qui lui sont destinées :


TRANSFORMER DU PLASTIQUE EN CARBURANT EST DÉSORMAIS POSSIBLE

Par CNEWS – Mis à jour le Publié le 

L’association EartWake a dévoilé lundi 10 septembre à Antibes, le prototype d’une machine capable de transformer le plastique en carburant.


Cette machine a été inventée et développée par Christopher Costes. Son fonctionnement est très simple, il suffit de ramasser quelques déchets plastiques réduits en paillette et ensuite de les verser dans la machine. La machine va chauffer à 350 degrés le plastique et on obtient du diesel et de l’essence. Présentée par le comédien Samuel Le Bihan, la machine Chrysalis est capable de transformer un kilogramme de déchet plastique en 600g de diesel et 250g d’essence en 30 minutes.

Les carburants obtenus sont utilisables dans des moteurs de bateaux, de voitures ou de générateurs. L’objectif maintenant est de créer une machine plus grande d’ici quelques mois pour traiter 70 kilos de plastiques par heure afin de l’envoyer sur une zone polluée. Cette machine a été pensée pour lutter contre la pollution de la mer.


 

C’est sur le port d’Antibes que l’équipe de Earthwake a présenté le prototype. C’est Christofer Costes, employé de l’association et résident des Alpes-Maritimes, qui a inventé cette machine baptisée Chrysalis.

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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

 

Faites tourner votre Moteur… à L’eau !

Glyphosate, La Bretagne Championne

L’organisation interprofessionnelle des apiculteurs estime à 16 900 le nombre de ruches mortes cet hiver en région Bretagne. Sur 59 000 au total ! Beaucoup se demandent pourquoi les apiculteurs bretons sont plus atteints par la mortalité des abeilles que dans le reste de la France ?

La réponse ne demande pas beaucoup de recherches. On utilise beaucoup de glyphosate en Bretagne, autant que dans les vignobles du Bordelais. Les Côtes d’Armor et surtout le Finistère font partie des 10 départements français qui consomment le plus de glyphosate. La Loire-Atlantique n’est pas en reste avec son important vignoble. Le glyphosate est un herbicide inventé par un chimiste suisse en 1950 et fabriqué par la firme américaine Monsanto. Monsanto fabriquait déjà l’agent orange , aussi un défoliant, utilisé pendant la guerre du Vietnam et qui a affecté les populations civiles et leurs descendances de terribles mal-formations.


Et pourquoi ça ? Tout simplement parce que, d’une part la Bretagne est une terre d’agriculture, et que d’autre part, l’herbe y pousse plus vite et plus drue qu’ailleurs. Même les Chinois avaient remarqué que chez nous l’herbe pousse toute l’année et ne jaunit pas. Les vaches y produisent beaucoup de lait. Les éleveurs sont contents, mais les céréaliers ou les producteurs de légumes et de légumineuses beaucoup moins.


Pour contrôler l’herbe, les agriculteurs bretons, non-bio, aspergent leurs champs de glyphosate avant les semailles. Même les plantations de sapins de Noel sont aspergées entre les rangs régulièrement pour éliminer l’herbe et les broussailles et aussi certains vergers. Deux tiers des agriculteurs utilisent du glyphosate selon la FDSEA du Finistère.

Le glyphosate est utilisé comme herbicide, mais il est aussi utilisé depuis peu comme agent de dessiccation. Il s’agit de dessécher les récoltes pour récolter une ou deux semaines plus tôt et éliminer des plantes invasives comme les chardons !

Pourquoi les moteurs vont consommer un peu d’eau

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Pourquoi les moteurs vont consommer un peu d’eau

 



Si le moteur à eau relève de l’utopie, mélanger ce liquide aux vapeurs d’essence permet de diminuer la consommation et la pollution. Testé sur la M4 GTS forte de 500 chevaux, le système Bosch débarquera sur des BMW plus modestes courant 2019.

RÉAGIR

Injecter de l’eau dans un moteur pour économiser de l’essence ? On pourrait croire à une plaisanterie si l’affirmation ne recevait la caution de noms aussi prestigieux que ceux du motoriste BMW et de l’équipementier Bosch. De fait, la BMW M4 GTS est la première auto de série au monde à aspirer de la vapeur d’eau en même temps qu’un mélange d’air et d’essence. Oh ! A peine quelques millilitres d’eau par centaine de kilomètres parcourus. C’est suffisant, prétendent les ingénieurs allemands, pour économiser 4 % de carburant et de CO2 en moyenne sur le cycle normalisé WLTP, et davantage en conditions réelles de conduite (jusqu’à 13 %).



Introduit en 2016 sur le modèle le plus puissant et le plus exclusif de la Série 4 (forte de 500 chevaux, la M4 GTS est vendue au prix de 149.900 euros), ce système Waterboost breveté par Robert Bosch GmbH devrait être introduit sur des BMW à diffusion plus large dans le courant de l’année 2019. En effet, le constructeur laisse entendre que l’injection d’eau convient aussi bien à de modestes 3-cylindres qu’à un gros 6-cylindres surpuissant. Tout est question de rendement thermique, de taux de charge et de suralimentation.

Qui l’eût cru ? Une part de l’essence sert à refroidir le moteur

Revenons aux fondamentaux. Pour gagner des chevaux, les motoristes ont recours au compresseur qui sert à gaver le moteur en air et en essence. Résultat, à puissance égale, on peut diminuer la taille du moteur.

 

 

 



Mais comprimer l’air l’échauffe, tant et si bien que l’essence arrive à s’enflammer à son seul contact, sans attendre l’étincelle à la bougie (auto combustion ou cliquetis). Voilà qui fait désordre.

Le remède immédiat consiste à diminuer la pression de suralimentation et le taux de compression du mélange. Mais puissance et rendement thermique s’en ressentent alors. En compétition, les préparateurs ont recours depuis des dizaines d’années à des carburants exotiques, à très fort taux d’octane, dont la vaporisation absorbe davantage de calories que le supercarburant du commerce : méthanol et éthanol.

 

Il n’était pas question pour BMW d’exiger de ses clients qu’ils abreuvent leur M4 GTS en méthanol ou en éthanol : on n’en trouve pas à la station du coin. Pas question non plus d’abuser de la stratégie qui consiste à injecter un surcroît d’essence pour refroidir les chambres de combustion. Le 6-cylindres 3.0 biturbo de la BMW M4 y a déjà recours (comme nombre de moteurs suralimentés à essence, lorsqu’ils fonctionnent sous forte charge) mais pour passer de 431 chevaux à 500 chevaux, la consommation de carburant et les émissions de CO2 se seraient envolées au-delà du raisonnable.

Refroidir le mélange pour mieux exploiter le turbo

 



Au lieu de cela, les motoristes de BMW ont essayé puis adopté le système Waterboost de Bosch. L’injection de fines gouttelettes d’eau dans la tubulure d’admission permettrait d’abaisser de 25°C la température du mélange admis, par le simple effet de vaporisation. C’est le même effet qui fait frissonner le baigneur au sortir de la piscine en plein été.

Moins chaud, l’air conserve une densité supérieure qui renforce l’effet de gavage du compresseur qui souffle plus fort de 0,2 bar. En conséquence, le rendement thermique augmente, la consommation diminue, le seuil de cliquetis est repoussé et le point d’allumage peut être avancé. Le cercle vertueux, en somme.

La technique du dopage à l’eau ne sert pas uniquement les fortes puissances. En 2015, BMW avançait des gains significatifs pour son prototype de moteur 3-cylindres 1.5 turbo à essence : consommation en baisse de 8 %, malgré une puissance en hausse de 10 % (218 chevaux). Mieux, le constructeur constatait une réduction sensible des émissions d’oxydes d’azote.

Les amendes CO2 rentabilisent le coût du dopage à l’eau

 



Face à tous ces avantages, on se demande pourquoi les constructeurs n’ont pas adopté plus tôt le dopage à l’eau, utilisé sur certains moteurs d’avion alimentés au méthanol durant la Seconde Guerre Mondiale.

Comme toujours, la réponse tient en un équilibre délicat entre coût et fiabilité. Le renforcement de la taxation des émissions de CO2 permet de rentabiliser un système tel que le Waterboost de Bosch qui aurait été considéré comme superflu voici encore deux ans. Son surcoût reste difficile à estimer : de l’ordre de quelques centaines d’euros sur la BMW M4 GTS qui emporte un réservoir de cinq litres d’eau et sa pompe dédiée, ainsi que six injecteurs supplémentaires. Fort logiquement, la consommation varie en fonction de l’usage (conduite plus ou moins sportive). Le prix de revient devrait baisser avec la fabrication en série.

Des entreprises font confiance à Moteur.Bzh Eco-Leau, à l’image de COLAS & SCREG T.P. *(filiale du groupe 

Bouygues), du groupe AXIMA Réfrigération , ainsi que des Stés de Transports, Taxi, Ambulances, etc… , qui ont déjà adopté le kit pour équiper leur flotte de véhicules et quelques institutions publiques & Mairies …

Montage effectué sur le Site de Screg Heillecourt en 2013 sur un Master : Résultat, plus de 2.5 L de Gain aux 100 KM…

Par ailleurs, certains préparateurs ont vérifié à leurs dépens que l’eau n’est pas compressible : la vaporisation des gouttelettes doit être absolument garantie, au risque de voir l’eau s’accumuler et briser pistons et bielles. La puissance de calcul de l’électronique garantit une finesse dans le dosage qui n’existait pas même en rêve voici dix ans.

On se souviendra que Renault et Daimler, entre autres constructeurs se sont intéressés à l’injection d’eau pour en évaluer l’intérêt. Nul doute que leurs conclusions devront être réévaluées à l’aune du renchérissement du coût des systèmes de dépollution et des malus CO2 qui frappent le consommateur. Sans parler d’une taxation qui pourrait se baser à l’avenir sur les émissions de gaz polluants. Le potentiel de l’injection d’eau intéresse également le constructeur allemand MAN, qui l’adapte à ses gros moteurs Diesel marins.

Moteur Pantone et injection d’eau  : pas la même chose

L’injection d’eau, avenir du moteur
*Le kit #Hybride4All peut être installé en 1 à 2H sur la plupart des moteurs de base sans modification majeure :
Installation, Avantages du #Hybrid4All ,
http://hybrideaeau.fr/…/la-vapeur-eau-source-energie-hybri…/

HYBRIDEAEAU.FR
 
Dans un moteur à combustion interne, les deux tiers de l’énergie contenue dans le carburant sont transformés en chaleur. Une perte que les ingénieurs cherchent aujourd’hui à récupérer pour diminuer les consommations.#Hybride4All Injection de vapeur froide d’eau a l’admission d’air P…

 

 

 



Inventeur américain, Paul Pantone a donné son nom en 1980 au principe qu’il a breveté : exploiter la chaleur du système d’échappement du moteur pour vaporiser un mélange de supercarburant et d’eau (à hauteur de 80 %). On est loin des quelques centilitres qu’injecte le système H4All demoteur.Bzh. Le débat autour du moteur Pantone dure depuis des décennies : certains le considèrent clos, en raison de l’absence d’étude scientifique indépendante venant quantifier les bénéfices vantés (puissance en hausse, diminution de la pollution et de la consommation). D’autres préfèrent se laisser séduire par la théorie fantasque du complot ourdi par les sociétés pétrolières et les motoristes, pour étouffer les mérites du procédé et décourager ceux qui seraient tentés d’investir les sommes considérables que réclamerait son perfectionnement nécessaire.

Les quelques ingénieurs consultés à ce propos par Challenges balaient le procédé du revers. Leur argumentaire se limite à ce constat : l’idée de produire de l’énergie à partir de l’eau est séduisante mais si, finalement, le procédé consomme davantage d’énergie qu’il n’en produit, alors le système est vain. Les ingénieurs parlent d’un bilan énergétique absurde. Sans parler du fait que la température des gaz d’échappement du moteur sont bien inférieures à celles requises par les réactions chimiques invoquées par le système Pantone.



« De l’eau dans le gasoil ? » : de la légende à la réalité !

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Légende urbain, énième intox du « moteur à eau » ou technique trouvant des fondements scientifiques ? En 2008, Patrick Lefrère et Cyril Flouard entendent pour la première fois parler du « dopage à l’eau », technique qui permettrait d’augmenter l’efficacité des moteurs des voitures. Intrigués, les deux réalisateurs ont voulu en avoir le cœur net, multipliant les rencontres avec des inventeurs indépendants, des agriculteurs et des scientifiques aux quatre coins de la France. Les deux compagnons mènent une enquête de fond depuis des bricoleurs passionnés jusqu’aux plus grandes marques de voitures dans le monde, pour répondre à une question aux enjeux économiques et environnementaux importants. Le documentaire , porté par le collectif « Les zooms vert », est en libre accès sur YouTube. 


« Réunis par une même volonté de contribuer à une réflexion citoyenne pour réduire l’impact du transport sur l’environnement », Patrick Lefrère et Cyril Flouard n’avaient pas froid aux yeux, lorsqu’ils ont décidé de s’attaquer à « la légende des moteurs à eau », parfois également connue sous l’appellation de « moteur Pantone ». Une fois les fakes et autres théories bidons écartées, on découvre un socle expérimental sérieux mais méconnu. Se pourrait-il qu’en ajoutant un système d’injection d’eau à des moteurs classiques, les rendements d’une voiture soient augmentés et les pollutions diminuées ? Ils veulent en avoir le cœur net.

Une enquête de 4 ans !

Patrick, technicien audiovisuel depuis 2002, a toujours essayé de « faire des films pour que les citioyen.ne.s puissent vivre dan un monde meilleur »C’est dans le même esprit qu’il s’est lancé dans l’aventure avec Cyril Flouard, également en recherche d’informations sur le sujet. Avec nuance, en toute transparence et avec le soucis de présenter des éléments suffisamment solides pour alimenter leur propos de manière scientifique, les deux réalisateurs nous présentent une enquête aux multiples soubresauts, naviguant adroitement entre théories du complot et intérêts économiques industriels pour tenter d’approcher la vérité.

 

Au fil des mois, l’équipe se rend progressivement compte que le dopage à eau n’est pas un simple mythe. Une application technologique est possible, ce dont certaines personnes se sont rendues compte il y a déjà bien longtemps : en 1902, un ingénieur nommé Clergé déposait un brevet se fondant sur cette technique, car elle allongerait la durée de vie des moteurs. La clé ? Grâce à l’injection d’eau, la température de combustion du moteur est réduite, sa puissance et son rendement sont augmentés. L’eau ne remplace en aucun cas l’essence, mais son action permet d’augmenter les performances.

Plus récemment, de grandes marques se sont penchées sur la question. C’est ainsi que Renault possède un brevet depuis 2005 et qu’un moteur de Bosch employant cette technique est désormais monté sur la M4 GTS de BMW, une voiture de série de luxe. Bosch prévoit désormais la commercialisation de moteurs de ce type pour des voitures plus petites, estimant que les gains pourraient aller jusqu’à 13%.

Prototypage Bosch.« Questionner la mécanique profonde du monde de l’automobile »

« C’est un système qui marche et qui mérite d’être développé, notamment sur les voitures anciennes, pour limiter la pollutions des véhicules » commente Patrick Lefrère, qui reconnaît que beaucoup de personnes installent mal le système sur leur propre voiture, si bien que les résultats ne sont pas à la hauteur des espérances. Par ailleurs, il estime que l’idée devrait surtout être développée sur les moteurs ayant une charge importante, c’est à dire les tracteurs ou encore les véhicules de chantier. Mais si ce « moteur Pantone » permet bien de réduire de manière significative les émissions de monoxyde de carbone et de dioxyde de carbone, reste à savoir : pourquoi une telle technologie est-elle restée au placard si longtemps, et ne connaît qu’un regain d’intérêt si tardivement ?

Patrick Lefrère en est convaincu : « L’industrie ne cherche pas à faire des voitures performantes d’un point de vu environnemental.Cette industrie, explique t-il, est un mélange d’intérêts économiques, géopolitiques, et technologiques. À l’heure actuelle nous pourrions faire des voitures pouvant rouler avec 1 litre au 100 kilomètres. Mais aujourd’hui, on cherche à faire des voitures puissantes, confortables, sécurisées et avec beaucoup de gadgets et ça, ca consomme », lance t-il encore. Pas de complot donc, mais de simples logiques commerciales dans un monde capitaliste. Alors, faut-il, comme le suggère le réalisateur, « un débat citoyen et politique autour du sujet » ?