des « faux fermiers » pour faire la promotion du glyphosate?

Monsanto aurait créé des groupes de « faux agriculteurs » pour défendre le glyphosate


Monsanto aurait créé des groupes de "faux agriculteurs" pour défendre le glyphosate
Les études qui affirment qu’il n’existe aucun lien entre le glyphosate et l’apparition de cancers ont bien souvent été rédigées par Monsanto. (Wikimedia Commons )

Un lobby de la société Monsanto a créé des groupes de « faux agriculteurs » chargés de se prononcer en faveur du glyphosate, révèle la cellule d’investigation de Greenpeace et du quotidien britannique « The Independent ».

Pour que des « agriculteurs » disent du bien du glyphosate – cet herbicide présent dans le Roundup et classé cancérigène probable par le centre international de recherche sur le cancer –, la société Monsanto aurait créé, dans au moins sept pays, des groupes de faux professionnels.


« Mosanto a piloté de faux groupes de fermiers contre l’interdiction du glyphosate en Europe. C’est ce que révèle une enquête de la cellule d’investigation de Greenpeace et du quotidien britannique ‘The Independent’« , que RMC dévoile ce mercredi.

« Agriculture et Liberté », est le nom du groupe français de faux agriculteurs. Sur son compte Twitter, on peut lire : « Nous sommes un groupe d’agriculteurs français unis pour protéger notre mode de vie et nos moyens de subsistance ».

Mais ni ce compte Twitter ni le site internet, ne permettent de savoir qui sont les fondateurs de ce groupe, observe RMC. « Il est juste mentionné qu »Agriculture et Liberté’ est soutenu par une ‘coalition d’utilisateurs et de fabricants de produits agricoles’. Aucune trace d’un agriculteur parmi les fondateurs. Pourquoi ? Parce qu’en réalité, ce groupe a été créé par un lobby », accuse le site internet.

une première mondiale !

Retour à Saint-Malo pour Energy Observer

Energy Observer, L'Odyssée pour le Futur / © Energy Observer - Antoine Drancey
Energy Observer, L’Odyssée pour le Futur / © Energy Observer – Antoine Drancey

Après un tour de la Méditerranée, Energy Observer, le bateau du futur est revenu à son port d’attache, Saint-Malo. Le bateau utilise différentes sources d’énergies renouvelables pour se propulser et auto-alimenter ses piles à hydrogène : une première mondiale !

Par Marc-André Mouchère

Il est à quai dans les bassins de Saint-Malo, mais ce bateau-là ne se prépare pas pour la Route du Rhum, d’ailleurs il n’est pas équipé de voile mais de moteurs électriques. Son défi est de prouver aux yeux du monde que la transition énergétique est possible.

Un laboratoire flottant

Si le catamaran Energy Observer revient à Saint-Malo, son port d’attache, après un périple de 20 mois à travers la Méditerranée, c’est pour une escale de trois mois. Le temps de faire un premier bilan sur le premier tiers de son programme et de tirer les premiers enseignements scientifiques tant sur le plan des observations climatiques et biologiques que sur sur le plan techniques et énergétique.

des menaces à cause du glyphosate

Les actualités de 6h30 – Des députés visés par des menaces à cause du glyphosate


Plusieurs élus affirment avoir reçu des menaces de mort en raison de leurs votes. Antispécistes, opposants au glyphosate, plusieurs sujets seraient à l’origine de ces invectives.

Générique 1Le journal RTLLa rédaction de RTL




La page de l’émission

Micro RTL
La rédaction de RTLJournalistes RTL


Plusieurs parlementaires affirment avoir reçu des menaces de mort. Ces hostilités auraient commencé à se manifester au printemps dernier, à l’encontre d’élus de la France insoumise. Aujourd’hui, ce sont des mails agressifs de militants antispécistes qui valent au rapporteur de la loi Alimentation d’être protégé par les gendarmes.

La Bretagne s’y oppose

Le centre de Milan a mis en place un péage urbain, l'Area C, dans son centre ville afin de réduire la circulation et la pollution. / © Olivier Corsan/LE PARISIEN/MAXPPP
Le centre de Milan a mis en place un péage urbain, l’Area C, dans son centre ville afin de réduire la circulation et la pollution. / © Olivier Corsan/LE PARISIEN/MAXPPP

François de Rugy, ministre de la Transition écologique, a évoqué la possibilité d’installer des péages urbains dans les villes de plus de 100 000 habitants. En Bretagne, Rennes et Brest sont concernées.

Par Raphaëlle BESANÇON.

Il ne s’agit pour l’heure que d’un projet. Le ministre de la transition écologique, François de Rugy, a évoqué la possibilité d’installer des péages urbains à l’entrée des villes françaises de plus de 100 000 habitants.

Cette nouveauté fait partie de la mouture définitive du texte transmise au Conseil d’État mercredi 18 octobre, afin de préparer une nouvelle loi d’orientation des mobilités (LOM).

La Bretagne s’y oppose


Bien sûr, il ne s’agit pas d’une obligation. Le choix d’installer ces péages reviendra aux élus locaux.

À Rennes c’est hors de question. « L’enjeu du dérèglement climatique et de la qualité de l’air est au cœur de la philosophie du Plan de déplacements urbains 2019-2030 », affirme de Jean-Jacques Bernard, vice-président de Rennes métropole, délégué aux transports et aux déplacements.

Il poursuit : « L’instauration d’un péage urbain n’est clairement pas une option retenue aujourd’hui. La Métropole entend saisir d’autres leviers et notamment la massification du covoiturage du quotidien : la concertation publique sur le PDU a démontré la disponibilité et l’attente des habitants de la Métropole en la matière. »


À Brest, même discours. « En l’état des choses, Brest ne prévoit pas de péages urbains à l’avenir », annonce le maire, François Cuillandre. La question écologique n’est cependant pas minimisée. Rappelons que la métropole s’est fixée comme objectif de remplacer l’ensemble des bus roulant au gazole par des véhicules électriques d’ici 2025.

Le premier bus électrique a été mis en service à Rennes en mai 2018 / © © France 3 Bretagne - S. Labrousse
Le premier bus électrique a été mis en service à Rennes en mai 2018 / © © France 3 Bretagne – S. Labrousse

Ailleurs en Europe


Londres en 2003, puis Milan et Stockholm ont déjà adopté cette réglementation. Le but ? Diminuer la circulation et la pollution.

Dans la capitale britannique, il n’y a ni barrière ni borne de péages mais une zone délimitée avec des marquages au sol

interdire la pratique du VTT pendant la période de chasse

UN DÉPUTÉ LREM SUGGÈRE D’INTERDIRE LE VTT EN FORÊT EN PÉRIODE DE CHASSE


Le député a répondu aux anti-chasse qui souhaitent interdire la chasse le dimanche. [TAUSEEF MUSTAFA / AFP]

Le député de La République en Marche de l’Aude, Alain Perea propose sur Twitter d’interdire la pratique du VTT pendant la période de chasse.


«La chasse ne dure que 4 mois par an. Pourquoi ne pas interdire le VTT pendant la chasse ?», suggère le vice-président de la commission développement durable à l’Assemblée nationale. Son tweet est accompagné d’une capture d’écran d’un article donnant la parole aux «anti-chasse», qui veulent interdire la chasse le dimanche.


Alain Perea

@PereaAlain

La chasse ne dure que 4 mois par an. Pourquoi ne pas interdire le VTT pendant la Chasse ?




Le député est aussi le coprésident du groupe d’étude Chasse à l’Assemblée nationale.

« Le litre de carburant à 2 euros, c’est pour demain »

Vers un litre de carburant à deux euros à la pompe?


 



Tandis que les prix des carburants atteignent déjà des niveaux records, la hausse pourrait continuer à s’accentuer pour les automobilistes français.

morts sur les routes en forte hausse

Le nombre de morts sur les routes en forte hausse en septembre

 
Acc

323 personnes ont perdu la vie sur les routes de France en septembre, marquant une hausse de 8,8% par rapport à l’an dernier.


La Guerre aux 2 Roues

320 amendes pour stationnement gênant par jour : à Paris, la guerre aux deux-roues est déclarée




La guerre contre les deux-roues est déclarée. La mairie de Paris a dressé 87 000 amendes pour stationnement gênant depuis le début de l’année. Par jour, cela fait 320 PV. La vidéo verbalisation aide beaucoup et la fourrière tourne à plein régime :




construire seul sa maison en bois

Guillaume Bizeul s’est donné un challenge : construire seul sa maison en bois, livrée en kit. Cette pratique importée de Russie, est encore méconnue en Bretagne. Rencontre.

Guillaume Bizeul, habitant de Saint-Hele, près de Dinan (Côtes d'Armor) a construit sa maion en bois livrée ne kit en quatre mois en suivant une méthode déjà utilisée en Russie.
Guillaume Bizeul, habitant de Saint-Helen, près de Dinan (Côtes d’Armor) a construit sa maison en bois livrée en kit en quatre mois en suivant une méthode déjà utilisée en Russie. (©Marie Lamarque / Le Petit Bleu)


C’est en regardant l’émission Capital (M6) que Guillaume Bizeul a voulu bâtir seul une maison en bois, livrée en kit, d’après une méthode importée de Russie. Début juin 2018, le directeur d’entreprise de 34 ans, entame le montage sur un terrain situé en face de sa résidence principale, qu’il vient de faire construire.

L’Hélennais a contacté l’entreprise Chalet en bois Lion France Développement pour recevoir son chalet de 100 m2. Il explique :

Ça fonctionne sur le même principe qu’un Lego® géant. Il suffit d’assembler les pièces. J’ai réussi à terminer la construction en quatre mois et en travaillant uniquement le week-end. Le guide de montage est très simple à suivre.


Autre facilité : la laine de roche, matériau d’isolation, est déjà posée entre les planches du kit. Guillaume Bizeul nous en dit plus sur ce principe :

Une alternative économique

En franchissant la porte, on aurait presque l’impression de retrouver la cabane de notre enfance : tout est en bois apparent ! Il lui reste encore à aménager le logement qui contient un salon avec cuisine ouverte, une salle d’eau, un WC séparé, ainsi que trois chambres de 10,8 m2 et 12, 8 m2.

Des radiateurs électriques équipent chaque pièce mais Guillaume Bizeul pense qu’ils devraient peu servir en vertu des qualités isolantes de la construction. Il a décidé de mettre son chalet en location pour 650 € par mois.


Les premiers locataires emménageront dans quelques jours. Le propriétaire aura dépensé au total, en comptant l’achat du terrain, « moins de 100 000 € ».

Des premiers adeptes

Sa construction a servi de pavillon témoin pour les curieux et amoureux du bois qui auraient envie de se lancer dans cette aventure. Les réactions ne se sont pas faites attendre car, selon Guillaume Bizeul, « deux maisons comme celle-ci devrait se construire prochainement à Saint-Pierre-de-Plesguen et à Miniac-Morvan en Ille-et-Vilaine ».

Reste à voir si les Bretons seront nombreux à être conquis par ces habitations atypiques.



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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

 

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L’or Noir

Lorsque les réservoirs sont siphonnés, la jauge de carburant est déréglée. Charlie Ansonneur s’est ainsi retrouvé en panne pour cette raison.
Lorsque les réservoirs sont siphonnés, la jauge de carburant est déréglée. Charlie Ansonneur s’est ainsi retrouvé en panne pour cette raison. (Paul Bohec)


Agriculteurs, travaux publics mais surtout garages et sociétés de transports : avec la hausse du prix du gazole, tous subissent, depuis plusieurs semaines, une recrudescence des vols de carburant. Un phénomène devenu un véritable fléau pour ces victimes, dont le préjudice s’élève parfois à plusieurs milliers d’euros.


« L’or noir porte bien son nom : c’est un enjeu convoité et personne n’est à l’abri », glisse Jacky Leroy, des transporteurs Merret, à Saint-Martin-des-Champs (29). Depuis le début de l’année civile, les gendarmes ont recensé une centaine de plaintes, dans le Finistère, pour des vols de carburants. « Et les plaintes ne sont que la partie émergée de l’iceberg », confie-t-on à la compagnie de Plourin-lès-Morlaix (29). « Il y a une augmentation très nette, depuis cet été et le mois d’août », relèvent les forces de l’ordre, qui ne peuvent assurer une surveillance permanente de tous les sites visés.