Descente de gendarmerie ce matin 

Descente de gendarmerie ce matin 
Contrôle anti drogue chez mon voisin.


Le voisin « D’accord, mais n’allez pas sur le terrain là-bas. »

Le gendarme : « Tu vois ce badge, il m’autorise à aller où je veux et faire ce que je veux ! Est-ce que je me fais bien comprendre ? »

Le voisin revient vers moi et on les regarde « investiguer »

10 min plus tard, on entend les gendarmer gueuler et courir dans tous les sens et appeler au secours. Le taureau leur courrait derrière …


On court vers la clôture et on lui crie :

« Ton badge, montre-lui ton putain de BADGE !



>>  Notre service – Vous permettre de Faire des économies


Http://Moteur.BZH pour Faire 200 Km de Plus Sur Votre plein avec de l’eau* 💦💦💦 💰💰💰💰💰

eco leau® En Bretagne, le moteur à eau simple à installer –
HybrideàEau

En Un An , il a économisé 19 Pleins a raison de 300 Km De Plus sur Son Plein ! Cela fait déjà 5 Ans qu’il roule avec Hybrid4all.com , Je vous laisse faire le CALCUL

HYBRIDEAEAU.FR
  Bien que très ancienne, l’astuce est encore largement méconnue. Pourtant, elle permet des économies considérables et un vrai progrès environnemental. Pour beaucoup, le moteur à eau est un serpent de mer : on en parle sans arrêt, mais on n’en voit jamais la queue   . Pourtant, de nombre…Lire

Malheureusement pour l’automobiliste

+ 4 centimes en une semaine : l’essence et le diesel continuent de flamber (et ce n’est pas près de s’arrêter)



Malheureusement pour l’automobiliste, les cours du pétrole brut avaient grimpé la semaine dernière à leur plus haut niveau en quatre ans face à la crainte de voir l’Iran exclu du marché. Le baril s’était ainsi hissé mercredi 3 octobre 2018 en séance à des niveaux plus vus depuis fin 2014, à 86,74 dollars pour le pétrole de qualité Brent.

  • POMPE – Alors que les carburants vont être rebaptisés ce vendredi, leurs tarifs se sont envolés de 2 à 4 centimes par litre en une semaine. En cause : la hausse du prix du pétrole brut liée à la crainte de voir l’Iran exclu de ce marché. Et cette tendance à l’augmentation devrait continuer.

Il a augmenté de près de 4 centimes en une semaine. Le litre de diesel, qui représente encore 80% (en volume) des ventes de carburant, s’affiche en moyenne à 1,5217 euro, selon les chiffres hebdomadaires publiés lundi 8 octobre par le ministère de la Transition écologique et solidaire et relayés par Le Figaro. C’est exactement 3,82 centimes de plus que huit jours plus tôt.  Concrètement, à la caisse, le plein de Diesel est désormais facturé 2 euros de plus.


Bien que moins vertigineuse, la hausse avoisine tout de même les 2 centimes pour l’essence. En détails, le prix du sans plomb 98 a progressé en moyenne de 1,8 centime (désormais à 1,6338 euro / litre), celui du sans plomb 95 contenant jusqu’à 10% d’éthanol a augmenté de 2,13 centimes (1,5733 euro / litre) et celui du super de 1,95 centime (1,5462 euro / litre).

EN VIDÉO

Le mot de l’éco : les prix du carburant




LIRE AUSSI Vous pouvez tous le Faire :

Un concept qui va soulager votre portefeuille et ravir la protection de l’environnement. Ce système, totalement légal et sécurisé, va vous ravir !

HYBRIDFORALL.FR
Bien que très ancienne, l’astuce est encore largement méconnue. Pourtant, elle permet des économies considérables et un vrai progrès environnemental.

L’escroquerie éolienne

L'escroquerie éolienne

L’escroquerie éolienne

4ème Forum de la Dissidence le 17/11 à Paris : la billetterie est ouverte !

Par Claude Brasseur, mathématicien et chercheur en énergies renouvelables ♦ C’est l’une des lubies de ceux qui nous gouvernent. L’éolien est imposé à de nombreux Français au travers du pays. Parfois, certains riverains arrivent à s’opposer à ces projets bancals. C’était le cas d’Ethel Lesade, conseillère municipale que nous avions reçu lors du Forum de la Dissidence 2017 (vidéo de son intervention). Pour Claude Brasseur, qui publie une tribune sur Boulevard Voltaire, le CO2 gaz à effet de serre est une pure escroquerie et est pourtant la seule justification de la multiplication des éoliennes.


En décembre 2014, on découvrait ainsi dans Le Point un article qui mentionnait clairement comme un vent de corruption dans le monde de l’éolien.

En mai 2015, c’est au tour de Capital et du Monde d’évoquer le problème, le premier dans un article détaillé qui participera à sa une du moment, le second en planquant habilement les petits ennuis éoliens dans la rubrique Radio & Télé, son habituelle tendresse pour les sujets écologiques ne lui permettant probablement pas d’aborder le sujet autrement qu’au travers d’un petit article relatant un reportage de France 3, lui même daté du 6 mai 2015, vers 23h15 (heure où le chaland, pas trop vif, ne sera pas trop violemment bousculé lorsqu’on lui expliquera sur un ton de confidence coquine que ses factures enflent et son paysage est détruit pour installer des machins au rendement catastrophique qui n’aident en rien la facture énergétique française et engraissent des élus déjà bien nantis).


Beaucoup d’associations anti-éoliennes partent encore de l’idée que, si les éoliennes peuvent être « bonnes pour le climat », elles ne devraient pas être installées à l’endroit concerné : elles enlaidissent la nature, un site touristique ou ancien, elles tuent oiseaux et chauves-souris, sont placées trop près des habitations… On ose rarement mettre en cause les affirmations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Le GIEC veut sauver le climat ! Le gaz carbonique (CO2) réchauffe l’atmosphère, l’homme en produit trop, il est temps de mettre fin à cette production si on ne veut pas « cuire » dans peu de temps, il est temps d’installer des éoliennes partout et d’accepter qu’elles tuent insidieusement comme la nicotine ou l’amiante (Eric Y. Zou) !

Depuis le XIXe siècle – où la théorie des effets climatiques du CO2 a été développée, par exemple, par Svante August Arrhenius, et éliminée par James Clerk Maxwell, notamment -, aucun physicien n’a jamais attribué de rôle climatique au CO2.

Le GIEC a été créé en 1988 pour responsabiliser l’Occident en matière climatique et lui extraire un maximum d’argent en transposant la terreur exploitée par la guerre froide.


Dès 2009, André Legendre [1], acceptant le modèle adopté par le GIEC, prouve – par des éléments fournis par le GIEC ! – que le CO2 n’a, par lui-même, que ridiculement peu d’effet sur le climat et que le GIEC invente des mécanismes amplificateurs liés à la vapeur d’eau et aux nuages pour que l’effet du CO2 nous impressionne. L’auteur montre que cet effet amplificateur peut aussi bien diminuer la température que l’augmenter… L’effet est imprévisible mais on nous abreuve de « calculs » démontrant que nous allons bientôt avoir beaucoup trop chaud.

Thomas Allmendinger, en 2015, fait le tour complet des théories, refait toutes les expériences nécessaires avec les moyens actuellement à disposition, confirme que le CO2 n’a rien à voir avec le climat, ou si peu… Ainsi, Mars a une atmosphère très légère mais avec quinze fois plus de CO2 que la Terre : aucun effet de serre observé, aucun réchauffement…

Enfin, en décembre 2017, Robert Ian Holmes recalcule par la loi des gaz parfaits la température moyenne de chaque corps céleste à atmosphère dense du système solaire (Vénus, Terre, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, Titan) et trouve le résultat exact observé actuellement grâce à nos moyens modernes. Le CO2 ne joue aucun rôle, même sur Vénus, où il y en a 100.000 fois plus que sur la Terre.


Ainsi donc, le CO2 gaz à effet de serre est une pure escroquerie et est pourtant la seule justification de la multiplication des éoliennes. Alors que les éoliennes ne sont pas une source directe d’électricité – leur production est erratique –, on nous serine que leur kWh est économique (!). En Belgique, les revenus des promoteurs d’éoliennes sont assurés à 80 % par les aides publiques (taxes, impôts, avantages divers, primes, etc.). Actuellement, on « réfléchit à un nouveau mécanisme de soutien aux énergies renouvelables »

Imaginons que les 3.000 milliards d’euros jetés dans l’éolien aient été en partie consacrés à trier, filtrer les gaz et résidus des centrales thermiques… Évidemment, cet argent n’aurait enrichi personne, « seulement » préservé notre santé !
La conclusion du raisonnement sur base GIEC et développé par André Legendre – conclusion évidente – n’est jamais présentée par le GIEC. Et pour cause : il n’y a aucun argument réel à lui opposer. Devons-nous continuer à nous laisser escroquer ? Accepter à remplir toujours plus de poches grandes ouvertes ?

Claude Brasseur
26/04/2018

Prime conversion : épuisement de l’enveloppe

Prime à la conversion : des remboursements qui se font attendre


De nombreux groupes de distribution ont avancé des centaines de milliers d’euros dans le cadre de la prime à la conversion. Le CNPA est monté au créneau pour dénoncer le retard des remboursements. Il semble avoir été entendu.


En début d’année, les professionnels de l’automobile se trouvaient face à une nouvelle problématique : faut-il porter l’avance de trésorerie pour les primes à la conversion et prendre en charge la mise en VHU, ou au contraire laisser le client faire les démarches, quitte à en perdre quelques-uns en route ? Si la plupart des concessionnaires ont opté pour la première approche, certains ont fait machine arrière au bout de quelques semaines. En cause : des retards de remboursement.

« Nous marchons à tâtons et si nous n’avons toujours pas touché la moindre indemnisation dans trois mois, peut-être arrêterons-nous », nous confiait en début d’année Julien Mongis, directeur général VO3000 (groupe Parot).

Début avril 2018, les avances consenties par les professionnels n’avaient toujours pas été remboursées. Le CNPA a ainsi alerté l’Agence de services et de paiement (ASP), la direction générale de l’énergie et du climat ainsi que le Ministère de l’écologie pour réclamer une accélération du processus de remboursement.




Entre 300 000 et 600 000 euros dehors

« Il a été précisé aux différents interlocuteurs que les sommes devenaient conséquentes et mettaient en péril la trésorerie de nos adhérents, y compris des grands groupes, qui comptent parfois jusqu’à 800 000€ en retard de remboursement. Au-delà de l’aspect économique et financier, le risque que les professionnels se détournent du dispositif a également été souligné », a ainsi précisé le CNPA à ses adhérents. En moyenne, les montants avancés se situaient entre 300 000 et 600 000 euros.

« Le problème n’est pas lié une insuffisance de crédits, mais à l’épuisement par l’ASP de l’enveloppe reçue. Le Ministère de l’économie n’avait pas fait les appels de fonds à temps »,explique l’organisation. Cette dernière soulève deux autres sources de contrariété : la complexité de la plateforme digitale pour faire les démarches de remboursement, et des longueurs pour les particuliers pour obtenir la déclaration de mise à la destruction du véhicule (nécessaire pour déclencher la prime).

Le CNPA précise que les remboursements sont effectifs depuis mi-avril. 


A ce jour, selon les remontées du Ministère de la Transition écologique et solidaire, près de 30 000 automobilistes ont profité de la prime à la conversion depuis sa mise en application le 1er janvier 2018. Les prévisions tablent sur un total de 100 000 bénéficiaires sur l’ensemble de l’exercice 2018. Selon le CNPA, 63% des primes sont versées pour l’achat d’un véhicule d’occasion, principalement de segment A et B. Un peu plus d’une prime sur deux concerne des personnes qui ne sont pas imposables, et qui donc bénéficient d’une prime de 2 000€.

 

Faites tourner votre Moteur… à L’eau ! 
 
 Pollution de l’air, carburants, taxes, entretien, L’automobile coûte cher à l’environnement et aux Français. Conjuguez Economie & Ecologie…
 
Moteur$.Bzh eco-leau.com : l’injection de vapeur d’eau, via ECO L’Eau, permet de ralentir l’usure prématurée des pièces moteur & apporte un plus au niveau confort de conduite : plus de couple, moins de sonorité moteur etc…
 
Le système a été double médaillé du concours Léonard de VINCI de La Fédération Française des Inventeurs [🇫🇷
Concours des meilleures inventions françaises 🇫🇷]  
Des entreprises, à l’image du groupe SUEZ, SCREG & COLAS, Les Ebénistes ALLOT etc… ont déjà adopté le kit Hybride4All En savoir Plus

Mondial 2018: il y a 70 ans, Citroën lançait la 2CV

La 2CV a 70 ans

Ignorée à ses débuts, l’icône de Citroën a su marquer l’histoire, et participer à la démocratisation de l’automobile.


LE MONDE |  • Mis à jour le  |Par Jean-Michel Normand

Abonnez vous à partir de 1 € Réagir Ajouter

En 1982, la 2CV Charleston se pare de jaune et noir... coloris qui changera dès 1983.

En ce 7 octobre 1948, la grande nouveauté Citroën – la première depuis la sortie de la Traction Avant, en 1934 – n’est manifestement pas la principale attraction du 35e Salon automobile de Paris qui s’ouvre sous la verrière du Grand Palais.


Vincent Auriol, le président de la République, ne lui accorde qu’une attention polie, et la plupart des visiteurs se pressent plutôt autour des inédites Peugeot 203 et Ford Vedette, qui distillent comme un parfum d’Amérique. La presse est circonspecte, voire sceptique, devant cet étrange véhicule qui semble déjà vieillot.

Des débuts difficiles

Celle que l’on n’appelle pas encore la 2CV découle du projet TPV (« Très petite voiture ») qui date du milieu des années 1930. Une première homologation a été réalisée auprès des Mines en août 1939 et une présentation était envisagée au Salon de l’auto d’octobre, mais celui-ci n’eut jamais lieu. La quasi-totalité des 250 véhicules de présérie sont délibérément détruits avant l’arrivée des Allemands.

Lire aussi :   Peugeot 203, une altière septuagénaire

En 1948, les premiers commentaires ne sont guère flatteurs. Beaucoup trouvent la 2CV sans grâce et certains la surnomment « la balançoire », à cause de ses suspensions à très grand débattement et ses sièges à armature tubulaire garnis de lanières de caoutchouc qui rajoutent à sa dimension minimaliste.

Ils peuvent s’estimer heureux ; la 2CV définitive a droit à un deuxième phare alors que le modèle originel n’en comportait qu’un seul. Son capot, au style tôle ondulée, est scellé. Que cache-t-il ? Rien du tout. Le bicylindre à plat de 375 cm³ qui équipera les premières générations n’est absolument pas prêt.

Quatre roues sous un parapluie


La « très petite voiture » de la marque aux chevrons n’est pas encore au point, à l’inverse de son propos. Le cahier des charges est lapidaire : « quatre roues sous un parapluie ». Sa clientèle, toute désignée, est rurale et recherche un véhicule avant tout utilitaire et bon marché. Mince, plate et guidée par une longue tige métallique, la pédale de l’accélérateur est ainsi conçue afin de pouvoir être utilisée en chaussant des sabots.

Citroën réalise un scopitone devenu célèbre où l’on voit le prototype de la 2CV traverser un champ sans que l’intégrité des œufs placés dans un panier installé sur la banquette arrière en souffre le moins du monde. Rustique, et fière de l’être.

FINALEMENT, ON TROUVE DE L’ATTRAIT À CE VILAIN PETIT CANARD QUI VA DÉMOCRATISERL’AUTOMOBILE COMME PEU D’AUTRES VÉHICULES SONT PARVENUS À LE FAIRE.


En octobre 1948, la 2CV est loin d’être une réalité tangible. Fin 1949, seules 848 unités auront été produites (le tarif est fixé à 228 000 francs, 60 000 francs de moins que la Renault 4CV) mais réservées pour l’essentiel à l’exportation ou aux professions prioritaires (médecins, pharmaciens…).

Finalement, on trouve de l’attrait à ce vilain petit canard qui va démocratiser l’automobile comme peu d’autres véhicules sont parvenus à le faire. Les campagnes adoptent la 2CV, mais aussi les urbains, et il faudra attendre 1961, et l’arrivée de la 4L de Renault, pour que lui soit opposée une concurrente sérieuse.

3,8 millions d’unités produites

Voitures, ce sera même avant

Paris sans voitures à essence en 2030 : Hidalgo espère que ce sera même avant




 

ELLE PERSISTE ET SIGNE – Quelques jours après l’annonce de la volonté de la municipalité de tendre vers la fin des voitures à essence dans la capitale en 2030, Anne Hidalgo a dit même espérer que cet objectif soit battu. La maire de Paris s’exprimait lors d’une présentation au public de son bilan de mi-mandat.

A la moitié de son mandat, Anne Hidalgo, la maire de Paris, a participé ce samedi à une réunion publique pour établir un bilan de son action. Sans surprise, elle est évidemment revenue sur l’annonce choc de cette semaine : la volonté de la municipalité de faire en sorte qu’aucune voiture à essence ne circule encore dans les rues de la capitale en 2030. Et, sans surprise, elle a également redit qu’elle ne reculerait pas, malgré les critiques.  « Le fait de posséder sa voiture individuelle, tout seul, c’était le schéma des 30 Glorieuses, ce n’est plus le schéma d’aujourd’hui », a-t-elle lancé.

Rappelant que depuis sa prise de fonctions en 2014, « nous n’avons jamais connu autant de jours de dépassement de seuil d’alerte de pollution », la maire a affirmé qu’il y avait « une obligation d’agir vite, même si c’est très compliqué ». Concernant l’horizon 2030, elle a expliqué : « C’est une trajectoire qui  m’intéresse, à laquelle je souscris complètement, qui sera ensuite discutée au Conseil de Paris et qui sera votée, si c’est une trajectoire que nous voulons, au printemps 2018, tout en réfutant toute volonté « d’interdiction ».  « La question interdire ou ne pas interdire n’a pas de sens. Aujourd’hui, on fixe un cap », a-t-elle insisté.

Nouveau scandale sanitaire

Bébés sans bras : il s’agit d' »un véritable mensonge d’État », selon un cancérologue

INVITÉ RTL – Le cancérologue Dominique Belpomme s’exprime sur les cas mystérieux de bébés nés sans mains, bras ou avant-bras dans trois endroits de France.

Christelle RebièreL’invité de RTL MidiChristelle Rebière


Invite RTL Midi du 08 10 18Crédit Image : MEHDI FEDOUACH / AFP | Crédit Média : Christelle Rebière | Durée :  | Date : La page de l’émission
Christelle Rebière
Christelle RebièreJournaliste RTL


Des cas de bébés nés sans mains, bras ou avant-bras dans trois endroits de France ont alerté les autorités sanitaires ces dernières années. Pour le moment, aucune cause n’a pu être mise en évidence par leurs enquêtes. Ces cas groupés ont été observés dans l’Ain, en Loire-Atlantique et en Bretagne, à chaque fois dans un périmètre restreint.

Yannick Jadot a estimé sur RTL « très probable » que les malformations de plusieurs bébés dans trois départements sont dues aux pesticides des champs environnants. Le professeur et cancérologue Dominique Belpomme va dans le sens de l’élu et affirme qu’il s’agit d' »un véritable mensonge d’État ». « Il y a des données scientifiques internationales qui prouvent que les pesticides peuvent générer des malformations congénitales », affirme-t-il.

Santé Publique France a conclu « à des causes multifactorielles », et le professeur considère que « c’est un mensonge ».

Bébés nés sans bras : « Très probable que ces malformations soient liées aux pesticides », dit Yannick Jadot sur RTL


INVITÉ RTL – Le député européen écologiste estime « très probable » que les malformations de plusieurs bébés dans trois départements sont dues aux pesticides des champs environnants.

245_MARTICHOUXL’invité de RTLElizabeth Martichoux


Bébés sans bras : « Très probable que ces malformations soient liées aux pesticides », dit Yannick JadCrédit Image : RTL | Crédit

Propulsé grâce à de l’air comprimé stocké dans le réservoir

L'Airpod, ce projet maudit de voiture à air comprimé qui n'a jamais roulé

L’Airpod, ce projet maudit de voiture à air comprimé qui n’a jamais roulé

INVENTIONSon invention aurait pu sauver la planète. Il y a vingt ans, un Narbonnais présentait la première voiture au monde roulant à l’air. Malgré le génie de cette technologie, le véhicule n’a jamais vraiment vu le jour. Si certains accusent les lobbies, les spécialistes interrogés par LCI dénoncent tout simplement une « arnaque ».

Elle était censée révolutionner le monde des transports… Vous savez, l’Airpod, cette voiture à air comprimé imaginée par un ingénieur narbonnais ? Depuis son invention il y a une vingtaine d’années, ce véhicule, qui se voulait révolutionnaire, n’a cessé de voir la date de sa mise en production reculer. Aujourd’hui encore, aucune des usines prévues pour sa construction n’est en état de fonctionnement. Si pour certains, ce blocage provient de puissants lobbies, il ne s’explique pour d’autres que par l’irréalisme du projet. Pourtant surtout dédiée à un usage citadin, l’Airpod ne devrait donc pas accompagner de sitôt la disparition des véhicules thermiques dans nos villes.

Un accord en Inde


Présenté à la fin des années 90, le premier prototype en fait rêver plus d’un. Avec son design futuriste, ce tricycle aux airs de voiture sans permis semble très prometteur. Propulsé grâce à de l’air comprimé stocké dans le réservoir, le véhicule a le mérite de rouler sans polluer. Très facile d’utilisation, il se conduit grâce à un joystick et peut, selon les modèles, transporter jusqu’à trois personnes. Ses concepteurs promettent alors une autonomie de 200 kilomètres pour une vitesse maximale de 80 km/h, et une recharge en moins de trois minutes pour un coût inférieur à 4 euros. Malgré tout, aucun investisseur français ne veut parier sur le projet. L’inventeur, Guy Nègre, se dit opprimé par le lobby des constructeurs et des pétroliers.

En 2007, l’horizon s’éclaircit pour le Narbonnais qui parvient à intéresser Tata Motors. Après dix-huit mois de négociations, le constructeur automobile indien achète à sa société, Motor Developpement International (MDI), une licence d’exploitation valable uniquement pour le marché indien. Il débourse pour cela 20 millions d’euros.


Mais alors que le développement d’une voiture fonctionnant à l’air comprimé se poursuit en Inde, le PDG de Tata Motors, Karl Slym, est retrouvé mort à Bangkok, en janvier 2014, après une chute du 22e étage de son hôtel. La police thaïlandaise indique avoir retrouvé ce qui semble être une lettre de suicide dans sa chambre. Mais pour certains conspirationnistes qui s’expriment sur internet, cette disparition soudaine n’a rien d’un suicide. Elle serait directement liée à la sortie du véhicule, qui ne verra d’ailleurs jamais le jour en Inde.

Des projets qui n’aboutissent pas

De son côté, Guy Nègre poursuit sa croisade en présentant son invention un peu partout. En 2012, près de 2000 commandes sont passées dans toute l’Europe, dont 10 à Grande-Synthe, dans le Nord. La ville souhaite renouveller son parc automobile. Mais contactée par LCI, la mairie dit n’avoir jamais reçu les véhicules. « ll y avait une histoire de licence. Je crois que Guy Nègre n’avait finalement pas le droit de mettre ses véhicules en circulation », se souvient notre interlocuteur.


Contactée par LCI, MDI affirme avoir commis « une erreur d’information » en acceptant à cette époque les commandes. « La production n’était en fait pas encore lancée, nous n’étions pas prêts », indique la société. Celle-ci soutient cependant que le véhicule avait été homologué « dès 2010 » par le Luxembourg. « Comme le Luxembourg est un centre européen, cela signifie que l’homologation vaut pour tous les pays européens », avance-t-il. Il affirme cependant que si l’Airpod n’a pas obtenu le statut de « voiture », mais de « tricycle puis quadricycle à moteur », cela ne l’empêche pas « de rouler sur la route dans les mêmes conditions qu’un véhicule normal ».

En 2013, un groupement d’entrepreneurs sardes s’empare du projet et envisage la construction d’une usine Airpod à Bolotana, en Sardaigne. Avec une trentaine d’employés et une production de 1000 unités par an, les voitures sont censées être commercialisées fin 2014. Mais les problèmes administratifs se multiplient et l’usine n’a toujours pas été ouverte. MDI affirme malgré tout que la production devrait commencer en 2018 et que les employés ont déjà été formés à leur futur métier.

Depuis deux ans, la possibilité d’une production à Hawaii est aussi évoquée. Le Business Standardparle en 2015 d’une mise en route du projet par l’intermédiaire du groupe de distribution Zero Pollution Motors. Leur site indique que les premières livraisons sont prévues entre fin 2017 et début 2018. Mais à deux mois et demi de la fin de l’année, rien n’indique l’avancement du projet. Il serait même en pause, selon MDI.

Entre temps, le 24 juin 2016, Guy Nègre décède à l’âge de 75 ans. Si certains prédisaient avec sa mort la disparition de son projet, l’Airpod semble faire de la résistance. MDI a annoncé en avril dernier la prochaine ouverture d’une usine d’Airpod en Ethiopie. L’entreprise serait aussi en train de travailler sur une deuxième version du véhicule.

Les doutes des spécialistes

Face à ces multiples échecs, le projet a perdu beaucoup de sa crédibilité. Lors de notre enquête, plusieurs journalistes spécialisés dans les voitures propres nous ont avertis que le projet n’était pas viable et qu’il ne verrait sûrement jamais le jour. Pour Laurent Masson, fondateur du site Moteur Nature, c’est tout simplement du « pipeau ». « C’est assez facile de construire un prototype qui ne respecte aucune norme »,  explique-t-il. Selon lui, si la voiture n’a jamais pu sortir sur le marché, c’est surtout parce qu’elle n’a jamais pu être homologuée comme « voiture » en tant que telle.


Le spécialiste automobile ne croit pas non plus à la promesse d’autonomie de 200 km vantée par MDI. « Comment voulez-vous placer dans une voiture des bonbonnes assez grosses pour contenir l’air comprimé necessaire à parcourir une telle distance ? », questionne-t-il.

Patrick Auger, un ancien technicien d’expérimentation au centre de recherche EDF des Renardières, en Seine-et-Marne, reste lui aussi dubitatif sur la promesse de Guy Nègre. « Il faudrait une quantité énorme de bonbonnes, ou alors un réservoir qui résiste à une très forte pression, de sorte à pouvoir compresser d’avantage d’air dans un même contenant. Mais je ne pense pas que MDI ait inventé cela », déclare l’ex-technicien, qui a étudié avec son équipe les différents modes de propulsion. Selon lui, l’Airpod ne pourrait parcourir qu’une cinquantaine de kilomètres maximum.

Autre problème soulevé par les deux spécialistes : le caractère énergivore de l’invention. Si l’Airpod ne consomme que de l’air en roulant, recharger ses bonbonnes en air comprimé consomme beaucoup d’électricité. « Quand on prend en compte cet aspect, la voiture à air comprimé consomme davantage qu’une voiture électrique pour un rendement inférieur », assure Laurent Masson. Pour Patrick Auger, « Tata s’est laissée convaincre par des démonstrations ».


La défense de MDI

« Je ne peux pas laisser dire que Tata a acheté la licence sans réfléchir, s’insurge le directeur de la communication de MDI. Cela fait dix ans que l’on travaille avec eux. Cyril Nègre (fils de l’inventeur, ndlr), a d’ailleurs passé trois jours avec eux la semaine dernière pour des négociations concernant les dernières modalités d’industrialisation. Les véhicules verront bien le jour en Inde aux alentours de 2019-2020. »

Quant aux doutes émis sur l’autonomie de la voiture, « Nous avons rabaissé les promesses d’autonomie à 120 kilomètres au lieu de 200 pour être sûrs de ne pas dire de bêtises », explique la société. Pour MDI, ses détracteurs sont « pro-électrique » et « ne veulent pas que son projet voit le jour ».

Et maintenant ?

La technologie de la voiture air comprimé va-t-elle survivre à la mort de son inventeur ? Oui, si on en croit le site de MDI. « Nous continuerons à œuvrer, avec nos équipes, dans l’esprit visionnaire du fondateur de notre entreprise » peut-on lire dans une actualité publiée le 24 juin et faisant part du décès du fondateur de la société.

Selon les dernières informations du site du constructeur, MDI travaillerait en ce moment sur la nouvelle génération de l’AirPod, l’AirPod 2.0, dont l’industrialisation devrait cette fois avoir lieu en Sardaigne…

l’efficacité a été attestée scientifiquement ?

Une alternative BIO aussi efficace que le Round’Up bloquée par l’Anses depuis 3 ans !


Saviez-vous qu’il existe une alternative bio au glyphosate dont l’efficacité a été attestée scientifiquement ? C’est très peu probable dans la mesure où cela fait maintenant plusieurs années que l’Union européenne, tergiversant sur la réautorisation de ce produit cancérogène, finit toujours par scander fanatiquement le fameux mot d’ordre : « There is no alternative » (« il n’y a pas […]

30 novembre 2017 – La Relève et La Peste

FacebookTwitter



Saviez-vous qu’il existe une alternative bio au glyphosate dont l’efficacité a été attestée scientifiquement ? C’est très peu probable dans la mesure où cela fait maintenant plusieurs années que l’Union européenne, tergiversant sur la réautorisation de ce produit cancérogène, finit toujours par scander fanatiquement le fameux mot d’ordre : « There is no alternative » (« il n’y a pas d’alternative », d’après la formule attribuée à Margaret Thatcher).


Dimanche dernier, le glyphosate était finalement réautorisé pour cinq ans, après la mise en scène d’un faux suspense qui nous laissait espérer que l’ambiguïté du positionnement de l’Allemagne laissait encore possibles tous les cas de figure. Macron, surfant alors sur ce vent favorable annonçait, triomphal, que la France sortirait du glyphosate dans trois ans. Brune Poirson, secrétaire d’Etat auprès de Nicolas Hulot, interrogée sur le plateau de BFMTVassurait quant à elle que ce délai serait « inférieur à cinq ans », sans pouvoir garantir d’échéance et faisant valoir le fait qu’il n’existait pour l’heure pas d’alternative crédible au glyphosate.


Et pourtant, voilà 3 ans que Jacques Le Verger, agronome français, se bat avec l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’environnement et du travail) pour que celle-ci accepte d’homologuer son produit phare : un désherbant qui pourrait concurrencer le Round’Up et qui est… entièrement produit à partir de plantes ! En effet, l’entreprise bretonne Osmobio, après des années de recherche aux côtés du CNRS et un million d’euros d’investissement, a mis au point des produits biologiques tout aussi efficaces que les produits phytosanitaires mais à base d’extraits végétaux, d’algues marines et de principes actifs naturels seulement !

« Avoir de beaux légumes et des récoltes abondantes et de qualité sans traitements chimiques, c’est possible à condition de savoir respecter et nourrir le sol, d’accompagner la croissance des plantes et non la « forcer », de favoriser les équilibres entre la faune et la flore qui constituent notre environnement. »

Crédits : France 3

Après la création de son produit non-toxique pour l’environnement et la santé, Jacques Le Verger l’avait soumis à l’expertise du laboratoire indépendant Ineris qui avait rendu un avis favorable (republié le 28/11/2017) pour le produit confirmant que les « tests ne préjuge[aie]nt pas de l’impact à long terme du produit pour la santé et pour les écosystèmes. » Mais malgré ce soutien de l’Ineris, l’Anses rejette l’homologation du produit sous prétexte que le dossier n’est pas complet.


Malgré ses démarches, Jacques Le Verger n’arrive ni à obtenir un rendez-vous avec l’Anses ni à savoir précisément quelles pièces du dossier sont manquantes.

Les réponses d’un avocat 

Linky : si vous le refusez, vous paierez les frais de relevés de compteurs et l’installation


Les compteurs Linky se déploient progressivement partout en France. Si leur installation est gratuite, le fait de la refuser risque, à terme, de vous coûter cher. Explications.

|Modifié le 8 Oct 18 à 11:08
La petite boîte vert fluo prénommée Linky continue de faire parler d'elle.
La petite boîte vert fluo dénommée Linky continue de faire parler d’elle. (©Actu.fr)


Les compteurs Linky se déploient progressivement partout en France. Si la petite boîte vert fluo continue de faire parler d’elle, Enedis (le gestionnaire du réseau public d’électricité) rappelle que le changement des compteurs est obligatoire.

LIRE AUSSI : A-t-on le droit de refuser l’installation d’un compteur Linky chez nous ? Les réponses d’un avocat 

Normandie-actu : Linky, fibre internet, changement de compteur d’eau… Suis-je tenu d’ouvrir ma porte à des entreprises privées, mandatées pour effectuer des travaux ?

Etienne Lejeune : Le droit à la propriété privée vous permet de refuser l’accès à votre domicile. En théorie vous n’êtes donc pas tenu d’ouvrir votre porte si vous ne le souhaitez pas.

Le nouveau compteur vous permettra d’adapter votre contrat à votre consommation réelle et d’être facturé sur la base d’index réels, vante Enedis.

Problème : face à la méfiance de nombreux habitants, le gestionnaire du réseau ne parvient pas à remplacer tous les compteurs.

Le compteur Linky ne vous appartient pas


Enedis précise que le compteur est la propriété des collectivités locales :

Ce matériel est mis à votre disposition et ne vous appartient pas. Pour réaliser sa mission de service public, et comme il est écrit dans votre contrat d’électricité, Enedis doit avoir accès à ce dispositif de comptage.  

Alors quels recours existent pour les opposants au compteur Linky ?

D’ici 2021, la société Enedis est chargée par l’État de remplacer quelques 35 millions de compteurs électriques par un boitier « intelligent » ou « communiquant » : le compteur Linky.

Dans l’actualité récente, une décision a été rendue à Blagnac (Haute-Garonne) le 11 septembre 2018, souvent présentée comme une victoire des opposants au compteur Linky. En réalité ce n’est pas si simple… Le juge a certes validé l’arrêté sur un point important à savoir la possibilité de refuser l’accès à son logement. Pour ceux dont le compteur est installé à l’intérieur de leur maison d’habitation ou dans leur jardin, il est donc concrètement possible de « refuser » la pose du compteur Linky.


En revanche, le juge n’a pas validé la possibilité de refuser la pose d’un compteur Linky. Pour rappel, les particuliers signent avec leur fournisseur d’électricité un contrat dans lequel ils s’engagent à laisser l’accès au compteur (qui ne leur appartient pas) pour des raisons de sécurité, de relève ou de changement de compteur…