Transformer La pluie en électricité

BIENTÔT UN PANNEAU SOLAIRE HYBRIDE QUI FONCTIONNE SOUS LA PLUIE ?

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Les scientifiques asiatiques travaillent à la mise au point d’un panneau solaire hybride capable de fonctionner même sous la pluie. Une telle innovation serait un moyen efficace de rendre les panneaux photovoltaïques encore plus performants.

INNOVATION : UN PANNEAU SOLAIRE QUI FONCTIONNE SOUS LA PLUIE ?

bubble-clean-clear-339119Les panneaux solaires séduisent chaque année toujours plus de consommateurs et d’entreprises dans le monde entier. Pourtant des freins ont toujours bridé l’intérêt envers ces panneaux car l’énergie solaire est par définition intermittente. Pour contrer l’apport en énergie ponctuel des panneaux solaires, des chercheurs de l’Université de Soochow en Chine ont créé un panneau solaire hybride. Ce dernier génère aussi bien de l’électricité en étant exposé au soleil que sous la pluie.

Comment exploiter l’énergie de la pluie ?

Cela peut paraître invraisemblable, la pluie qui fait baisser la production d’énergie des panneaux solaires pourrait devenir leur alliée. Pourtant en 2013, l’association des professionnels de l’énergie solaire publiait les résultats d’une étude qui mesurait la dégradation de la production d’énergie des panneaux solaires en cas de pluie avec un constat sans appel. La production d’énergie baissait de 90% en temps de pluie, ce qui posait la question de la nécessité d’implanter des panneaux solaires dans les régions où le taux d’hygrométrie est élevé.

 

En 2016, des chercheurs chinois de l’université de l’Océan et de l’université de Yunnan ont donc tenté de contourner le problème en exploitant l’énergie de la pluie pour augmenter le rendement des panneaux solaires. Bien que cette première expérience n’ait pas eu le succès escompté en terme de rendement, les chercheurs ont ouvert la voie à de futures recherches car cette expérience a mis en lumière le potentiel de la pluie pour valoriser la production d’énergie.

Ainsi, 2 ans plus tard, une nouvelle équipe de chercheurs chinois de l’université de Soochox s’est constituée avec comme objectif de créer le premier panneau solaire hybride. Pour cela, elle s’est basée sur la technologie du nano générateur triboélectrique, qui possède un principe simple : générer de l’énergie grâce à la friction de deux matériaux.

Transformer une goutte de pluie en électricité

Pour produire de l’énergie, les chercheurs ont recouvert les panneaux solaires d’un polymère transparent, un matériau issu du carbone. C’est la friction entre les gouttes d’eau et ce matériau qui produit le courant.

D’après les premières observations des chercheurs, ce système améliore le rendement du panneau solaire. Contrairement à la première équipe, l’équipe de Soochow a bien pris en compte les contraintes d’une production industrielle pour son panneau solaire hybride. L’innovation devrait donc être fabriquée en série prochainement. Toutefois, avant de lancer sa fabrication, l’équipe doit encore réaliser des tests en conditions réelles pour valider le rendement du panneau.

Sources de l’article :

https://lenergeek.com/2018/04/26/panneau-solaire-hybride-pluie/
https://www.novethic.fr/actualite/energie/energies-renouvelables/isr-rse/innovation-des-panneaux-solaires-qui-fonctionnent-sous-la-pluie-145797.html

En 2016, des chercheurs chinois de l’université de l’Océan et de l’université de Yunnan ont commencé à s’intéresser à la pluie comme facteur d’augmentation du rendement des panneaux photovoltaïques. Pour cela, ils ont étudié les propriétés électro-chimiques de l’eau de pluie. Pour cette première tentative, les chercheurs ont conçu des panneaux solaires en graphène, qui est un matériau très conducteur. Grâce au graphène, l’eau adhère à la surface des panneaux solaires, et un condensateur à deux couches permet de générer de l’électricité grâce à une réaction chimique.

Malheureusement, cette première expérience n’a pas eu le succès escompté. Car si l’expérience a mis en lumière le potentiel de la pluie pour valoriser la production d’énergie, le rendement effectif s’est avéré trop peu élevé pour que l’idée soit viable. De plus, les coûts de production liés à l’utilisation du graphène, un matériel encore récent et trop cher, rendaient inenvisageable une production à échelle industrielle. Pourtant, l’idée d’un panneau solaire hybride était née.

Le 1er panneau solaire hybride chinois

Pour faire de cette idée une réalité, une nouvelle équipe de chercheurs chinois s’est constituée au sein de l’université de Soochow. Elle a travaillé à la mise au point du premier panneau solaire hybride qui reprend les principes du TENG. Le TENG est le nom donné à la technologie du nanogénérateur triboélectrique. Son principe est relativement simple : il s’agit de générer de l’énergie grâce à la friction de deux matériaux.

Leur prototype se compose de trois couches. A la base, on retrouve une couche de polymère texturé ; il doit servir d’électrode commune au TENG et aux cellules photovoltaïques en silicium du panneau solaire. Entre la couche de base et la couche inférieure, les chercheurs ont intercalé un mélange de deux polymères. La couche supérieure se compose d’un polymère transparent, ce qui permet à la lumière du soleil de passer et d’être captée par les cellules photovoltaïques. Lorsque des gouttes d’eau tombent sur la surface du panneau, leur friction avec la couche supérieure permet de produire de l’électricité. Grâce à ces trois couches, le panneau solaire hybride peut continuer à produire de l’énergie grâce à la lumière du soleil. Mais la couche protectrice permet également d’imperméabiliser le panneau : il est protégé en cas de pluie et peut continuer à produire de l’énergie.

D’après les premières observations de l’équipe chinoise, la couche supérieure du panneau de test a une autre incidence : elle augmente la surface du panneau en contact avec la pluie, ce qui améliore le rendement du panneau solaire. Contrairement à la première équipe, l’équipe de Soochow a bien pris en compte les contraintes d’une production industrielle pour son panneau solaire hybride. Il devrait donc être facile à fabriquer en série. Toutefois, avant de lancer sa fabrication, l’équipe doit encore réaliser des tests en conditions réelles pour valider le rendement du panneau.

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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

le projet d’éolienne low cost en kit

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Quatre astuces pour fabriquer son électricité soi-même !



Produire une énergie propre pour recharger son téléphone, son tapis roulant, voire sa maison toute entière ne nécessite pas d’avoir un Bac+12. Quelques mouvements toniques et un peu de bon de sens feront très bien l’affaire ! Voilà 5 achats malins pour du courant vraiment alternatif.

La batterie du marcheur.


Pour ceux qui n’ont pas de quoi investir dans un tapis roulant, il y a Go Kin. Cette petite batterie portable se glisse dans votre sac à dos etproduit de l’énergie grâce aux mouvements effectués. Ainsi, plus vous bougez et plus la batterie contenue dans votre sac se remplit. Un compagnon idéal pour le randonneur contemporain qui a besoin de recharger son smartphone, son appareil photo, son GPS, sa torche USB, on en passe et des meilleurs. Emmanuel Macron likes this.

Le générateur du flemmard.

Soyons honnêtes : vous n’aimez pas la marche à pied… Bon, on ne vous juge pas, d’ailleurs il existe une solution pour vous : HandEnergy. À l’instar du sac Go Kin, elle fonctionne lorsque vous vous déplacez, mais sa petite taille permet de l’avoir en main à tout moment. Ainsi, vous pouvez la secouer lascivement tout en regardant la télévision, dans le bus (évitez de regarder les gens en même tempsn vous pourriez avoir des réactions bizarres) ou en faisant la queue au resto. L’engin se charge comme par magie et sert à recharger les appareils habituels, téléphones, tablettes, … Tout se connecte à un port USB, pour 70 euros, ça va aller ?

L’éolienne à 30 euros.

Un peu plus ambitieux ?


Pourquoi ne pas produire de l’électricité pour votre maison toute entière ? Le projet d’éolienne low cost en kit de Daniel Connell se pose en super défi en la matière.Lui qui a participé à l’aventure innovante DIY « POC21 » en 2015 vous propose de construire une éolienne à six pales grâce à des matériaux de récupération et un tutoriel vidéo en une cinquantaine d’étapes. L’objet peut délivrer un kilowatt sous un vent de 60 km/h, soit l’équivalent de l’énergie pour jouer cinq heures de PS4, regarder 29 films sur DVD ou se faire griller cent tartines. Chaud ?

 

Les enfants aussi ont le droit à leur énergie gratuite.


Quoi de mieux qu’apprendre en s’amusant ? L’entreprise QMod Energy a créé « Block », un boîtier qui permet aux enfants de produire de l’électricité grâce à tout ce qui les entoure : plantes, fruits et légumes, petits objets électroniques, etc. L’idée est de se familiariser avec ces notions, mais aussi d’inventer soi-même des petits objets alimentés directement grâce aux 5 volts produits par leurs trouvailles. Un moyen sans danger d’ouvrir l’imagination de la génération de petits loups qui inventera les solutions pour vivre dans un monde plus vert.

Le tapis roulant auto-alimenté.


Dépensez des calories mais pas d’argent, voilà la promesse d’EcoMill Treadmill, un tapis roulant écolo qui ne requiert aucune électricité si ce n’est celle que vos efforts produisent. Et pas besoin de courir comme un dératé, EcoMill fonctionne aussi en marchant. Vrai bijou de technologie, son ergonomie permet même de griller 30% de calories de plus que sur un tapis classique. Idéal pour les allergiques à la salle de fitness et aux factures d’électricité salées ! Vous êtes à quelques foulées de l’autonomie énergétique pour un investissement initial de 9 900 euros ! Hum, oui, bon, la gratuité prend du plomb dans l’aile…


N’empêche qu’en courant chaque matin vous allez résilier votre abonnement au réseau électrique.

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transforme le plastique en carburant

Une nouvelle machine qui transforme le plastique en carburant inventée par un Azuréen


Le comédien Samuel le Bihan est connu pour son implication environnementale. Le fondateur de l’association Earthwake a présenté le 10 septembre 2018 un prototype d’une machine qui va permettre la valorisation du plastique afin d’éviter que ces déchets se retrouvent dans l’océan.


Regardez la vidéo afin de découvrir comment fonctionne cette machine et les applications qui lui sont destinées :


TRANSFORMER DU PLASTIQUE EN CARBURANT EST DÉSORMAIS POSSIBLE

Par CNEWS – Mis à jour le Publié le 

L’association EartWake a dévoilé lundi 10 septembre à Antibes, le prototype d’une machine capable de transformer le plastique en carburant.


Cette machine a été inventée et développée par Christopher Costes. Son fonctionnement est très simple, il suffit de ramasser quelques déchets plastiques réduits en paillette et ensuite de les verser dans la machine. La machine va chauffer à 350 degrés le plastique et on obtient du diesel et de l’essence. Présentée par le comédien Samuel Le Bihan, la machine Chrysalis est capable de transformer un kilogramme de déchet plastique en 600g de diesel et 250g d’essence en 30 minutes.

Les carburants obtenus sont utilisables dans des moteurs de bateaux, de voitures ou de générateurs. L’objectif maintenant est de créer une machine plus grande d’ici quelques mois pour traiter 70 kilos de plastiques par heure afin de l’envoyer sur une zone polluée. Cette machine a été pensée pour lutter contre la pollution de la mer.


 

C’est sur le port d’Antibes que l’équipe de Earthwake a présenté le prototype. C’est Christofer Costes, employé de l’association et résident des Alpes-Maritimes, qui a inventé cette machine baptisée Chrysalis.

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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

 

Faites tourner votre Moteur… à L’eau !

Glyphosate, La Bretagne Championne

L’organisation interprofessionnelle des apiculteurs estime à 16 900 le nombre de ruches mortes cet hiver en région Bretagne. Sur 59 000 au total ! Beaucoup se demandent pourquoi les apiculteurs bretons sont plus atteints par la mortalité des abeilles que dans le reste de la France ?

La réponse ne demande pas beaucoup de recherches. On utilise beaucoup de glyphosate en Bretagne, autant que dans les vignobles du Bordelais. Les Côtes d’Armor et surtout le Finistère font partie des 10 départements français qui consomment le plus de glyphosate. La Loire-Atlantique n’est pas en reste avec son important vignoble. Le glyphosate est un herbicide inventé par un chimiste suisse en 1950 et fabriqué par la firme américaine Monsanto. Monsanto fabriquait déjà l’agent orange , aussi un défoliant, utilisé pendant la guerre du Vietnam et qui a affecté les populations civiles et leurs descendances de terribles mal-formations.


Et pourquoi ça ? Tout simplement parce que, d’une part la Bretagne est une terre d’agriculture, et que d’autre part, l’herbe y pousse plus vite et plus drue qu’ailleurs. Même les Chinois avaient remarqué que chez nous l’herbe pousse toute l’année et ne jaunit pas. Les vaches y produisent beaucoup de lait. Les éleveurs sont contents, mais les céréaliers ou les producteurs de légumes et de légumineuses beaucoup moins.


Pour contrôler l’herbe, les agriculteurs bretons, non-bio, aspergent leurs champs de glyphosate avant les semailles. Même les plantations de sapins de Noel sont aspergées entre les rangs régulièrement pour éliminer l’herbe et les broussailles et aussi certains vergers. Deux tiers des agriculteurs utilisent du glyphosate selon la FDSEA du Finistère.

Le glyphosate est utilisé comme herbicide, mais il est aussi utilisé depuis peu comme agent de dessiccation. Il s’agit de dessécher les récoltes pour récolter une ou deux semaines plus tôt et éliminer des plantes invasives comme les chardons !

Pourquoi les moteurs vont consommer un peu d’eau

Notre Boutique est ICI Désormais

 

 

Pourquoi les moteurs vont consommer un peu d’eau

 



Si le moteur à eau relève de l’utopie, mélanger ce liquide aux vapeurs d’essence permet de diminuer la consommation et la pollution. Testé sur la M4 GTS forte de 500 chevaux, le système Bosch débarquera sur des BMW plus modestes courant 2019.

RÉAGIR

Injecter de l’eau dans un moteur pour économiser de l’essence ? On pourrait croire à une plaisanterie si l’affirmation ne recevait la caution de noms aussi prestigieux que ceux du motoriste BMW et de l’équipementier Bosch. De fait, la BMW M4 GTS est la première auto de série au monde à aspirer de la vapeur d’eau en même temps qu’un mélange d’air et d’essence. Oh ! A peine quelques millilitres d’eau par centaine de kilomètres parcourus. C’est suffisant, prétendent les ingénieurs allemands, pour économiser 4 % de carburant et de CO2 en moyenne sur le cycle normalisé WLTP, et davantage en conditions réelles de conduite (jusqu’à 13 %).



Introduit en 2016 sur le modèle le plus puissant et le plus exclusif de la Série 4 (forte de 500 chevaux, la M4 GTS est vendue au prix de 149.900 euros), ce système Waterboost breveté par Robert Bosch GmbH devrait être introduit sur des BMW à diffusion plus large dans le courant de l’année 2019. En effet, le constructeur laisse entendre que l’injection d’eau convient aussi bien à de modestes 3-cylindres qu’à un gros 6-cylindres surpuissant. Tout est question de rendement thermique, de taux de charge et de suralimentation.

Qui l’eût cru ? Une part de l’essence sert à refroidir le moteur

Revenons aux fondamentaux. Pour gagner des chevaux, les motoristes ont recours au compresseur qui sert à gaver le moteur en air et en essence. Résultat, à puissance égale, on peut diminuer la taille du moteur.

 

 

 



Mais comprimer l’air l’échauffe, tant et si bien que l’essence arrive à s’enflammer à son seul contact, sans attendre l’étincelle à la bougie (auto combustion ou cliquetis). Voilà qui fait désordre.

Le remède immédiat consiste à diminuer la pression de suralimentation et le taux de compression du mélange. Mais puissance et rendement thermique s’en ressentent alors. En compétition, les préparateurs ont recours depuis des dizaines d’années à des carburants exotiques, à très fort taux d’octane, dont la vaporisation absorbe davantage de calories que le supercarburant du commerce : méthanol et éthanol.

 

Il n’était pas question pour BMW d’exiger de ses clients qu’ils abreuvent leur M4 GTS en méthanol ou en éthanol : on n’en trouve pas à la station du coin. Pas question non plus d’abuser de la stratégie qui consiste à injecter un surcroît d’essence pour refroidir les chambres de combustion. Le 6-cylindres 3.0 biturbo de la BMW M4 y a déjà recours (comme nombre de moteurs suralimentés à essence, lorsqu’ils fonctionnent sous forte charge) mais pour passer de 431 chevaux à 500 chevaux, la consommation de carburant et les émissions de CO2 se seraient envolées au-delà du raisonnable.

Refroidir le mélange pour mieux exploiter le turbo

 



Au lieu de cela, les motoristes de BMW ont essayé puis adopté le système Waterboost de Bosch. L’injection de fines gouttelettes d’eau dans la tubulure d’admission permettrait d’abaisser de 25°C la température du mélange admis, par le simple effet de vaporisation. C’est le même effet qui fait frissonner le baigneur au sortir de la piscine en plein été.

Moins chaud, l’air conserve une densité supérieure qui renforce l’effet de gavage du compresseur qui souffle plus fort de 0,2 bar. En conséquence, le rendement thermique augmente, la consommation diminue, le seuil de cliquetis est repoussé et le point d’allumage peut être avancé. Le cercle vertueux, en somme.

La technique du dopage à l’eau ne sert pas uniquement les fortes puissances. En 2015, BMW avançait des gains significatifs pour son prototype de moteur 3-cylindres 1.5 turbo à essence : consommation en baisse de 8 %, malgré une puissance en hausse de 10 % (218 chevaux). Mieux, le constructeur constatait une réduction sensible des émissions d’oxydes d’azote.

Les amendes CO2 rentabilisent le coût du dopage à l’eau

 



Face à tous ces avantages, on se demande pourquoi les constructeurs n’ont pas adopté plus tôt le dopage à l’eau, utilisé sur certains moteurs d’avion alimentés au méthanol durant la Seconde Guerre Mondiale.

Comme toujours, la réponse tient en un équilibre délicat entre coût et fiabilité. Le renforcement de la taxation des émissions de CO2 permet de rentabiliser un système tel que le Waterboost de Bosch qui aurait été considéré comme superflu voici encore deux ans. Son surcoût reste difficile à estimer : de l’ordre de quelques centaines d’euros sur la BMW M4 GTS qui emporte un réservoir de cinq litres d’eau et sa pompe dédiée, ainsi que six injecteurs supplémentaires. Fort logiquement, la consommation varie en fonction de l’usage (conduite plus ou moins sportive). Le prix de revient devrait baisser avec la fabrication en série.

Des entreprises font confiance à Moteur.Bzh Eco-Leau, à l’image de COLAS & SCREG T.P. *(filiale du groupe 

Bouygues), du groupe AXIMA Réfrigération , ainsi que des Stés de Transports, Taxi, Ambulances, etc… , qui ont déjà adopté le kit pour équiper leur flotte de véhicules et quelques institutions publiques & Mairies …

Montage effectué sur le Site de Screg Heillecourt en 2013 sur un Master : Résultat, plus de 2.5 L de Gain aux 100 KM…

Par ailleurs, certains préparateurs ont vérifié à leurs dépens que l’eau n’est pas compressible : la vaporisation des gouttelettes doit être absolument garantie, au risque de voir l’eau s’accumuler et briser pistons et bielles. La puissance de calcul de l’électronique garantit une finesse dans le dosage qui n’existait pas même en rêve voici dix ans.

On se souviendra que Renault et Daimler, entre autres constructeurs se sont intéressés à l’injection d’eau pour en évaluer l’intérêt. Nul doute que leurs conclusions devront être réévaluées à l’aune du renchérissement du coût des systèmes de dépollution et des malus CO2 qui frappent le consommateur. Sans parler d’une taxation qui pourrait se baser à l’avenir sur les émissions de gaz polluants. Le potentiel de l’injection d’eau intéresse également le constructeur allemand MAN, qui l’adapte à ses gros moteurs Diesel marins.

Moteur Pantone et injection d’eau  : pas la même chose

L’injection d’eau, avenir du moteur
*Le kit #Hybride4All peut être installé en 1 à 2H sur la plupart des moteurs de base sans modification majeure :
Installation, Avantages du #Hybrid4All ,
http://hybrideaeau.fr/…/la-vapeur-eau-source-energie-hybri…/

HYBRIDEAEAU.FR
 
Dans un moteur à combustion interne, les deux tiers de l’énergie contenue dans le carburant sont transformés en chaleur. Une perte que les ingénieurs cherchent aujourd’hui à récupérer pour diminuer les consommations.#Hybride4All Injection de vapeur froide d’eau a l’admission d’air P…

 

 

 



Inventeur américain, Paul Pantone a donné son nom en 1980 au principe qu’il a breveté : exploiter la chaleur du système d’échappement du moteur pour vaporiser un mélange de supercarburant et d’eau (à hauteur de 80 %). On est loin des quelques centilitres qu’injecte le système H4All demoteur.Bzh. Le débat autour du moteur Pantone dure depuis des décennies : certains le considèrent clos, en raison de l’absence d’étude scientifique indépendante venant quantifier les bénéfices vantés (puissance en hausse, diminution de la pollution et de la consommation). D’autres préfèrent se laisser séduire par la théorie fantasque du complot ourdi par les sociétés pétrolières et les motoristes, pour étouffer les mérites du procédé et décourager ceux qui seraient tentés d’investir les sommes considérables que réclamerait son perfectionnement nécessaire.

Les quelques ingénieurs consultés à ce propos par Challenges balaient le procédé du revers. Leur argumentaire se limite à ce constat : l’idée de produire de l’énergie à partir de l’eau est séduisante mais si, finalement, le procédé consomme davantage d’énergie qu’il n’en produit, alors le système est vain. Les ingénieurs parlent d’un bilan énergétique absurde. Sans parler du fait que la température des gaz d’échappement du moteur sont bien inférieures à celles requises par les réactions chimiques invoquées par le système Pantone.



« De l’eau dans le gasoil ? » : de la légende à la réalité !

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Légende urbain, énième intox du « moteur à eau » ou technique trouvant des fondements scientifiques ? En 2008, Patrick Lefrère et Cyril Flouard entendent pour la première fois parler du « dopage à l’eau », technique qui permettrait d’augmenter l’efficacité des moteurs des voitures. Intrigués, les deux réalisateurs ont voulu en avoir le cœur net, multipliant les rencontres avec des inventeurs indépendants, des agriculteurs et des scientifiques aux quatre coins de la France. Les deux compagnons mènent une enquête de fond depuis des bricoleurs passionnés jusqu’aux plus grandes marques de voitures dans le monde, pour répondre à une question aux enjeux économiques et environnementaux importants. Le documentaire , porté par le collectif « Les zooms vert », est en libre accès sur YouTube. 


« Réunis par une même volonté de contribuer à une réflexion citoyenne pour réduire l’impact du transport sur l’environnement », Patrick Lefrère et Cyril Flouard n’avaient pas froid aux yeux, lorsqu’ils ont décidé de s’attaquer à « la légende des moteurs à eau », parfois également connue sous l’appellation de « moteur Pantone ». Une fois les fakes et autres théories bidons écartées, on découvre un socle expérimental sérieux mais méconnu. Se pourrait-il qu’en ajoutant un système d’injection d’eau à des moteurs classiques, les rendements d’une voiture soient augmentés et les pollutions diminuées ? Ils veulent en avoir le cœur net.

Une enquête de 4 ans !

Patrick, technicien audiovisuel depuis 2002, a toujours essayé de « faire des films pour que les citioyen.ne.s puissent vivre dan un monde meilleur »C’est dans le même esprit qu’il s’est lancé dans l’aventure avec Cyril Flouard, également en recherche d’informations sur le sujet. Avec nuance, en toute transparence et avec le soucis de présenter des éléments suffisamment solides pour alimenter leur propos de manière scientifique, les deux réalisateurs nous présentent une enquête aux multiples soubresauts, naviguant adroitement entre théories du complot et intérêts économiques industriels pour tenter d’approcher la vérité.

 

Au fil des mois, l’équipe se rend progressivement compte que le dopage à eau n’est pas un simple mythe. Une application technologique est possible, ce dont certaines personnes se sont rendues compte il y a déjà bien longtemps : en 1902, un ingénieur nommé Clergé déposait un brevet se fondant sur cette technique, car elle allongerait la durée de vie des moteurs. La clé ? Grâce à l’injection d’eau, la température de combustion du moteur est réduite, sa puissance et son rendement sont augmentés. L’eau ne remplace en aucun cas l’essence, mais son action permet d’augmenter les performances.

Plus récemment, de grandes marques se sont penchées sur la question. C’est ainsi que Renault possède un brevet depuis 2005 et qu’un moteur de Bosch employant cette technique est désormais monté sur la M4 GTS de BMW, une voiture de série de luxe. Bosch prévoit désormais la commercialisation de moteurs de ce type pour des voitures plus petites, estimant que les gains pourraient aller jusqu’à 13%.

Prototypage Bosch.« Questionner la mécanique profonde du monde de l’automobile »

« C’est un système qui marche et qui mérite d’être développé, notamment sur les voitures anciennes, pour limiter la pollutions des véhicules » commente Patrick Lefrère, qui reconnaît que beaucoup de personnes installent mal le système sur leur propre voiture, si bien que les résultats ne sont pas à la hauteur des espérances. Par ailleurs, il estime que l’idée devrait surtout être développée sur les moteurs ayant une charge importante, c’est à dire les tracteurs ou encore les véhicules de chantier. Mais si ce « moteur Pantone » permet bien de réduire de manière significative les émissions de monoxyde de carbone et de dioxyde de carbone, reste à savoir : pourquoi une telle technologie est-elle restée au placard si longtemps, et ne connaît qu’un regain d’intérêt si tardivement ?

Patrick Lefrère en est convaincu : « L’industrie ne cherche pas à faire des voitures performantes d’un point de vu environnemental.Cette industrie, explique t-il, est un mélange d’intérêts économiques, géopolitiques, et technologiques. À l’heure actuelle nous pourrions faire des voitures pouvant rouler avec 1 litre au 100 kilomètres. Mais aujourd’hui, on cherche à faire des voitures puissantes, confortables, sécurisées et avec beaucoup de gadgets et ça, ca consomme », lance t-il encore. Pas de complot donc, mais de simples logiques commerciales dans un monde capitaliste. Alors, faut-il, comme le suggère le réalisateur, « un débat citoyen et politique autour du sujet » ?

Le moteur aimant fonctionne – mais le monde ne veut pas l’avoir

Un aimant économe en terres rares pour les moteurs électriques




Dans les véhicules électriques, il n’y a pas que les batteries qui contiennent des éléments rares et difficiles à recycler. Les aimants des moteurs électriques sont eux aussi composés de terres rares. C’est pourquoi Toyota a développé un nouvel aimant.

Moteur électrique de la Toyota Prius de quatrième génération (c) Toyota
moteur synchrone
Fonctionnement d’un moteur électrique synchrone (c) Wikimédia

Les moteurs électriques, dont ceux des VE, sont en fait des moteurs électromagnétiques et fonctionnent grâce à des aimants permanents. Ces derniers composent le rotor, la partie mobile du moteur qui est reliée à l’arbre de transmissions et fait tourner les roues. Le rotor est mis en mouvement par un champ magnétique tournant produit par le stator – des bobines alimentées par un courant qui composent la partie statique du moteur.

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Des terres rares pour maintenir l’aimantation à haute température

Les aimants utilisés dans les moteurs automobiles doivent avoir une coercivité élevée, c’est-à-dire une forte résistance à la démagnétisation, et ce même à des températures élevées. C’est pourquoi ces aimants se composent d’environ 30 % de terre rares, un groupe de 17 métaux aux propriétés électromagnétiques remarquables. Le néodyme (Nd) est le plus utilisé, combiné au terbium (Tb) et au dysprosium (Dy). Seul problème : ces éléments sont dits « critiques ». En particulier, terbium et dysprosium ne sont trouvés que dans des régions à fort enjeux géopolitiques.

Une demande qui risque d’augmenter avec l’essor des VE

Selon le bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), la demande en terres rares pour les aimants permanents devrait connaître une hausse de 7 % par an jusqu’à 2020. « En l’absence de réutilisation et de recyclage efficaces ou en l’absence de mise au point de technologies qui utilisent des quantités plus faibles de Dy et de Nd, le fait de suivre une voie compatible avec la stabilisation du CO2 atmosphérique à 450 ppm pourrait entraîner une augmentation de plus de 700 % et de 2 600 % pour le Nd et le Dy, respectivement, au cours des 25 prochaines années », a établi une étude du MIT publiée en 2012.

Une teneur en néodyme réduite de 50 %

C’est justement ce à quoi s’est attaché Toyota, en collaboration avec le NEDO, l’organisation japonaise pour le développement des énergies nouvelles et des technologies industrielles. Le constructeur a mis au point une technologie permettant de réduire de 50 % la quantité de néodyme utilisée dans les aimants, tout en remplaçant terbium et dyprosium par des terres rares plus légères, plus abondantes et moins coûteuses : le lanthane (La) et le cérium (Ce). Et ce sans réduire la coercivité des aimants, et donc les performances du moteur.

Toyota - Proportion des terres rares dans les aimants des moteurs electriques
(c) Toyota

La structure de l’aimant raffinée

Pour y parvenir, les chercheurs ont d’abord augmenté la concentration de néodyme à la surface des grains magnétiques tout en la réduisant à l’intérieur. Ensuite, ils ont diminué la taille des grains de l’aimant de plus d’un dixième et les ont étirés afin de multiplier par 10 les surfaces de contact. Enfin, ils ont trouvé le bon ratio entre néodyme, lanthane et cérium évitant une dégradation des propriétés de l’aimant.

De premiers véhicules équipés à l’horizon 2020 ?

Désormais, Toyota vise le développement d’une production stable et à faible coût de ces aimants. Le constructeur prévoit d’en équiper des véhicules dès les années 2020, mais aussi d’explorer d’autres applications notamment dans la robotique ou l’électroménager.

Moteur électrique asynchrone
Moteur électrique asynchrone (c) Mtodorov 69 / Wikimédia

En parallèle, d’autres pistes sont explorées pour remplacer les terres rares dans les moteurs électriques. Dès 2015, Renault a remplacé l’aimant par un rotor bobiné dans le moteur de sa Zoé, le R240 (voir notre brève). D’autres constructeurs s’orientent vers des moteurs à induction (ou moteur asynchrone), sans aimants, plus volumineux mais plus faciles à refroidir.

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Rouler à l'eau pour économiser du Carburant

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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

Faites tourner votre Moteur… à L’eau !

« Je demande des efforts aux Français »

« Je demande des efforts aux Français »…

14 chauffeurs, 60 cuisiniers et hôteliers : les chiffres sur le cabinet d’Édouard Philippe

cabinet_edouard_philippe

604 personnes travaillent pour les seuls services du Premier ministre, ce qui représente une dépense annuelle de 7,47 millions d’euros pour les seules primes de cabinet (désormais appelées, « indemnités de sujétion particulières ») !

Observatoire des gaspillages

Le Premier Ministre Édouard Philippe a 164 personnes dans son secrétariat, 60 personnes qui travaillent pour la cuisine et l’hôtellerie, 38 personnes pour sa sécurité, et 14 chauffeurs.

Son seul cabinet compte 67 personnes pour le conseiller, dont 11 personnes affectées à son cabinet militaire.

Les primes pour le personnels du cabinet du Premier ministre coûtent un million d’euro de plus qu’en 2007, et 159 000 euros de plus qu’en 2016 !




604 personnes travaillent pour les seuls services du Premier ministre, ce qui représente une dépense annuelle de 7,47 millions d’euros pour les seules primes de cabinet (désormais appelées, « indemnités de sujétion particulières ») !

Le Premier Ministre Édouard Philippe a 164 personnes dans son secrétariat, 60 personnes qui travaillent pour la cuisine et l’hôtellerie, 38 personnes pour sa sécurité, et 14 chauffeurs.


Son seul cabinet compte 67 personnes pour le conseiller, dont 11 personnes affectées à son cabinet militaire.

Les primes pour le personnels du cabinet du Premier ministre coûtent un million d’euro de plus qu’en 2007, et 159 000 euros de plus qu’en 2016 !

Ci-dessous, trois extraits du rapport concernant le cabinet d’Édouard Philippe :

Ces chiffres ne représentent que les personnels affectés au cabinet du Premier ministre, ou les personnes de « support » (cuisine, intendance, logistique…) du cabinet du premier ministre.

L’administration du Premier ministre comprend plus d’une centaine de services, qui assistent le Premier ministre et prennent part à l’élaboration de la politique du Gouvernement.


Au total, 9 579 personnes composeraient la totalité des services du Premier ministre (derniers chiffres connus, publiés en décembre 2017 dans le rapport annuel sur l’état de la fonction publique).

Pour Contribuables Associés, l’argent public, c’est l’argent des citoyens. Chaque euro dépensé doit être un euro utile !

Sources : Annexe au Projet de loi de finances pour 2018,Personnels affectés aux cabinets ministériels

Chiffres clés 2017 de la fonction publique,Rapport Annuel

2018_jaune_personnels

Découvrez le rapport en cliquant sur l’image

 
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Moteur Eau

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Pour le moment, il faut réinjecter de l’eau de pluie ou de l’eau déminéralisée tous les 1000 kilomètres mais la technique est déjà fonctionnelle et très prometteuse. Alors qu’est ce qu’on attend ?!

une batterie qui se recharge en 1 minute

Henrik Fisker invente une batterie qui se recharge en 1 minute et dure deux fois plus longtemps


Henrik Fisker invente une batterie qui se recharge en 1 minute et dure deux fois plus longtemps

(Ecofin Hebdo) – Henrik Fisker pourrait bouleveser l’univers des voitures électriques. Sa compagnie a en effet mis en place une batterie solide pouvant permettre 800 km d’autonomie après juste 1 minute de charge, tout en durant deux fois plus longtemps que les batteries actuellement sur le marché.

 

CANALA

 

Un Danois invente la batterie solaire qui se recharge en 1 minute

Sa batterie de voiture électrique serait infiniment plus performante que celles de la concurrence : 800 km d’autonomie chargée en 60 secondes.

L’avenir de la voiture électrique, c’est la batterie solaire.


Conscients que l’infériorité des batteries électriques en matière d’autonomie est ce qui retient encore les consommateurs, les constructeurs automobiles travaillent à améliorer le rendement des batteries lithium-ion. Mais peut-être vaut-il mieux repartir de zéro, comme le pense Henrik Fisker, ex-designer automobile chez Aston Martin ? Sa startup, Fisker Automotive travaille ainsi à des batteries solides alimentées à l’énergie solaire.

Rapide comme la foudre, sans explosion.


En délaissant les solutions liquides d’électrolytes, cette solution est censée exclure tout risque de surchauffe ou d’explosion. Ces batteries offriraient aussi une capacité de stockage plus grande et, surtout, elles se rechargeraient infiniment plus vite. On parle de batteries en mesure de fournir jusqu’à 800 kilomètres d’autonomie en les rechargeant en seulement une minute. Boom !

L’horloge solaire avance un peu.


Si le principe des batteries solides est déjà connu, les experts estiment pourtant qu’on ne saura pas en produire en quantité industrielle et à des prix abordables avant plusieurs années. C’est là-dessus qu’Henrik Fisker n’est pas d’accord du tout. Il jure que ses recherches sont plus près que jamais d’aboutir. Histoire d’enfoncer le clou, l’ingénieur avance que ses batteries dureront 1000 cycles de charges, soit le double de ce qui est en vogue aujourd’hui.

S’il réussit son coup, ce sera un véritable point de bascule dans l’histoire automobile. D’autant que Fisker ne compte pas produire que des batteries, mais aussi (surprise) des voitures. Vu l’enjeu, voilà une affaire dont on va à nouveau entendre parler dans les mois à venir.

https://detours.canal.fr/danois-invente-batterie-solaire-se-recharge-1-minute/

 

Neutre en CO2 et sans danger

Un bus urbain Qui roule à l’acide formique




Une innovation remarquable pour améliorer la qualité de l’air
RECHERCHE & ANALYSE

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11 SEPTEMBRE 2017

Permettre de respirer de l’air pur : c’est l’une des pierres angulaires de la stratégie durable d’Air Liquide. Pour atteindre son objectif, la société travaille activement à diverses solutions destinées à améliorer la qualité de l’air. L’une d’entre elles, un bus urbain révolutionnaire roulant à «l’hydrozine», a été développée par l’équipe Team FAST.


Air Liquide ne se contente pas de proposer des innovations en matière de durabilité, elle finance aussi des projets universitaires prometteurs tels que le bus urbain à l’hydrozine de Team FAST (Formic Acid Sustainable Transportation). Team FAST est une équipe d’étudiants rattachée à l’Université technique d’Eindhoven comptant 35 membres. L’équipe planche sur un projet de bus urbain roulant à «l’hydrozine», une substance liquide composée à 99 %* d’acide formique (également appelé acide méthanoïque).

L’hydrozine, source de courant électrique


L’hydrozine n’est pas un carburant en soi , mais il le devient lorsqu’un «reformeur» le scinde en hydrogène et en CO2, lorsque le véhicule roule. L’hydrogène alimente alors une pile à combustible, qui le transforme en courant électrique. Le système de propulsion inventé par Team FAST pour un bus urbain génère un courant de 25 kW, ce qui correspond à une puissance de 30 à 35 ch. C’est suffisant pour propulser un bus, même si ce n’est pas à une vitesse fulgurante.

Neutre en CO2 et sans danger


Comme le dispositif (composé d’un réservoir à hydrozine, du « reformeur » et de la pile à combustible) est encore trop volumineux, il est hébergé dans une sorte de remorque appelée «REX» ou «Range Extender» attachée à l’arrière du bus.. Le bus électrique de la marque VDL bénéficie, dans le projet test actuel, de 200 km d’autonomie supplémentaire grâce à l’acide formique contenu dans le REX qui lui est adossé . Le système hydrozine/REX est neutre en CO2, durable et sûr. Cette technologie offre de réelles possibilités d’amélioration de la qualité de l’air dans les villes et les communes. La substance présente par ailleurs de nombreux avantages pratiques. Citons notamment la densité énergétique de l’hydrozine, quatre fois plus élevée que celle d’une batterie classique, ainsi que sa forme liquide.


Si le projet de bus urbain en est encore à la phase de test, l’équipe a déjà réussi à mettre en marche une maquette de Porsche 911 d’une longueur d’1 m à l’aide de la même technologie. La raison pour laquelle Team FAST a choisi de travailler sur un bus est qu’il existe peu de solutions alternatives durables dans ce domaine. Les sociétés de bus sont dès lors très attentives quand on leur parle d’un système de propulsion alimenté par une source d’énergie renouvelable, offrant une autonomie de 400 km et permettant de faire rapidement le plein.

Une pile à hydrogène?


«Produire de l’énergie verte en utilisant intelligemment les sources naturelles telles que le soleil, le vent et l’eau est déjà un défi de taille en soi, en tout cas si l’on veut le faire de façon réellement durable, économique et rentable. Stocker et acheminer cette énergie une fois produite est encore plus difficile», explique André Vredenburg, Research & Analysis Sales Representative chez Air Liquide. «Utiliser l’hydrozine comme vecteur d’hydrogène (on peut en fait la considérer comme une sorte de pile à hydrogène) constitue sans aucun doute une innovation prometteuse, qui permet d’emmagasiner de l’énergie à haute densité dans un véhicule

Prochaine étape: prototype REX opérationnel


«Nous sommes ouverts à toutes les inventions pertinentes susceptibles d’améliorer la qualité de l’air et nous nous efforçons d’y apporter notre contribution, qu’elle soie technique, financière ou les deux à la fois. Dans cette optique, nous travaillons volontiers avec des universités et des étudiants, car ils sont ceux qui façonnent l’avenir. Nous avons été ravis de participer à ce projet et il nous donne l’envie de continuer dans cette voie.Team FAST devrait disposer d’un prototype REX opérationnel d’ici la fin de l’année. Nous envisagerons alors le rôle que pourrait jouer Air Liquide dans le développement de cette technologie.»


*Le pour cent restant est un additif permettant d’utiliser également l’acide formique à basse température.Découvrez Le système Hybride4All Qui permet de Faire des Economies sur tout les Moteurs Thermiques, quel qu’il soit: essence , diesel, GPL, Bio-éthanol.

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comment mourir écolo ?

La demande de cercueils en carton augmente auprès des pompes funèbres


Plusieurs clients de pompes funèbres demandent désormais à disposer de cercueils en carton, plus respectueux de l’environnement dans le cadre d’une inhumation.


Amandine BegotLa Revue de PresseLa rédaction de RT

L’écologie, une préoccupation qui touche désormais tous les secteurs. La preuve avec cette question : comment mourir écolo ? C’est à lire à la une du Bien Public. Le quotidien est formel. « Il s’agit d’une vraie tendance aujourd’hui », expliquent les pompes funèbres de Dijon. « Une famille sur 3 demande si nous commercialisons des cercueils en carton« .

 

Des cercueils moins chers, comptez entre 100 et 600 euros. Plus écolo aussi. En cas d’inhumation, il se dégrade en seulement une année quand un cercueil en bois peut mettre jusqu’à 10 ou 15 ans.

Par ailleurs, sachez-le : la crémation est de loin la solution la plus respectueuse de environnement avec 233 kilos de CO2 en moyenne, contre 833 (3 fois et demi plus) pour une inhumation. C’est l’équivalent tout de même de ce que rejette une voiture qui parcourt 1.000 km.<

Les briques Lego en canne à sucre


Depuis le début mois d’août la marque Lego, 1er vendeur de jouets dans le monde, commercialise de nouvelles briques, fabriquées à partir de canne à sucre. Alors que les amateurs se rassurent, le groupe danois est formel, aucune différence avec les Lego tels qu’on les connait.

La sensation au toucher est la même, les briques s’empilent toujours à l’infini. Le matériau en revanche est bien moins polluant que le pétrole qui servait jusqu’ici à fabriquer les briques multicolores.


Pour l’instant, explique Le Figaro Économie qui révèle ce lundi 27 août l’information, ces Lego écolo ne sont vendus que dans quelques pays. En Allemagne, au Royaume-Uni, en Autriche, aux États-Unis et au Canada. En France, ces nouveaux jouets plus respectueux de l’environnement devraient arriver dans nos rayons à l’automne.

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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

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