ECO L’EAU® : une nouvelle Façon de faire tourner les Moteurs
DÉCOUVERTES
Octobre 2019
Avec la flambée du prix du pétrole et la hausse des taxes, rouler en voiture coûte de plus en plus cher aux Français. L’addition est également salée pour l’environnement : en France, le secteur routier est responsable de plus du tiers des émissions de CO2, qui contribuent au réchauffement climatique. Heureusement, il existe une solution permettant de consommer moins de carburant tout en réduisant son empreinte écologique : le moteur à eau Eco l’eau. Fabriqué et commercialisé par la société bretonne Moteur BZH, cet ingénieux système peut être installé sur tous les moteurs thermiques.
La perte d’énergie, grand défi du moteur à combustion
Dans les moteurs à combustion interne, seuls 30 % de l’énergie du carburant servent à faire avancer les véhicules. Les deux tiers restants sont transformés en chaleur, qui se dissipe dans le circuit de refroidissement et dans l’échappement. Pour diminuer la consommation de carburant, il est donc indispensable de récupérer cette énergie envolée. C’est à ce défi que s’est attaqué avec succès Laurent Baltazar, fondateur de Moteur BHZ. Il y a huit ans, il a inventé le système Eco l’eau, qui dope le moteur en injectant un mélange homogène de particules d’air humide et de particules de carburant pulvérisées.
Le principe Eco-L’eau®
Eco l’Eau est un concept d’avenir qui est inspiré du passé. Il utilise le cycle Rankine, inventé au 19ème siècle par un ingénieur écossais, qui a permis la construction de la machine à vapeur. La chaleur est transformée en vapeur par un échangeur placé sur la ligne d’échappement. Même si ce principe est connu depuis 1865, il n’a pas été facile de l’adapter à l’automobile. Laurent Baltazar a énormément travaillé pour trouver les réglages adéquats et pour placer les composants du système de façon à optimiser la production de vapeur.
La voiture dopée par l’échappement
Brûlants, les gaz d’échappement offrent un énorme potentiel énergétique… jusqu’ici inutilisable. Mais voici qu’un Système génial réalise l’exploit, grâce à un astucieux circuit de récupération d’énergie !
FAITS & CHIFFRES
Le secteur des transports représente, selon l’OCDE, 23 % des émissions mondiales de C02, soit environ 7 milliards de tonnes de CO2 par an. Or, les voitures représentent plus de 40 % de ces émissions: agir sur leur consommation est donc un axe important de la lutte contre le réchauffement.
D’autant que le parc automobile sera multiplié par trois sur le demi-siècle 2000-2050, pour dépasser les 2 milliards de véhicules.
Il fume, il pollue, il sent mauvais… le pot d’échappement a mauvaise réputation. Mais cela pourrait bien changer ! Non que cette indispensable voie d’évacuation des gaz produits par le moteur à combustion puisse d’un seul coup devenir « présentable », mais parce qu’elle pourrait se révéler… une véritable mine d’or ! Ou plutôt un gisement d’énergie qui, une fois récupérée et réinvestie dans le moteur, permettrait de doper les voitures en abaissant leur consommation. Qui dit mieux ?
Pour comprendre, il faut savoir que, dans le meilleur des cas, 30% seulement de l’énergie contenue dans le Moteur d’une automobile classique sont transformés en force motrice .
Les deux tiers restants sont dissipés sous forme de chaleur, un peu par radiation (5 %), beaucoup dans le circuit de refroidissement (30 %)… mais surtout dans les gaz d’échappement (35 %). En clair, les échappements – qui rejettent principalement de l’azote, de vapeur d’eau et du dioxyde de carbone (CO2) – recèlent un potentiel énergétique qui correspond à plus du tiers de l’énergie originelle contenue dans le carburant! De quoi donner des idées Car puiser dans ce gisement serait un bon moyen d’économiser le carburant (voir « Faits et chiffres »). Une bonne nouvelle pour le portefeuille, mais aussi pour la planète, puisque consommation et rejets de CO2 vont de pair: 1 % de carburant non consommé, c’est 1 % d’émissions en moins !
Reste que pour puiser dans ce gisement, un problème se pose : cette énergie potentielle des gaz d’échappement n’est pas disponible sous forme liquide, mais sous forme d’énergie cinétique et de chaleur (les gaz, réchauffés dans le catalyseur qui supprime une partie des polluants en les brûlant, atteignent 800 °C sur un moteur à essence, 650 °C sur un Diesel).
Comment, dans ces conditions, mettre cette énergie à la portée de l’industrie automobile? Longtemps, la chose a paru inaccessible… jusqu’à ce qu’une jeune société d’ingénierie française, Moteur.Bzh ne réalise l’exploit: elle a déjà commercialisé plus De 7 000 Kits d’un astucieux procédé de son invention qui permet de réduire la consommation de carburant (et les émissions de CO2) de 20 % ! Une opportunité quasi miraculeuse: il se trouve que c’est exactement l’effort de réduction des émissions exigé par la nouvelle réglementation européenne …
Ce bond promis par Eco Leau n’a pas jailli de nulle part, la valeur énergétique des gaz d’échappement n’a pas échappé en effet aux ingénieurs. Le tout était de trouver le bon moyen d’y puiser…
Or, la nature même du gisement suggère deux voies de recherche incompatibles: une cinétique, et une autre thermique.
Historiquement, c’est avec la première que les expériences ont commencé, dans les années 1940 avec las avions de la Seconde guerre Mondiale
Voilà qui explique pourquoi ces systèmes, intéressants sur des Véhicules qui roulant à vitesse et régime constant, n’ont jamais été appliqués sur des voitures de série.
C’est donc plutôt dans l’énergie thermique qu’ont choisi de puiser les motoristes auto. Leur idée ? Placer sur la ligne d’échappement un échangeur, capable de transmettre la chaleur des gaz d’échappement à un fluide.
Lequel véhicule l’énergie jusqu’à L’admission D’air. C’est le modèle expérimenté par BMW, à travers un dispositif très complexe: Un circuit chaud à vapeur d’eau branché sur l’échappement réinjectée dans le Moteur… BMW indique une réduction de consommation de 10 à 15 % sur route. Pour sa part, Honda travaille sur une machine à vapeur plus simple: elle n’utilise que la chaleur de l’échappement et se contente d’entraîner un alternateur chargé de recharger les batteries d’un modèle hybride. La réduction de consommation serait alors de 13 %. On le voit, la filière thermique offre des perspectives bien supérieures à celles de la filière cinétique. Oui, mais ces systèmes sont complexes, lourds et, surtout, coûteux. .. Trop en tout cas pour envisager une introduction en série à court terme.
BÉNÉFICE ALLÉCHANT ET SURCOÛT RAISONNABLE
Même BMW, pourtant pionnier en matière de technologie moteur coûteuse, se contente d’évoquer la commercialisation d’une technologie de ce type dans une dizaine d’années… Et c’est là qu’intervient Eco Leau et son fondateur, Laurent BALTAZAR. Son idée ? Continuer sur la voie thermique, mais renoncer aux fluides performants mais complexes (eau et éthanol), pour utiliser un gaz : de l’air Plus dense.
Récompensé par un prix remarqué à Fédération Française des Inventeurs en 2013, le concept Eco Leau a déjà fait ses preuves…
LE SYSTÈME A DE SÉRIEUSES CHANCES DE S’IMPOSER
Si les promesses sont tenues, le système Eco Leau a de sérieuses chances de s’imposer. Et pas seulement pour prolonger le règne du moteur à combustion interne, souligne Laurent BALTAZAR: « La récupération de l’énergie d échappement constitue une voie prometteuse de réduction de consommation pour les hybrides dits ‘de deuxième génération’, comme les hybrides plug-in. » Laurent BALTAZAR pointe en outre la complémentarité du dispositif avec les systèmes d’hybridation légère qui se généralisent. En effet, alors qu’un système « stop&start » (qui coupe le moteur à l’arrêt), éventuellement couplé à un système de récupération d’énergie de freinage, n’aura d’impact sensible sur la consommation qu’en ville, la récupération de l’énergie d’échappement, elle, donnera justement son plein potentiel sur route et autoroute.
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Les atouts du moteur à eau
• Un système économique. L’injection de vapeur par le processus Eco l’eau permet de réduire de 20 à 50 % la consommation de carburant : la température de combustion est diminuée, ce qui permet d’améliorer le rendement du moteur.
• Un moteur écologique. Le moteur Eco l’eau diminue de 30 % l’émission de particules fines.
• Un dispositif pour tous. Les kits Hybrid4all peuvent être installés sur tous les véhicules thermiques.
• Une grande durabilité. Le processus Eco l’eau ralentit l’usure prématurée des pièces moteur.
• Plus de confort de conduite. La vapeur d’eau augmente le couple et diminue les bruits.
• Simplicité. Le moteur Eco l’eau est facile à installer. Les conducteurs qui ne veulent pas mettre les mains dans le cambouis peuvent opter pour les forfaits avec installation à domicile.
J’ai installé le système de dopage à l’eau (écol’eau) le 10 juin 2019 et ça marche. J’ai parcouru plus de 13000 km avec et j’ai en moyenne gagné 0.9L/100 avec une Dacia Break DCI de 86cv. En outre la voiture est plus silencieuse, répond immédiatement à l’accélérateur et surtout, elle ne fume plus, même en accélérant à fond pour « décrasser » la sonde lambda! Sur un parcours comme Manosque/ Radolfzell (Lac de Constance), je consommais 5.5 à l’aller et 5.4 au retour, maintenant c’est du 4.5 à l’aller et 4.3 au retour. Sur un parcours habituel (route, petites routes), je descends à 3.3L au lieu de 4.1. Je passe environ 0.7L d’eau distillée par plein de 65L.
Au début j’étais sceptique en parcourant les forums car les avis étaient très partagés, mais il se trouve que ceux qui disent que c’est de la foutaise parlaient sans savoir, sans essayer, sans rien connaître. A cause de ça j’ai perdu plusieurs années! C’est pas pour rien que BMW l’utilise sur certains modèles en récupérant l’eau de la clim…
Cordialement.
Equipé depuis Octobre 2019 je n’ai pu mesurer les économies qu’après les confinements et la période hivernale où le nombre de kilomètres n’est pas significatif. En juillet dernier, j’ai commencé à mesurer la différence. La voiture est une LATITUDE RENAULT 150CV Diesel Turbo une vraie grande routière. Les années précédentes un Paris -côte d’azur de 1000km à cinq dans la voiture, barres de toit et coffre de toit, à 130 au régulateur sur autoroute, consommation 8 litres aux 100km. Cette année2020, même configuration 6.4 litres aux 100 km. La voiture a des reprises à bas régime car le couple est très amélioré et le contrôle technique n’a rien observé en pollution. Le seul inconvénient au système, pas de jauge au tableau de bord et il faut penser à vérifier le niveau en soulevant le capot. Système idéal pour routières avec régulateur.