L’ancien Vice-Président de Pfizer L’affirme : IL N Y A pas besoin de Vaccin

L’ancien Vice-Président de Pfizer affirme qu’il n’y a pas besoin de vaccin

« En effet, selon le site britannique « Lockdown sceptics » et repris par le National Herald of India, pour l’ancien Vice-Président de Pfizer, Dr Michael Yeadon, la « pandémie » est effectivement terminée et peut être facilement gérée par un service de santé national en bon état de fonctionnement (National Health Service). En conséquence, la nation devrait être autorisée immédiatement à retourner à la vie normale ».

Alors que la compagnie pharmaceutique Pfizer fait les grandes lignes des journaux en raison de l’annonce que l’efficacité de leur vaccin contre le coronavirus monte à 90% et alors que la bourse s’envole, un ancien Vice-Président de la société, Directeur Scientifique de Pfizzer, Michael Yeadon vient de déclarer que les vaccins ne sont d’aucune nécessité pour conduire la « pandémie » à sa disparition.

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« Je n’ai jamais entendu un tel non sens à propos des vaccins. On ne vaccine pas les personnes qui ne sont pas considérés à risque. De même, vous n’envisagez pas non plus de vacciner des millions de personnes en bonne santé avec un vaccin qui n’a pas été soigneusement testé sur les humains ».

Ses commentaires arrivent en conclusion d’une critique approfondie du SAGE (Scientific Advisor Group for Emergencies), l’agence scientifique du gouvernement du Royaume Uni, dont la fonction est de conseiller le gouvernement central pendant les crises.

Le SAGE a joué un rôle important dans la décision de la politique de confinement au Royaume Uni en réponse à la Covid.

Yeadon a également souligné les erreurs fondamentales du SAGE dans leurs prévisions qui font que leurs conclusions générales étaient complètement inadaptées, ce qui a  conduit à tourmenter la population pendant les sept derniers mois.

Yeadon déclare : « Le SAGE soutient que tout le monde était susceptible d’être infecté, alors que seulement 7% de la population seulement l’a été. « C’est tout à fait incroyable ! Ils ont ignoré tout ce qui est connu dans le domaine de l’immunologie sur les virus respiratoires. De même, ils n’ont rien vu ou ont rejeté un travail d’excellente qualité de nombreux immunologistes cliniciens de renommée mondiale qui ont montré qu’il y a environ 30% des gens qui, au départ, sont déjà immunisés.

Ils auraient dû aussi exclure des personnes susceptibles d’être infectées le vaste sous-ensemble que constituent les plus jeunes enfants, qui semblent ne pas pouvoir être infectés, probablement parce que leur système biologique en construction implique que leurs cellules sont moins sensibles au récepteur de la protéine Spike, appelée ACE2.

Entendons-nous, je n’ai pas dit que tous les jeunes enfants ne participaient pas à la circulation du virus, car je crois qu’on peut, dans une fourchette basse, en retenir les deux tiers. De toutes façons, cela n’est pas significatif ».

Yeadon ajoute : « Le SAGE a tort de manière évidente sur un point crucial en disant qu’il n’existe pas d’immunité de base, alors que cette immunité se situe autour de 30% (et si vous incluez les jeunes enfants, cela monte à près de 40% d’immunité – bien que nous devrions davantage parler de résistance que d’immunité.

Et en prenant en considération la réalité de l’immunité collective, quand la susceptibilité d’être infecté par le virus tombe aussi bas, entre 28% et 35%, cette population ne peut plus être considérée comme l’agent d’une quelconque flambée épidémique et ainsi le virus décroît et disparaît.

Et Yeadon de conclure : « La pandémie est effectivement terminée et elle peut être facilement gérée par un système de santé en bon fonctionnement. En conséquence, la nation doit être immédiatement autorisée à retourner à la vie normale ».

source : https://lockdownsceptics.org

Demander une réduction du prix de son assurance, c est possible

Une lettre-type pour demander une diminution du montant de sa prime d’assurance auto en raison du confinement

  • Les automobilistes ont le droit de demander une réduction du montant de leur prime en cas de diminution du risque.Les automobilistes ont le droit de demander une réduction du montant de leur prime en cas de diminution du risque.skynesher / IStock.com

AutomobileCoronavirus – Covid 19Publié le 28/04/2020 à 13:47 , mis à jour à 15:00

l’essentielSi pendant le confinement vous n’avez pas eu à utiliser votre voiture, il est tout à fait légitime de demander une baisse de sa prime d’assurance. Pour aider les automobilistes concernés, l’UFC-Que Choisir a mis en ligne un modèle de lettre à envoyer à son assureur.

Pour cause d’immobilisation contrainte de leur véhicule pendant le confinement, de nombreux automobilistes sont en droit de demander une diminution de leur cotisation d’assurance. Certains assureurs ont d’ores et déjà communiqué sur des gestes commerciaux mais dans tous les cas il est recommandé de les contacter afin de ne pas se faire léser.

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Pour rappel, la loi prévoit que les assurés peuvent obtenir une réduction du montant de leur prime en cas de diminution du risque au cours de leur contrat. Selon son scénario médian, qui prévoit un retour à la normale à horizon mi-juillet, l’UFC-Que Choisir table sur une baisse des indemnisations de l’ordre de 50 euros par automobile et de 29 euros par moto.

L’association a édité un modèle de lettre à télécharger sur son site, à imprimer et à envoyer en recommandé avec accusé de réception.

pas d’effet « touristes » pour l’instant

Covid-19 : la Bretagne fait face à une circulation plus active du nouveau coronavirus

La situation reste sous contrôle, selon les autorités de santé régionales. Elles ne constatent pas d’effet « touristes » pour l’instant.

A Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), le 9 juillet.
A Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), le 9 juillet. DAMIEN MEYER / AFP

En Bretagne, la situation sur le front sanitaire se tend mais, insiste l’agence régionale de santé (ARS), elle reste « sous contrôle ». Elle est pourtant la région de France où le taux de reproduction du SARS-CoV-2, le « R effectif », est le plus haut, atteignant 2,68, soit une personne malade en contaminant près de 3, alors qu’il est de 1,2 au niveau national.

123 nouveaux cas de Covid-19 y ont été confirmés par test RT-PCR depuis le 15 juillet, dont quasiment la moitié dans le Finistère, a précisé l’ARS, lors d’un point-presse, vendredi 17 juillet. Nettement plus donc que les 110 nouveaux cas recensés entre le 10 et le 15 juillet.

Mais pas de quoi inquiéter outre mesure les autorités sanitaires locales qui avancent plusieurs explications à la situation. « Nous constatons une circulation virale qui n’existait pas ces dernières semaines, mais nous avons augmenté fortement le nombre de tests, ce qui explique que nous trouvions plus de cas », explique le docteur Bertrand Gagnière, médecin épidémiologiste au sein de l’agence de sécurité sanitaire Santé publique France (SpF)

Afflux de tests

Sur les 80 000 tests effectués en Bretagne depuis le 4 mai, un quart d’entre eux, soit 20 000, l’ont été entre le 6 et le 16 juillet. Il y a donc eu un afflux et, logiquement, plus de cas identifiés. « Depuis la fin du confinement, les gens se sont mis en circulation et le virus aussi, mais on ne peut pas parler de rebond de l’épidémie », ajoute Anne-Briac Bili, directrice de cabinet à l’ARS Bretagne.Lire aussi  

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Selon le docteur Gagnière, il est aussi constaté, comme au niveau national, une augmentation des cas asymptomatiques, qui sont majoritaires parmi les nouveaux cas. Ce qui rend compliqué le traçage des contacts et facilite donc la circulation du virus.

écoles 22 Juin : Quels Risques ?

Que risquent les parents qui ne remettent pas leur enfant à l’école le 22 juin ?

  • Des enfants sur le chemin de leur école maternelle à Toulouse, en mai 2020. Photo d’illustration DDM – Xavier de Fenoyl

l’essentielLe retour des élèves en classe sera obligatoire à partir du lundi 22 juin. Que risquent les parents qui n’enverraient pas leur enfant dans leur établissement scolaire ?

La nouvelle a réjoui bon nombre de parents et sûrement beaucoup moins d’élèves : il faudra revenir dans son établissement scolaire lundi 22 juin pour les deux dernières semaines de cours. Une reprise obligatoire selon l’annonce d’Emmanuel Macron dans son discours de dimanche soir. « Les crèches, les écoles, les collèges se prépareront à accueillir à partir du 22 juin tous les élèves de manière obligatoire et selon les règles de présence normale », avait dit le chef de l’Etat.

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Le ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer a justifié ce retour en cours lundi sur Europe 1 : « Deux semaines, ça compte, deux semaines ce n’est pas rien, que ce soit sur le plan pédagogique et psychologique » pour les élèves.

2 ans de prison et une amende de 30 000 euros

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Habituellement, quand un enfant est absent plus de quatre demi-journées dans le mois sans raison valable, l’école signale son cas à l’Inspection d’académie et les parents peuvent s’exposer dans le pire des cas à des poursuites pénales. La sanction encourue est de 2 ans de prison et une amende de 30 000 euros. L’instruction est en effet obligatoire en France, dans une école ou à la maison. En cas de classe à la maison, il faut adresser une déclaration à sa mairie et à l’Inspection d’académie dans les huit jours qui suivent le changement.

« Les directeurs ne vont pas faire la chasse aux parents ».

Dans les faits, si un élève ne revient pas en cours le 22 juin, que risquent vraiment les parents ? Rien selon les syndicats enseignants. « Les parents ne risquent absolument rien, assure Jen-Rémi Girard, président du Syndicat national des lycées et collèges (SNALC), interrogé par LCI. Les directeurs ne vont pas faire la chasse aux parents, ils ne perdront pas de temps à noter les élèves absents et leur coller un conseil de discipline. Au mieux, ils appelleront les parents le premier jour de l’absence, ces derniers trouveront une bonne excuse et ça s’arrêtera là ».

Le ministère de l’Education Nationale doit annoncer ce mercredi le protocole sanitaire qui servira de document de travail à chaque établissement scolaire pour préparer le retour des élèves le lundi 22 juin.Cyril Brioulet 

Les Plages se referment

Mairie de DamganJ’aime la Page1 h · 

Chers Damganaises, Damganais,

J’avais sollicité auprès de la Préfecture l’ouverture de nos plages en « Dynamique ». Cette dérogation a été autorisée sous réserve d’une surveillance municipale : vous comprendrez qu’il nous était impossible d’assurer la surveillance de toutes les plages de notre territoire, ce qui explique l’ouverture uniquement de la Grande Plage.

Vous avez pu le constater ce week-end ; mes élus sont allés sur la plage faire de la pédagogie et ils se sont fait insulter, je leur ai donc demandé de rentrer afin que cela ne dégénère pas. J’ai demandé aux services de la gendarmerie d’intervenir sur notre territoire, ils m’ont fait part également des insultes à leur égard.

Ce week-end, nous avons constaté des comportements inadmissibles : ganivelles d’interdiction rejetées dans les buissons, des parkings interdits ont été pris d’assaut, des groupes de personnes ne respectant pas les consignes sanitaires et agglutinées les unes aux autres au mépris des directives pourtant largement relayées par la télévision, les réseaux sociaux.

Les plages fermées ont été investies par les baigneurs, les personnes faisant de la pêche à pied, alors que c’est interdit pour raisons sanitaires, ou en balade avec des chiens au mépris de tous les arrêtés municipaux en vigueur.

Le constat est que chacun en a fait à sa guise et que malheureusement nous sommes dans l’incapacité de faire respecter les consignes sanitaires établies par le Gouvernement pour assurer les gestes barrières ou éviter à la pandémie de circuler.

Face à toutes ces incivilités et après en avoir avisé le Préfet, ce dernier a décidé que toutes les plages de la commune sont fermées jusqu’à nouvel ordre.

L’interdiction des locations saisonnières, des gîtes, des meublés, est également maintenue pour les mêmes raisons et pour limiter tous ces débordements irresponsables.

Je sais que vous les damganais vous avez respecté les règles du confinement et les gestes barrières pendant le pic de la pandémie. Mais le virus est toujours là, et pour le week-end de l’Ascension, il va circuler : protégez-vous, le masque y compris sur le domaine public, est une marque de protection sanitaire et de respect entre nous.

Aux visiteurs qui viennent à Damgan, je dis : Respectez notre territoire, respectez-nous !

Jean-Marie Labesse

Le Maire

Les infos de 6h30 – Trois plages du Morbihan déjà fermées pour non-respect des règles

À peine ouvertes, trois plages du Morbihan viennent de fermer au public. Les règles n’ont pas été respectées.

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Le journal RTL La rédaction de RTLITUNESRSS

Les infos de 6h30 – Fermeture des plages du Morbihan pour non-respect des règlesCrédit Image : GAIZKA IROZ / AFP | Crédit Média : RTL | Date : 20/05/2020

Alors que les températures battent des records, les habitants des Bouches du Rhône vont pouvoir, s’ils le souhaitent, aller se rafraîchir dans la Méditerranée. Quinze plages du département ouvriront jeudi 21 mai : la Ciotat, Arles, Martigues notamment. Idem en Corse où la quasi-totalité des plages seront accessibles.

En revanche, l’expérience est déjà terminée dans le sud du Morbihan. À peine ouvertes, trois plages, celles de Billiers, Damgan et Erdeven, viennent de fermer au public. En cause : le non-respect des règles imposées.

Hier soir, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a de nouveau appelé au civisme des Français. “Déconfiner ne signifie pas la fin de l’épidémie”, a-t-il rappelé. “Au contraire, avec le recul des mesures de confinement, il est établi que le risque de contact avec le virus augmente. Or, nous le savons, le virus est toujours là : il est dangereux et meurtrier.

Se Réinventer…

CE RESTAURANT LANCE LES « SERRES SÉPARÉES »

Mardi 5 Mai – 14:06

Buzz

nBrillante idée qui vient d’Amsterdam pour pouvoir partager un bon repas tout en respectant les mesures sanitaires !

Ils Roulent à L’Eauhttps://hybrideaeau.fr/des-grands-groupes-carburent-a-leau/

Situation oblige, un mot d’ordre : se réinventer ! Puisque les bars et restaurants ne sont pas prêts d’ouvrir, certains se montrent créatifs et tentent de trouver des solutions, c’est le cas du Medimatic ETEN, à Amsterdam.

La problématique : déguster un bon repas tout en respectant les mesures sanitaires dont la distanciation sociale.

C’est ainsi qu’est née leur projet, qu’ils ont appelé les « Serres Sépparées » ! (Forcément la French touch apporte toujours un petit charme supplémentaire !)

Le projet est actuellement en phase de test mais si il est validé, l’établissement pourrait recevoir 2 à 3 invités dans ces petites serres vitrées dès le 21 mai.

Des témoignages troublants sur l’origine du Covid-19

En octobre, aux Jeux mondiaux militaires de Wuhan, des sportifs luxembourgeois et français sont tombés malades, avec des symptômes rappelant ceux du Covid-19. Le coronavirus aurait donc pu se propager à ce moment là.

De nouveaux doutes planent sur la date d’apparition du Covid-19 en Chine. Les premiers cas pourraient remonter à octobre dernier, lors de la tenue des Jeux mondiaux militaires à Wuhan, selon certains sportifs qui y ont participé, alors que selon les autorités chinoises, le premier se serait déclaré seulement le 17 novembre.

Julien Henx, nageur luxembourgeois, était présent sur place. Deux de ses coéquipiers sont tombés malades lors de leur séjour à Wuhan. « Il y avait 200.000 volontaires chinois sur place, qui rentraient chez eux le soir et ont très bien pu leur transmettre le virus », explique-t-il sur l’antenne de RTL.

« Beaucoup gens de la délégation sont tombés malades », a également témoigné Élodie Clouvel, championne du monde de Pentathlon, sur l’antenne de RTL. Malgré tout, le ministère des armées ne s’est pour le moment pas aventuré à confirmer cette piste, rappelant qu’à l’époque personne ne parlait du Covid-19, et que les quelques malades d’alors ne toussaient pas, ce qui a pu laisser penser à une simple grippe.