Mais le compte n’y est pas

Paris casse les prix de la recharge électrique en reprenant la main sur les bornes Autolib’


 
Autoloib en charge

 

 
 
 
 

Avec un abonnement annoncé à 10 euros par mois pour se recharger en illimité sur une partie de l’ancien réseau des bornes Autolib’, la mairie de Paris offre une solution très abordable au regard de l’offre actuelle. Mais il s’agira d’une solution provisoire, en attendant une recharge plus rapide… et certainement bien plus chère.


« On a jamais vu ça »

Fin de L’humanité

Risque que le supervolcan de Yellowstone entre en éruption<


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401 604 lectures / 98 commentaires02 février 2011, 17:47 / mis à jour le 28 août 2018, 18:54

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Source d’eau chaude au Yellowstone National Park, Wyoming – USA
© ewik – Licence : Tous droits réservés

Le supervolcan du Yellowstone National Park, capable d’engendrer un cataclysme, est loin d’être paisible : il tremble et se déforme, causant une modification de la topologie du terrain de manière spectaculaire. S’agit-il de signes précurseurs d’une éruption catastrophique ou d’un simple « ronflement » cyclique ?

Le point chaud de Yellowstone a produit plusieurs groupes de cratères volcaniques imbriqués, appelés caldeiras, au cours des 16 derniers millions d’années. Et, au cours des deux derniers millions d’années, trois éruptions majeures se sont produites :

  1. La première, dénommée Heise, a eu lieu il y a 2,1 millions d’années : l’éruption a émis 2 500 km3 de matériaux et de cendres volcaniques. Une quantité telle que la chambre magmatique s’est effondrée créant une dépression, la caldeira avec des dimensions impressionnantes : 80 km de long, 65 km de large et des centaines de mètres de profondeur.
  2. La deuxième éruption, Picabo, s’est produite il y a 1,3 millions d’années ;
  3. et la troisième il y a 631 000 ans. C’est cette dernière qui a formée la caldeira actuelle de Yellowstone qui s’étend sur 40 à 60 km[1].

Depuis, environ 30 petites éruptions, y compris une datée d’il y a seulement 70 000 ans, ont rempli la caldeira de lave et de cendres, et ont construit le paysage relativement plat que nous connaissons aujourd’hui.

Yellowstone : le plus grand réservoir de magma au monde

Le volcan du Yellowstone se caractérise par une imposante chambre magmatique souterraine dont les évaluations ne cessent d’en augmenter la taille. D’après les premières estimations, elle faisait faire plus de 70 kilomètres de large pour une hauteur de plus de 10 kilomètres.

Toutefois, selon une étude rendue publique fin octobre 2013, les dimensions de la gigantesque chambre magmatique pourraient avoir été sous-estimées. En effet, Robert Smith de l’université de l’Utah a indiqué que la chambre magmatique résidant sous le parc de Yellowstone mesurerait 90 km de long pour 20 km de large. Par ailleurs, elle se situerait entre 2 km et 15 km de profondeur sous la caldeira, selon les endroits.


Une nouvelle étude publiée en avril 2015 par des chercheurs de l’Université de l’Utah révèle la présence d’une autre réservoir colossal sous cette première chambre. Constitué d’eau chaude et de roche partiellement en fusion, ce réservoir 4,4 fois plus volumineux que la chambre magmatique serait situé entre 19 et 45 km sous la surface. Sa capacité est telle qu’elle pourrait combler 11,2 fois le Grand Canyon, contre 2,5 fois pour la première chambre magmatique, estime le chercheur Jamie Farrell, co-auteur de l’étude publiée dans la revue Science. Cela en fait, jusqu’à preuve du contraire, la plus grande chambre magmatique connue sur Terre.




« Pour la première fois, nous avons imagé le système de plomberie volcanique continue sous Yellowstone« , explique le premier auteur Hsin-Hua Huang, également chercheur en géologie et géophysique. « Cela inclut la chambre magmatique supérieure que nous avons vu précédemment, plus un réservoir de magma dans la croûte inférieure qui n’avait jamais été représenté avant et qui relie la chambre supérieure au point chaud de Yellowstone. »

Cependant, contrairement à une idée reçue, la chambre magmatique et le réservoir de magma ne sont pas remplis de lave en fusion. Il s’agit davantage de roche chaude, principalement solide et spongieuse, avec des poches de roche en fusion qui représenteraient respectivement 9 % et 2 % du volume des chambres supérieures et inférieures.

Cette nouvelle représentation du système volcanique de Yellowstone n’augmente pas le risque proche d’une éruption : « Le danger réel reste le même, mais maintenant nous avons une bien meilleure compréhension du système magmatique complet, » explique le co-auteur Robert Bob Smith, un expert de longue date dans le volcanisme de Yellowstone de l’Université d’Utah, professeur émérite en géologie et en géophysique.

« Modèle » d’art de vivre ? 

Trémargat, le village breton “hors norme” et durable


Agriculteur biologique, Baptiste Gilbert, cueille des tomates dans sa serre à Trémargat (22). / © F. Tanneau / AFP
Agriculteur biologique, Baptiste Gilbert, cueille des tomates dans sa serre à Trémargat (22). / © F. Tanneau / AFP

« Pauvre et incultivable » dans les années 70, Trémargat, village du Centre-Bretagne aux 200 âmes volontaires, est désormais un objet de curiosité en France et à l’étranger pour son agriculture bio et sa démocratie participative.


Par HP (avec AFP) 

Autour du bourg, un bocage vallonné verdoyant, bordé de haies et taillis. Une campagne du « Kreiz Breizh » (coeur de la Bretagne) qui semble figée, épargnée par remembrement rural, destiné à agrandir les exploitations agricoles.

Pourtant avec ses 50 chèvres élevées à l’herbe, Nolwenn Le Boedec, est « bien occupée« .


Éleveurs, fromager, épicier…

« On fait plein de métiers à la fois: éleveurs, paysans parce qu’on travaille la terre, fromagers, commerçants. Je fais aussi partie de l’épicerie associative« , énumère l’ancienne restauratrice francilienne, arrivée il y a 12 ans.


Dans cette commune des Côtes-d’Armor moins peuplée qu’une rame de métro, on ne compte pas moins de 16 associations et 33 entreprises d’agriculteurs, potier, ébéniste, fleuriste, infirmiers, coutelier…

« Nous les arriérés, les néoruraux… »

« C’est totalement hors norme« , reconnaît Mathieu Castrec, éleveur de 37 ans. Avec 16 exploitations réparties sur 600 hectares, « on a réussi à prouver que nous les arriérés, les néoruraux, on peut travailler sur des petites exploitations et qu’on gagne bien mieux notre vie que la majorité des exploitations conventionnelles qui détricotent l’emploi« , estime l’ancien cuisinier en Savoie. « Un joli pied de nez ».

Une fois la traite achevée, il troque sa tenue d’éleveur pour celle d’adjoint au maire. « On n’habite pas à Trémargat par hasard, les gens sont acteurs de leur environnement« , explique-t-il.

« Cela ne veut pas dire que tout est rose »

Le maire y est élu pour un mandat unique. Une seule liste se présente aux élections et le conseil municipal met en oeuvre un projet émanant des idées des habitants.

« Cela ne veut pas dire que tout est rose », nuance l’élu-éleveur. « On a des forts caractères mais quand les choses se posent, on réussit à dépasser les tensions« .

« Modèle » d’art de vivre ?

Descente de gendarmerie ce matin 

Descente de gendarmerie ce matin 
Contrôle anti drogue chez mon voisin.


Le voisin « D’accord, mais n’allez pas sur le terrain là-bas. »

Le gendarme : « Tu vois ce badge, il m’autorise à aller où je veux et faire ce que je veux ! Est-ce que je me fais bien comprendre ? »

Le voisin revient vers moi et on les regarde « investiguer »

10 min plus tard, on entend les gendarmer gueuler et courir dans tous les sens et appeler au secours. Le taureau leur courrait derrière …


On court vers la clôture et on lui crie :

« Ton badge, montre-lui ton putain de BADGE !



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Malheureusement pour l’automobiliste

+ 4 centimes en une semaine : l’essence et le diesel continuent de flamber (et ce n’est pas près de s’arrêter)



Malheureusement pour l’automobiliste, les cours du pétrole brut avaient grimpé la semaine dernière à leur plus haut niveau en quatre ans face à la crainte de voir l’Iran exclu du marché. Le baril s’était ainsi hissé mercredi 3 octobre 2018 en séance à des niveaux plus vus depuis fin 2014, à 86,74 dollars pour le pétrole de qualité Brent.

  • POMPE – Alors que les carburants vont être rebaptisés ce vendredi, leurs tarifs se sont envolés de 2 à 4 centimes par litre en une semaine. En cause : la hausse du prix du pétrole brut liée à la crainte de voir l’Iran exclu de ce marché. Et cette tendance à l’augmentation devrait continuer.

Il a augmenté de près de 4 centimes en une semaine. Le litre de diesel, qui représente encore 80% (en volume) des ventes de carburant, s’affiche en moyenne à 1,5217 euro, selon les chiffres hebdomadaires publiés lundi 8 octobre par le ministère de la Transition écologique et solidaire et relayés par Le Figaro. C’est exactement 3,82 centimes de plus que huit jours plus tôt.  Concrètement, à la caisse, le plein de Diesel est désormais facturé 2 euros de plus.


Bien que moins vertigineuse, la hausse avoisine tout de même les 2 centimes pour l’essence. En détails, le prix du sans plomb 98 a progressé en moyenne de 1,8 centime (désormais à 1,6338 euro / litre), celui du sans plomb 95 contenant jusqu’à 10% d’éthanol a augmenté de 2,13 centimes (1,5733 euro / litre) et celui du super de 1,95 centime (1,5462 euro / litre).

EN VIDÉO

Le mot de l’éco : les prix du carburant




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L’escroquerie éolienne

L'escroquerie éolienne

L’escroquerie éolienne

4ème Forum de la Dissidence le 17/11 à Paris : la billetterie est ouverte !

Par Claude Brasseur, mathématicien et chercheur en énergies renouvelables ♦ C’est l’une des lubies de ceux qui nous gouvernent. L’éolien est imposé à de nombreux Français au travers du pays. Parfois, certains riverains arrivent à s’opposer à ces projets bancals. C’était le cas d’Ethel Lesade, conseillère municipale que nous avions reçu lors du Forum de la Dissidence 2017 (vidéo de son intervention). Pour Claude Brasseur, qui publie une tribune sur Boulevard Voltaire, le CO2 gaz à effet de serre est une pure escroquerie et est pourtant la seule justification de la multiplication des éoliennes.


En décembre 2014, on découvrait ainsi dans Le Point un article qui mentionnait clairement comme un vent de corruption dans le monde de l’éolien.

En mai 2015, c’est au tour de Capital et du Monde d’évoquer le problème, le premier dans un article détaillé qui participera à sa une du moment, le second en planquant habilement les petits ennuis éoliens dans la rubrique Radio & Télé, son habituelle tendresse pour les sujets écologiques ne lui permettant probablement pas d’aborder le sujet autrement qu’au travers d’un petit article relatant un reportage de France 3, lui même daté du 6 mai 2015, vers 23h15 (heure où le chaland, pas trop vif, ne sera pas trop violemment bousculé lorsqu’on lui expliquera sur un ton de confidence coquine que ses factures enflent et son paysage est détruit pour installer des machins au rendement catastrophique qui n’aident en rien la facture énergétique française et engraissent des élus déjà bien nantis).


Beaucoup d’associations anti-éoliennes partent encore de l’idée que, si les éoliennes peuvent être « bonnes pour le climat », elles ne devraient pas être installées à l’endroit concerné : elles enlaidissent la nature, un site touristique ou ancien, elles tuent oiseaux et chauves-souris, sont placées trop près des habitations… On ose rarement mettre en cause les affirmations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Le GIEC veut sauver le climat ! Le gaz carbonique (CO2) réchauffe l’atmosphère, l’homme en produit trop, il est temps de mettre fin à cette production si on ne veut pas « cuire » dans peu de temps, il est temps d’installer des éoliennes partout et d’accepter qu’elles tuent insidieusement comme la nicotine ou l’amiante (Eric Y. Zou) !

Depuis le XIXe siècle – où la théorie des effets climatiques du CO2 a été développée, par exemple, par Svante August Arrhenius, et éliminée par James Clerk Maxwell, notamment -, aucun physicien n’a jamais attribué de rôle climatique au CO2.

Le GIEC a été créé en 1988 pour responsabiliser l’Occident en matière climatique et lui extraire un maximum d’argent en transposant la terreur exploitée par la guerre froide.


Dès 2009, André Legendre [1], acceptant le modèle adopté par le GIEC, prouve – par des éléments fournis par le GIEC ! – que le CO2 n’a, par lui-même, que ridiculement peu d’effet sur le climat et que le GIEC invente des mécanismes amplificateurs liés à la vapeur d’eau et aux nuages pour que l’effet du CO2 nous impressionne. L’auteur montre que cet effet amplificateur peut aussi bien diminuer la température que l’augmenter… L’effet est imprévisible mais on nous abreuve de « calculs » démontrant que nous allons bientôt avoir beaucoup trop chaud.

Thomas Allmendinger, en 2015, fait le tour complet des théories, refait toutes les expériences nécessaires avec les moyens actuellement à disposition, confirme que le CO2 n’a rien à voir avec le climat, ou si peu… Ainsi, Mars a une atmosphère très légère mais avec quinze fois plus de CO2 que la Terre : aucun effet de serre observé, aucun réchauffement…

Enfin, en décembre 2017, Robert Ian Holmes recalcule par la loi des gaz parfaits la température moyenne de chaque corps céleste à atmosphère dense du système solaire (Vénus, Terre, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, Titan) et trouve le résultat exact observé actuellement grâce à nos moyens modernes. Le CO2 ne joue aucun rôle, même sur Vénus, où il y en a 100.000 fois plus que sur la Terre.


Ainsi donc, le CO2 gaz à effet de serre est une pure escroquerie et est pourtant la seule justification de la multiplication des éoliennes. Alors que les éoliennes ne sont pas une source directe d’électricité – leur production est erratique –, on nous serine que leur kWh est économique (!). En Belgique, les revenus des promoteurs d’éoliennes sont assurés à 80 % par les aides publiques (taxes, impôts, avantages divers, primes, etc.). Actuellement, on « réfléchit à un nouveau mécanisme de soutien aux énergies renouvelables »

Imaginons que les 3.000 milliards d’euros jetés dans l’éolien aient été en partie consacrés à trier, filtrer les gaz et résidus des centrales thermiques… Évidemment, cet argent n’aurait enrichi personne, « seulement » préservé notre santé !
La conclusion du raisonnement sur base GIEC et développé par André Legendre – conclusion évidente – n’est jamais présentée par le GIEC. Et pour cause : il n’y a aucun argument réel à lui opposer. Devons-nous continuer à nous laisser escroquer ? Accepter à remplir toujours plus de poches grandes ouvertes ?

Claude Brasseur
26/04/2018

Prime conversion : épuisement de l’enveloppe

Prime à la conversion : des remboursements qui se font attendre


De nombreux groupes de distribution ont avancé des centaines de milliers d’euros dans le cadre de la prime à la conversion. Le CNPA est monté au créneau pour dénoncer le retard des remboursements. Il semble avoir été entendu.


En début d’année, les professionnels de l’automobile se trouvaient face à une nouvelle problématique : faut-il porter l’avance de trésorerie pour les primes à la conversion et prendre en charge la mise en VHU, ou au contraire laisser le client faire les démarches, quitte à en perdre quelques-uns en route ? Si la plupart des concessionnaires ont opté pour la première approche, certains ont fait machine arrière au bout de quelques semaines. En cause : des retards de remboursement.

« Nous marchons à tâtons et si nous n’avons toujours pas touché la moindre indemnisation dans trois mois, peut-être arrêterons-nous », nous confiait en début d’année Julien Mongis, directeur général VO3000 (groupe Parot).

Début avril 2018, les avances consenties par les professionnels n’avaient toujours pas été remboursées. Le CNPA a ainsi alerté l’Agence de services et de paiement (ASP), la direction générale de l’énergie et du climat ainsi que le Ministère de l’écologie pour réclamer une accélération du processus de remboursement.




Entre 300 000 et 600 000 euros dehors

« Il a été précisé aux différents interlocuteurs que les sommes devenaient conséquentes et mettaient en péril la trésorerie de nos adhérents, y compris des grands groupes, qui comptent parfois jusqu’à 800 000€ en retard de remboursement. Au-delà de l’aspect économique et financier, le risque que les professionnels se détournent du dispositif a également été souligné », a ainsi précisé le CNPA à ses adhérents. En moyenne, les montants avancés se situaient entre 300 000 et 600 000 euros.

« Le problème n’est pas lié une insuffisance de crédits, mais à l’épuisement par l’ASP de l’enveloppe reçue. Le Ministère de l’économie n’avait pas fait les appels de fonds à temps »,explique l’organisation. Cette dernière soulève deux autres sources de contrariété : la complexité de la plateforme digitale pour faire les démarches de remboursement, et des longueurs pour les particuliers pour obtenir la déclaration de mise à la destruction du véhicule (nécessaire pour déclencher la prime).

Le CNPA précise que les remboursements sont effectifs depuis mi-avril. 


A ce jour, selon les remontées du Ministère de la Transition écologique et solidaire, près de 30 000 automobilistes ont profité de la prime à la conversion depuis sa mise en application le 1er janvier 2018. Les prévisions tablent sur un total de 100 000 bénéficiaires sur l’ensemble de l’exercice 2018. Selon le CNPA, 63% des primes sont versées pour l’achat d’un véhicule d’occasion, principalement de segment A et B. Un peu plus d’une prime sur deux concerne des personnes qui ne sont pas imposables, et qui donc bénéficient d’une prime de 2 000€.

 

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Mondial 2018: il y a 70 ans, Citroën lançait la 2CV

La 2CV a 70 ans

Ignorée à ses débuts, l’icône de Citroën a su marquer l’histoire, et participer à la démocratisation de l’automobile.


LE MONDE |  • Mis à jour le  |Par Jean-Michel Normand

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En 1982, la 2CV Charleston se pare de jaune et noir... coloris qui changera dès 1983.

En ce 7 octobre 1948, la grande nouveauté Citroën – la première depuis la sortie de la Traction Avant, en 1934 – n’est manifestement pas la principale attraction du 35e Salon automobile de Paris qui s’ouvre sous la verrière du Grand Palais.


Vincent Auriol, le président de la République, ne lui accorde qu’une attention polie, et la plupart des visiteurs se pressent plutôt autour des inédites Peugeot 203 et Ford Vedette, qui distillent comme un parfum d’Amérique. La presse est circonspecte, voire sceptique, devant cet étrange véhicule qui semble déjà vieillot.

Des débuts difficiles

Celle que l’on n’appelle pas encore la 2CV découle du projet TPV (« Très petite voiture ») qui date du milieu des années 1930. Une première homologation a été réalisée auprès des Mines en août 1939 et une présentation était envisagée au Salon de l’auto d’octobre, mais celui-ci n’eut jamais lieu. La quasi-totalité des 250 véhicules de présérie sont délibérément détruits avant l’arrivée des Allemands.

Lire aussi :   Peugeot 203, une altière septuagénaire

En 1948, les premiers commentaires ne sont guère flatteurs. Beaucoup trouvent la 2CV sans grâce et certains la surnomment « la balançoire », à cause de ses suspensions à très grand débattement et ses sièges à armature tubulaire garnis de lanières de caoutchouc qui rajoutent à sa dimension minimaliste.

Ils peuvent s’estimer heureux ; la 2CV définitive a droit à un deuxième phare alors que le modèle originel n’en comportait qu’un seul. Son capot, au style tôle ondulée, est scellé. Que cache-t-il ? Rien du tout. Le bicylindre à plat de 375 cm³ qui équipera les premières générations n’est absolument pas prêt.

Quatre roues sous un parapluie


La « très petite voiture » de la marque aux chevrons n’est pas encore au point, à l’inverse de son propos. Le cahier des charges est lapidaire : « quatre roues sous un parapluie ». Sa clientèle, toute désignée, est rurale et recherche un véhicule avant tout utilitaire et bon marché. Mince, plate et guidée par une longue tige métallique, la pédale de l’accélérateur est ainsi conçue afin de pouvoir être utilisée en chaussant des sabots.

Citroën réalise un scopitone devenu célèbre où l’on voit le prototype de la 2CV traverser un champ sans que l’intégrité des œufs placés dans un panier installé sur la banquette arrière en souffre le moins du monde. Rustique, et fière de l’être.

FINALEMENT, ON TROUVE DE L’ATTRAIT À CE VILAIN PETIT CANARD QUI VA DÉMOCRATISERL’AUTOMOBILE COMME PEU D’AUTRES VÉHICULES SONT PARVENUS À LE FAIRE.


En octobre 1948, la 2CV est loin d’être une réalité tangible. Fin 1949, seules 848 unités auront été produites (le tarif est fixé à 228 000 francs, 60 000 francs de moins que la Renault 4CV) mais réservées pour l’essentiel à l’exportation ou aux professions prioritaires (médecins, pharmaciens…).

Finalement, on trouve de l’attrait à ce vilain petit canard qui va démocratiser l’automobile comme peu d’autres véhicules sont parvenus à le faire. Les campagnes adoptent la 2CV, mais aussi les urbains, et il faudra attendre 1961, et l’arrivée de la 4L de Renault, pour que lui soit opposée une concurrente sérieuse.

3,8 millions d’unités produites

Voitures, ce sera même avant

Paris sans voitures à essence en 2030 : Hidalgo espère que ce sera même avant




 

ELLE PERSISTE ET SIGNE – Quelques jours après l’annonce de la volonté de la municipalité de tendre vers la fin des voitures à essence dans la capitale en 2030, Anne Hidalgo a dit même espérer que cet objectif soit battu. La maire de Paris s’exprimait lors d’une présentation au public de son bilan de mi-mandat.

A la moitié de son mandat, Anne Hidalgo, la maire de Paris, a participé ce samedi à une réunion publique pour établir un bilan de son action. Sans surprise, elle est évidemment revenue sur l’annonce choc de cette semaine : la volonté de la municipalité de faire en sorte qu’aucune voiture à essence ne circule encore dans les rues de la capitale en 2030. Et, sans surprise, elle a également redit qu’elle ne reculerait pas, malgré les critiques.  « Le fait de posséder sa voiture individuelle, tout seul, c’était le schéma des 30 Glorieuses, ce n’est plus le schéma d’aujourd’hui », a-t-elle lancé.

Rappelant que depuis sa prise de fonctions en 2014, « nous n’avons jamais connu autant de jours de dépassement de seuil d’alerte de pollution », la maire a affirmé qu’il y avait « une obligation d’agir vite, même si c’est très compliqué ». Concernant l’horizon 2030, elle a expliqué : « C’est une trajectoire qui  m’intéresse, à laquelle je souscris complètement, qui sera ensuite discutée au Conseil de Paris et qui sera votée, si c’est une trajectoire que nous voulons, au printemps 2018, tout en réfutant toute volonté « d’interdiction ».  « La question interdire ou ne pas interdire n’a pas de sens. Aujourd’hui, on fixe un cap », a-t-elle insisté.