Le radar anti-téléphone au volant arrive

Le radar anti-téléphone au volant arrive



En 2017, les infractions dues au portable étaient responsables de la perte d’un point sur douze en France. Résultat : les chiffres de mortalité ne cessent d’augmenter.

L’usage de portable en voiture multiplierait par 3 le risque d’accident ; l’envoi d’un SMS les multiplierait par 23.

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Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

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Radar Cisaillé

Fait divers. Le mât du radar de Kervignac cisaillé à la base !

Le radar automatique fixé sur un mât, sur la route express à Kervignac, a été cisaillé à la base dans la nuit de jeudi à vendredi.
Le radar automatique fixé sur un mât, sur la route express à Kervignac, a été cisaillé à la base dans la nuit de jeudi à vendredi. | Ouest-France


Le mât, sur lequel est fixé un radar à 2 m de haut, sur la route express à Kervignac, près de Cité Marine, a été cisaillé dans la nuit de jeudi à vendredi.

En place depuis 2015

Le radar automatique fixé sur un mât, sur la route express à Kervignac, a été cisaillé à la base dans la nuit de jeudi à vendredi. | Ouest-France

Le mât, sur lequel est fixé un radar à 2 m de haut, dans le terre-plein central sur la route express RN 165, à Kervignac (dans le sens Vannes-Quimper, avant la sortie Port-Louis, près de Cité Marine), a été cisaillé dans la nuit de jeudi à vendredi.


Le dispositif avait été installé en juin 2015 pour remplacer le précédent radar automatique régulièrement vandalisé, incendié et tagué. Il était, alors, le radar le plus vandalisé de Bretagne.

Depuis bientôt trois ans, le radar perché sur son mât n’avait pas connu de dégradations.

Le radar cisaillé à la base

la hausse des prix continue

Carburants : et la hausse des prix continue

Consommation

Le diesel est presque aussi cher que l'essence./ - RelaxNews - Alexandru Nika/shutterstock.com
Le diesel est presque aussi cher que l’essence./ RelaxNews  /  Alexandru Nika/shutterstock.com

La hausse des carburants est quasi incessante depuis le début de l’année. Il faut remonter à mars 2013, pour trouver des tarifs aussi élevés. Ces augmentations mettent à mal les ménages les moins aisés et compliquent l’activité de nombreuses entreprises.




Tous les carburants sont touchés par la hausse des prix et le gazole, ce n’est pas une surprise, est en première ligne, avec des tarifs qui n’avaient pas été atteints depuis mars 2013, selon le magazine Auto Plus. Après une année 2017 plutôt calme, la hausse est continue si l’on regarde les prix pratiqués à la pompe, les prix des carburants vendus dans les stations-service françaises ayant poursuivi leur augmentation ces dernières semaines, selon des chiffres officiels publiés lundi.




Le litre de gazole, carburant le plus vendu en France avec environ 80 % des volumes, vaut ainsi en moyenne 1,4059 euro, en hausse de 0,94 centime, selon les dernières données hebdomadaires publiées lundi par le ministère de la Transition écologique et solidaire. Bien entendu, ces chiffres peuvent varier à la pompe selon les stations. Le litre d’essence sans plomb 95 (SP95) s’affiche à 1,4909 euro, en progression de 0,64 centime. Celui du sans plomb contenant jusqu’à 10 % d’éthanol (SP95-E10) vaut 1,4715 euro, en hausse de 0,65 centime. Enfin, le sans plomb 98 (SP98) a atteint 1,5554 euro le litre, ayant pris 0,64 centime.

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Evidemment, ces hausses qui affectent le porte-monnaie des automobilistes, relèvent de différents facteurs. Le prix des carburants varie en fonction des cours du pétrole, du taux de change euro-dollar, du niveau des stocks de produits pétroliers, de l’évolution des taxes et de celle de la demande. Parfois, certains facteurs en compensent d’autres. Parfois, c’est l’ensemble de ces facteurs qui tire dans le même sens (lire page 3) en l’occurrence la hausse, après une accalmie fin janvier et un mois de février plutôt orienté à la baisse). Les premiers pénalisés au niveau de leur pouvoir d’achat sont les familles modestes, ceux qui ne peuvent se passer d e leur véhicule pour raison de travail ou encore ceux qui vivent dans les secteurs délaissés par les transports collectifs, et qui se sentent exclus du discours sur la mobilité cher au Président Macron.
Parmi eux, de nombreux de véhicules diesel, une motorisation promise aux oubliettes de l‘histoire pour cause de pollution avérée, mais qui a été longtemps encouragée par les pouvoirs publics à l’aide de détaxe qui la rendaient moins onéreuse que l’essence. Mais l’exigence écologique est passée par là. Le levier fiscal sert aujourd’hui à réorienter les automobilistes vers les moteurs à essence. Le gouvernement a plusieurs fois confirmé qu’il voulait réaliser « la convergence entre l’essence et le diesel », avec une hausse de 10 % prévue pour le diesel, sur la seule année 2018.
Pas sûr cependant que ces hausses successives soient réellement dissuasives pour l’automobiliste. Aucune étude ne montre une incidence réelle du prix des carburants sur le nombre de kilomètres roulé. A chaque nouvelle hausse constatée, l’automobiliste contribuable râle un bon coup. Et puis, il roule… En 2017, la consommation de carburant a encore augmenté de 5 % Et cela fait presque un demi-siècle que cela dure, précisément depuis 1973 date du premier choc pétrolier…

Le patron de la brigade anti-criminalité fonce sur ses collègues

Ivre, le patron de la brigade anti-criminalité fonce sur ses collègues pour fuir un contrôle




Une course-poursuite s’est déroulée dans un petit village tranquille de Seine-et-Marne. Une voiture roulant à vive allure a été poursuivie par un équipage de police.

Dans la soirée du lundi 23 avril, une scène plutôt surréaliste s’est déroulée dans une petite commune proche de Coulommiers en Seine-et-Marne. Un gradé de la police nationale, venu récupérer sa fille, a été interpellé complètement ivre au volant, rapporte Le Point.


L’adolescente affolée par la conduite dangereuse de son père a téléphoné à sa mère qui a prévenu la police.

Le conducteur âgé de 48 ans est le patron de la brigade anti-criminalité (BAC) de Clichy-sous-Bois en Seine-Saint-Denis et de la brigade spécialisée de terrain, il est en charge de la mise en œuvre de la police de sécurité du quotidien.

Les forces de l’ordre, prévenues par la mère de la jeune fille, sont tombées nez à nez avec le véhicule du policier. Se voyant intimer l’ordre de s’arrêter, il prend aussitôt la fuite.

Il est finalement retrouvé à bord de son Dacia Duster. Après une course-poursuite, le fuyard a finalement obtempéré. Mais dès que ses collègues sortent de leur voiture pour l’arrêter, il passe la marche arrière et fonce sur eux.

Les policiers sont toutefois parvenus à l’éviter. Il a alors percuté violemment le véhicule des fonctionnaires puis a repris sa course folle, avant de se raviser au bout d’une centaine de mètres.

Il est alors mis en joue par ses collègues et immédiatement menotté.

Le quadragénaire a été placé en cellule de dégrisement le soir même. Il risque la révocation.

Brûler de l’eau salée, c’est possible

Brûler de l’eau salée, c’est possible




Source de l’info: Science et Vie

C’est par hasard que John Kanzius, un retraité américain, en imaginant un appareil permettant de guérir des tumeurs cancéreuses, a découvert que cet appareil pouvait en fait mettre le feu à de l’eau salée. Plus précisément, c’est l’hydrogène qui brûle, après soumission de radiofréquences de son appareil.


Malheureusement, l’énergie dégagée est inférieure à celle utilisée pour déclencher l’inflammation. Malgré tout, cette invention reste très utile dans la recherche de l’exploitation de l’hydrogène, source potentiellement inépuisable d’énergie.

La preuve en images (positionner la vidéo à 49 secondes):

4 RÉFLEXIONS AU SUJET DE « BRÛLER DE L’EAU SALÉE, C’EST POSSIBLE »

Ils ne L’auraient pas imaginé !

Le Chanvre produit des quantités records de biomassequi pourraient subvenir à une partie de nosconsommations énergétiques. Sa fibre possède par ailleurs une teneur très élevée en cellulose qui permet la réalisation de plastiques

Carburant




L’huile extraite des graines de chanvre est convertible enbiodiésel. Le chanvre peut être utilisé comme carburant écologique et renouvelable qui fonctionne directement dans la plupart des moteurs diesels. Cela pourrait devenir unealternative viable au diesel à base de pétrole.

Henry Ford et Rudolf Diesel, le créateur des moteurs diesels, n’avaient jamais imaginé des voitures roulant avec les carburants actuels à base de pétrole. Ils ont conçu leur moteur pour fonctionner avec du bio-diesel, et ils pensaient que le chanvre serait le carburant du futur.




Les avantages des carburants à base de chanvre sont évidents et nombreux :

  • Non toxique: absence de rejet d’hydrocarbures, faible rejet de monoxyde de carbone
  • Avec un impact environnemental minimal :

Le chanvre pourrait potentiellement être un carburant au bilan carbone neutre, ou presque. C’est parce que pendant sa croissance, la plante absorbe du CO2 de l’atmosphère, et le même CO2 est libéré quand le carburant est brûlé : la même quantité est alors relâchée dans l’atmosphère.

  • Biodégradable
  • Facile a cultiver il offre indépendance et garantie une absence de pénurie.
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Le Chanvre en tant que plastique

De nos jours, la plupart des plastiques sont fabriqués à base de produits pétroliers (non biodégradables)

Il est pourtant possible de faire des plastiques à partir de cellulose végétale qui sont à la fois plus solides que les plastiques traditionnels et 100 % biodégradables.

Le chanvre via sa fibre est la plante qui offre la plus grande quantité de cellulose.

Les avancées de la technologies permettent que pratiquement tout ce qui peut être fabriqué en plastique de pétrole puisse l’être avec du plastique de chanvre.

Une solution contre la pollution

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Le plastique à base de Chanvre se dégrade seulement au bout de 80 jours


Henry Ford, le célèbre fabricant de voitures et fondateur de Ford, a utilisé du chanvre en 1941, pour la construction d’une voiture  » végétale  » dont la carrosserie et les pare-chocs étaient faits de chanvre, de sisal et de paille de blé. Elle était 10 fois plus solide que les voitures en acier, moins chère et plus sûre à fabriquer, et selon Henry, c’était une voiture « cultivée à partir de notre propre sol ».

Aujourd’hui encore dans l’Automobile on considère le chanvre comme une ressources plus légère, moins chère, plus solide et plus respectueuse de l’environnement. BMW, Chrysler, GM, Ford, Saturn et Honda utilisent maintenant des plastiques de chanvre pour leurs panneaux de portières, capots de coffres, pare-chocs, etc.


Le plastique de chanvre offre des possibilité infinies. Il est plus sûr, plus facile et plus respectueux de l’environnement.

des réserves d’eau françaises contaminées

La quasi totalité des réserves d’eau françaises contaminées par les pesticides




 Posté dans : Actualités |

Si les pesticides ont initialement un rôle de protection des cultures, ils présentent in fine, par leur migration dans les différents milieux, des dangers pour l’homme et les écosystèmes, avec un impact immédiat ou à long terme. La contamination des cours d’eau est quasi-généralisée en France, essentiellement par des herbicides en métropole et des insecticides en outre-mer. Les secteurs aux teneurs les plus fortes correspondent aux zones de grande culture céréalière, maraîchère ou viticole : nord de la France, bassin parisien, Sud-Ouest, amont du Rhône, Martinique. De façon générale, les eaux souterraines semblent moins contaminées par les pesticides que les cours d’eau mais avec une large présence des produits de dégradation des pesticides.


Télécharger le dossier associé aux cartes ICI.

Définition

Le terme « pesticide » désigne les substances ou produits destinés à lutter contre les organismes jugés nuisibles, qu’il s’agisse de plantes, d’animaux, de champignons ou de bactéries.
Les pesticides sont majoritairement utilisés en agriculture ; on parle alors de produits phytosanitaires ou phytopharmaceutiques. Ils font également l’objet d’un usage non agricole par les gestionnaires d’équipements ou de réseaux de transport, les collectivités locales ou les particuliers ; on parle alors de biocides. Ils peuvent être classés par type d’usage : herbicides, insecticides, fongicides, nématicides, rotondicides, acaricides etc.


L’indicateur est la moyenne annuelle des concentrations totales en pesticides par secteur hydrographique pour les cours d’eau et par aquifère (formation géologique contenant une nappe) pour les eaux souterraines. Les secteurs hydrographiques correspondent à un découpage géographique par bassins versants des rivières. Les entités hydrogéologiques correspondent à un ensemble d’aquifères regroupés par lithologie et grand type de fonctionnement. La France compte 222 secteurs hydrographiques, dont 35 en outre-mer (Mayotte étant assimilée à un secteur) et 222 entités hydrogéologiques dont 46 dans les DOM. Au-delà du seuil de 5 µg/l, l’eau est réglementairement impropre à la fabrication d’eau potable et au-delà du seuil de 0,5 µg/l, elle est impropre à la consommation humaine.

Pertinence

La protection à long terme des ressources en eau est une condition du développement durable.
Le Parlement européen et le Conseil ont adopté en 2000 la directive cadre sur l’eau (DCE). Cette directive a pour objectif la préservation et la restauration des eaux et des milieux aquatiques, elle s’applique aux eaux de surface, y compris les eaux littorales et les eaux de transition, et aux nappes d’eau souterraine. Elle instaure une obligation de résultat : le bon état de toutes les eaux en 2015, sauf report de délais ou définition d’objectifs moindres dûment justifiés. Le bon état est défini pour les eaux de surface comme un bon état chimique et écologique, et pour les eaux souterraines un bon état chimique et quantitatif.

Analyse


Résultats au regard de l’enjeu de développement durable

Les substances actives des pesticides et les molécules issues de leur dégradation, appelées métabolites, sont susceptibles de se retrouver dans les différents compartiments de l’environnement (air, sol, eaux, sédiments, etc.) ainsi que dans les aliments. Même si elles ont initialement un rôle de protection des cultures, elles présentent in fine, par leur migration dans les différents milieux, des dangers plus ou moins importants pour l’homme et les écosystèmes, avec un impact immédiat ou à long terme.

En 2011, dans les cours d’eau, sur les 176 secteurs hydrographiques que le réseau de surveillance permet de caractériser en France métropolitaine, 63 présentent une concentration moyenne supérieure à 0,5 µg/l, dont 4 dépassent 2 µg/l. Certains secteurs présentent des points de mesure aux concentrations moyennes
supérieures à 5 µg/l, seuil réglementaire de potabilisation. Ils sont situés dans les zones de grande culture : bassin parisien, sud-ouest, nord de la France.
La contamination en pesticides n’épargne pas l’outre-mer : 7 secteurs sur les 12 caractérisés dépassent 0,5 µg/l en moyenne.


De façon générale, les eaux souterraines semblent moins contaminées par les pesticides que les cours d’eau. En 2011, seules 4 des 176 entités hydrogéologiques métropolitaines (nappe de Beauce, nappe de la Gâtine occidentale, nappe purbeckienne des Charentes, nappe de la molasse dans le Vaucluse et les Alpes de Haute-Provence) présentent une concentration totale en pesticides qui dépasse la norme de 0,5 µg/l fixée par la DCE. En revanche, plusieurs nappes des DOM, dont 70% des nappes martiniquaises, dépassent ce seuil. Dans 29 % des nappes françaises les concentrations totales en pesticides atteignent ou dépassent 0,1 µg/l. 38 % montrent une contamination faible, avec des concentrations inférieures à 0,1 µg/l, et 22 % des nappes sont sans pesticide détecté. Mais 12% des nappes n’ont pas fait l’objet de mesure en 2011.
Étant donné les temps de transfert vers les nappes et la lenteur de leurs écoulements, les molécules de dégradation des pesticides (métabolites), qui ne sont pas toutes connues en 2011, y sont plus largement retrouvées que les molécules mères.

Disparités territoriales

La contamination des cours d’eau en pesticides est quasi-généralisée en France. Seuls 7% des points en sont exempts. Ils sont majoritairement situés dans les régions peu agricoles ou à agriculture peu intensive : quart sud-est, Auvergne.
A l’inverse, les régions céréalières, de maïsiculture ou de viticulture, notamment dans le bassin parisien, en Adour-Garonne et le long du Rhône, ou à tradition maraîchère, comme en Martinique et Guadeloupe présentent les plus fortes concentrations en pesticides.
Cette contamination est souvent le fait d’un grand nombre de pesticides : plus de 20 pesticides différents ont été décelés sur 18% des points de mesure. Elle est également liée aux types de cultures pratiquées et aux conditions climatiques : essentiellement des insecticides en Outre-mer et des herbicides en France métropolitaine.

En 2011, les contaminations des nappes phréatiques par les pesticides sont essentiellement localisées, pour les plus fortes, en région Centre, dans les Charentes, le Vaucluse, les Alpes de Haute-Provence, en Martinique, ainsi qu’au Sud de la Guyane et de Basse Terre en Guadeloupe, avec des concentrations totales de pesticides dépassant 0,5 µg/l (norme de qualité DCE). Au nord de l’Hexagone, en nord Bretagne, dans le couloir rhodanien et le Sud-Ouest, les concentrations totales en pesticides des nappes sont fréquemment supérieures à 0,1 µg/l.
Les nappes sous couverture argileuse (en Aquitaine et à l’est du bassin parisien) et les nappes de montagne, est et sud du Massif Central, Pyrénées, Alpes, sont les plus préservées puisqu’aucun pesticide n’y est détecté. Le reste du territoire, montre une contamination généralisée des nappes, même si elle reste majoritairement faible, avec des concentrations inférieures à 0,1 µg/l, respectant les normes de qualité DCE.

Pour en savoir plus

Source

Les données proviennent des réseaux de surveillance mis en œuvre par les agences de l’eau en France métropolitaine et les offices de l’eau dans les départements d’outre-mer en application notamment de la directive cadre sur l’eau (DCE).

Couverture, échelon territorial

France entière.

Échelle temporelle

Année ou période de la série chronologique : 2011
Fréquence de mise à jour : annuelle

Méthodologie de l’indicateur

Les données utilisées proviennent des réseaux de surveillance mis en œuvre notamment en application de la directive cadre sur l’eau. Pour les eaux souterraines, seules les mesures du réseau de contrôle de surveillance de la DCE ont été prises en compte. Chaque point du réseau de surveillance des cours d’eau fait l’objet d’au moins 4 prélèvements par an en France métropolitaine. L’indicateur est la concentration moyenne annuelle totale en pesticides dans les prélèvements issus de chaque secteur hydrographique ou entité hydrogéologique pour les eaux souterraines. Les points des réseaux de surveillance n’ont pas permis de caractériser 34 des 222 secteurs hydrographiques du territoire et 26 des 222 entités hydrogéologiques (aquifères), regroupées à partir des contours de la BDRHFV1 du BRGM, pour la France métropolitaine, et correspondant aux masses d’eau souterraine pour les DOM.

Principaux objectifs nationaux

Dans le défi de la Stratégie nationale de Développement durable 2010-2013 (SNDD) portant sur la Conservation et gestion durable de la biodiversité et des ressources naturelles, un des choix stratégiques est de « réduire les pressions sur les écosystèmes et les ressources naturelles ».
La loi Grenelle I n°2009-967 du 3 août 2009 assigne un objectif de bon état en 2015 pour 2/3 des masses d’eau (art. 27).

Autres indicateurs liés

Indicateur de développement durable national « Consommation de produits phytosanitaires » :
www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr, rubrique Développement durable > Indicateurs et indices > Indicateurs de développement durable nationaux
www.insee.fr, dossier Développement durable

Bibliographie

– CGDD – SOeS, juin 2010, Références, « L’environnement en France – Édition 2010 », chapitre « L’eau », pp. 19-26.
– CGDD – SOeS, octobre 2011, Études & documents n° 54, « Bilan de présence des micropolluants dans les milieux aquatiques continentaux, période 2007-2009 », 56 p. et « Annexes partie 1 – Pesticides », 117 p.
–    www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr site du CGDD – SOeS, rubrique « Essentiel sur », thème « Environnement », article « Les pesticides dans les eaux ».

Mis à jour le 27/05/2014

Source WIkistrike et http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr

Le hasard fait que…

Le hasard fait que la Syrie se trouve sur la plus colossale plaque de réserve de gaz du monde…




Un conflit qui dure depuis seize mois et qui aurait fait des milliers de morts selon une comptabilité tenue soigneusement par les médias des pays occidentaux qui attribuent insidieusement les morts uniquement au régime de Damas et non aussi aux insurgés armés lourdement par les Occidentaux avec l’argent des roitelets du Golfe.


Les chrétiens ont peur de servir de variables d’ajustement d’un conflit qui les dépasse. Ce conflit, un siècle après les accords de Sykes-Picot, met en jeu les mêmes acteurs avec en plus, les Etats-Unis, la Russie et la Chine et…Israël. Les dépouilles sont toujours les mêmes, les dirigeants arabes faibles, lâches qui continuent à s’étriper pour le plus grand bien de l’Empire et de ses vassaux. Avec cette fois-ci, un coup d’arrêt à la tentation d’Empire, de la part de puissances asiatiques qui s’affirment.

Que se passe t-il réellement, et pourquoi Assad ne tombe pas malgré les communiqués triomphalistes présentant des personnalités qui ont lâché le pouvoir, le général Tlass, l’ambassadeur de Syrie en Irak qui s’enfuit au Qatar… Un autre round de négociations sur le règlement pacifique en Syrie s’est tenu dernièrement à Moscou.

Cette fois, le ministère des Affaires étrangères de Russie a invité le président du Conseil national syrien (CNS) Abdel Basset Sayda. Mais il n’y a pas eu de rapprochement de positions. D’autre part, l’émissaire international Kofi Annan, qui poursuit sa tournée en Iran, a rencontré Bachar el-Assad en Syrie pour tenter de trouver une issue au conflit dans le pays. Il a annoncé lundi 9 juillet 2012 être tombé d’accord avec le président Bachar el-Assad sur une « approche » qu’il soumettra aux rebelles syriens.

La diabolisation des médias occidentaux

Et si la version matraquée tous les jours par les médias français n’était pas la bonne ? C’est en tout cas l’avis du politologue Gérard Chalian, sur le plateau de « C dans l’air » du 14 juin 2012, sur France 5 : ce qu’il dit c’est que ce n’est pas uniquement un méchant contre des gentils et que la volonté d’intervention et les hésitations des Occidentaux ne sont pas forcément liées à des sentiments purement humanistes. Il dit qu’une intervention impliquerait beaucoup de conséquences géopolitiques.

Pour lui, ce qui se passe en Syrie est avant tout une affaire politique et non humanitaire. C’est en fait, l’exacerbation du conflit artificiel sunnite /chiite avec d’un côté pour les sunnites l’Arabie Saoudite, le Qatar, l’Union européenne, les Etats-Unis et Israël et de l’autre, les chiites, c’est-à -dire les Alaouites aidés par l’Iran. Le but de la manipulation est de casser l’Iran et de réduire le Hezbollah.

Nous verrons qu’il existe aussi l’argument énergétique Lire.



ADOPTEZ :

 

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une énorme fumisterie

Les vignettes antipollution «une énorme fumisterie» pour le docteur Gilles Dixsaut

>Île-de-France & Oise>Transports en Île-de-France & Oise|Jila Varoquier|04 avril 2018, 14h23|MAJ : 04 avril 2018, 21h33|14


Gilles Dixsaut, médecin, président Comité Francilien contre les Maladies Respiratoires et Membre du Comité Stratégique de la Fondation du Souffle, estime que restreindre la circulation aux Crit’Air 1 et 2 n’est pas forcément une bonne idée. DR


Gilles Dixsaut, médecin, estime que la circulation différenciée avec Crit’Air ne permet pas de réduire la pollution. Ce jeudi, un colloque sur la santé et pollution de l’air se tient à l’Hôtel de Ville de Paris.

Alors que la Métropole du Grand Paris annonçait il y a quelques jours son intention d’étendre une zone de circulation restreinte jusqu’à l’A86 pour éliminer les plus vieux véhicules, Gilles Dixsaut, médecin hospitalier, président du Comité Francilien contre les Maladies Respiratoires, estime que limiter la circulation aux Crit’Air 1 et 2 est pire. Un avis qui tranche à l’heure où la Ville de Paris organise justement ce jeudi matin un grand colloque dédié à l’impact sur la santé de la pollution de l’air en partenariat avec l’AP-HP.

Pourriez-vous nous rappeler les effets de la pollution sur la santé ?

GILLES DIXSAUT. Santé Publique France (l’agence de santé publique placée sous la tutelle du ministère de la Santé), dans une étude de juin 2016, estime que la pollution provoque 48 000 morts prématurés par rapport à une pollution zéro. Cette étude montre aussi que les valeurs limites européennes n’apportent aucun gain en termes de mortalité prématurée. Car l’impact de la pollution est sans seuil.

C’est-à-dire ?


Même en dessous des valeurs limites, elle a des conséquences sur la santé. Notamment en raison des particules fines et ultra-fines.

Vous voulez parler des particules PM10 ?


Non. Les PM10 sont l’indicateur retenu par la réglementation européenne mais, comme leur diamètre étant supérieur à 2 microns, elles passent peu dans le système respiratoire. La pollution actuelle n’a plus rien à voir avec celle des locomotives à vapeur et du chauffage au charbon, lorsqu’on a fixé cet indicateur. On devrait parler de PM 1 ou plutôt de PM 0,1. Et l’exprimer non plus en masse volumique (microgramme/mètres cubes) mais en nombre de particules. Comme la norme Euro 5 pour les émissions des véhicules.

Ces particules sont-elles moins nombreuses aujourd’hui que dans les plus anciens ou les motorisations diesel ?


Non, au contraire ! La norme Euro 6b actuelle, fixe pour les véhicules essence à injection directe des valeurs limites plus importantes encore que celles des véhicules diesel ! Quant aux diesels, le système de dépollution n’est efficace qu’au bout de plusieurs kilomètres. Ce qui les rend extrêmement polluants en ville, notamment par le NO 2.

Mais vous remettez en cause le système Crit’Air qui repose justement sur le fait que les véhicules récents sont moins polluants.

Oui, en effet, je pense que c’est une énorme fumisterie. Ces véhicules émettent des PM1 et PM 0,1 en plus grand nombre que les générations plus anciennes. Pollution encore plus délétère car ce sont des particules ultra-fines et cancérogènes. L’attribution de ces vignettes Crit air est fondée sur des mesures (à l’ancienne) en concentration massique et non en nombre, et sur des valeurs mesurées en situation de test. Le dieselgate nous a montré que ces valeurs n’ont qu’un lointain rapport avec la réalité.

Mais alors, quelles solutions ?


En ville des véhicules électriques et à gaz (GPL ou GNV) qui ne rejettent pas de particules et très peu de NO 2. Hors secteur urbain, si l’autonomie d’une électrique ne suffit pas, une hybride rechargeable essence à injection indirecte ou GPL (car il n’y a pas de station publique de GNV en France).

Que penser des établissements accueillant du public, comme des gymnases installés près d’un axe routier ?

Ce n’est pas une bonne idée. Dans un gymnase, l’air intérieur est une addition de celui de l’extérieur – pollué à proximité d’un axe routier – auquel on ajoute une pollution intérieure liée aux matériaux de construction.

Et un footing près d’un axe fréquenté ?

Là encore, c’est une mauvaise idée. A court terme, cela dégrade la fonction respiratoire. Même si à plus long terme, les bienfaits de l’exercice physique prennent le pas sur les méfaits de la pollution pour les personnes sans pathologie respiratoires ou cardiaques. Mieux vaut s’éloigner de plusieurs centaines de mètres. Pollutrack, en cours d’expérimentation, vise à permettre de connaître en temps réel la pollution particulaire sur tels ou tels axes. Le système pourrait bientôt être à disposition du grand public.

Transports en Île-de-France & OisepollutionCrit’Airzone à circulation restreinte

Une taxe poids lourds pour remplacer l’écotaxe ?

Une taxe poids lourds pour remplacer l’écotaxe ?


Transports

Les transporteurs routiers français refusent de payer une nouvelle taxe./ Photo DDM, Nathalie Saint Affre
Les transporteurs routiers français refusent de payer une nouvelle taxe./ Photo DDM, Nathalie Saint Affre

La ministre des Transports s’est dite favorable à une contribution des transporteurs routiers pour financer les infrastructures routières, faisant ressurgir le spectre de l’écotaxe.


Le retour d’une taxe pour les poids lourds était évoqué depuis l’été 2017 par le gouvernement. Elle devrait être présentée au Parlement «dans les prochaines semaines» a annoncé hier Elisabeth Borne, la ministre des Transports.

Elle a estimé qu’il serait «justifié que les poids lourds participent davantage» à l’entretien des infrastructures de transport et à la réalisation de nouveaux projets.

Selon Elisabeth Borne, la «contribution» demandée aux transporteurs routiers pourrait rapporter «quelques centaines de millions d’euros». Sa mise en place est prévue pour 2019.

Éviter la fronde de l’écotaxe


Mais les modalités de cette redevance sont encore floues. «Il faut un certain temps», avoue la ministre des Transports qui se dit prête à débattre avec les transporteurs. Mais selon la Fédération nationale des transporteurs routiers (FNTR), «cela fait des années qu’on discute avec le gouvernement. On veut bien tout entendre, mais en retour nous ne sommes pas entendus. On a fait 37 propositions au gouvernement, en incluant le financement des infrastructures, qui sont restées lettre morte.»

La nouvelle contribution ne devrait pas ressembler à l’écotaxe définitivement abandonnée par Ségolène Royal en 2013, suite à la fronde des «bonnets rouges» bretons. Depuis, les quelques portiques encore en place sont les stigmates d’un fiasco politique et économique que ne veut pas reproduire le gouvernement.


«Et en même temps, je crois aussi que tout le monde peut s’étonner de voir (…) des files de poids lourds qui traversent le pays, qui du coup génère un besoin d’infrastructures, posent aussi des problèmes de sécurité routière et qui, aujourd’hui, parce qu’ils font le plein chez nos voisins, ne participent pas du tout au financement des infrastructures», avait déjà déclaré Elisabeth Borne en septembre dernier, au sujet d’une possible mise en place d’une taxe sur les poids lourds.

Mais du côté des transporteurs routiers, on ne l’entend pas de cette oreille. Pour Jérôme Bessière, délégué Midi-Pyrénées de la FNTR, «la justification de la ministre concerne les transporteurs étrangers. Les transporteurs français, eux, payent déjà ce qu’il reste de l’écotaxe, à raison d’une augmentation de 4 centimes d’euros par litre de gazole. Or, on veut nous faire payer aussi cette nouvelle taxe.»

Les routiers prêts à monter au front

Jérôme Bessière estime que le problème vient du manque de transparence sur l’utilisation de l’argent que génèrent les déplacements routiers. «39 milliards d’euros sont générés par la route tous les ans et on en retrouve 19 milliards pour la gestion des infrastructures. Nous avons demandé un audit pour savoir où allaient les 20 milliards restant, mais il nous a été refusé. Visiblement, selon la Cour des comptes, une grande partie de cet argent sert à régler des factures sociales.»

Si une nouvelle redevance devait voir le jour, Jérôme Bessière n’exclut pas un mouvement massif des transporteurs français.