la gendarmerie enquête sur les résidents

Dans le Finistère, la gendarmerie enquête sur les résidents secondaires et vacanciers arrivés après le confinement

Les forces de l’ordre disent réussir à déterminer les dates d’arrivées grâce à certains « indicateurs ».

Dans le Finistère, la gendarmerie enquête sur les résidents secondaires et vacanciers...
Dans le Finistère, la gendarmerie enquête sur les résidents secondaires et vacanciers arrivés après le confinement (photo d’illustration prise le 4 avril à Bénodet)

CONFINEMENT – Braver le confinement pour se mettre au vert dans le Finistère n’est définitivement pas une bonne idée. Depuis plusieurs jours, la gendarmerie enquête pour identifier les personnes arrivées sur place après la mise en place des restrictions de déplacement

Dans une publication Facebook vendredi 17 avril, les forces de l’ordre ont rappelé l’arrêté préfectoral en vigueur qui interdit les locations saisonnières au moins jusqu’au 11 mai, date du début du déconfinement progressif national. De même, les personnes disposant de résidences secondaires dans le département mais arrivées sur place après le 16 mars sont également passibles d’une amende.

“Nous arrivons à déterminer quand ces personnes sont arrivées, par les incohérences dans leur discours, ou encore d’autres indicateurs précis”, a expliqué à Ouest-France le commandant Vincent Marescaux, chef de la compagnie de gendarmerie de Quimper, sans détailler lesquels par souci d’efficacité.

“Plusieurs enquêtes judiciaires” ont été initiées précise la gendarmerie sur Facebook. 

Les contrevenants – locataires comme bailleurs- s’exposent à une première amende de 135 euros, avec obligation pour les premiers de retourner à leur domicile principal. Les sanctions sont similaires à celles appliquées en cas de violation des mesures de restrictions et peuvent aller jusqu’à 6 mois de prison et 3750 euros d’amende en cas de récidive ou de refus de quitter les lieux.

À voir également sur Le HuffPost: Ces Parisiens qui fuient le coronavirus et vont à la campagne

COVID19 : des traces du virus dans l’eau

Coronavirus : à Paris, des traces du virus dans l’eau non potable

La mairie de Paris assure toutefois qu’il n’existe aucun risque concernant l’eau potable de la capitale.

Un homme marche sur un pont au-dessus de la Seine, à Paris pendant l'épidémie de coronavirus
Un homme marche sur un pont au-dessus de la Seine, à Paris pendant l’épidémie de coronavirusCrédit : Ludovic MARIN / AFP
Eleanor Douet
Eléanor Douet et AFP

Des « traces infimes » de Covid-19 ont été découvertes dans le réseau d’eau non potable de la ville de Paris, utilisé notamment pour nettoyer les rues, mais il n’y a « aucun risque pour l’eau potable », a annoncé dimanche 19 avril la mairie de Paris.

Le laboratoire de la régie municipale Eau de Paris a découvert « ces dernières 24 heures » la présence en quantité infime de traces du virus sur 4 des 27 points de prélèvements testés, ce qui a conduit la mairie a suspendre immédiatement l’usage de son réseau d’eau non potable, dans le cadre du « principe de précaution », indique la Ville à l’AFP. Mais l’eau potable, qui dépend d’un autre réseau « totalement indépendant », « ne présente aucune trace de virus Covid » et « peut être consommée sans aucun risque », assure la mairie.

À Paris, coexistent deux réseaux indépendants, celui de l’eau potable, et celui de l’eau non potable, hérités de la fin du XIXe siècle. « Le réseau d’eau non potable est alimenté par une eau dite ‘brute’, prélevée dans la Seine et le canal de l’Ourcq, et acheminée sans traitement lourd », explique la mairie. Il sert à arroser certains parcs et jardins, nettoyer les rues et faire fonctionner les lacs et cascades des parcs et bois ainsi que « certaines fontaines ornementales dans des parcs ou jardins actuellement fermés au public ».

on a décidé d’appliquer le principe de précaution et de saisir l’ARSCélia Blauel, l’adjointe à la maire de Paris chargée de la Transition écologique Partager la citation

« Ce sont des traces infimes mais des traces quand même donc on a décidé d’appliquer le principe de précaution et de saisir l’Agence régionale de santé », explique Célia Blauel, l’adjointe à la maire de Paris chargée de la Transition écologique, « pour qu’elle analyse les risques éventuels présentés par ces traces », « parce que nous ne sommes certainement pas les seuls ». « Comme nous disposons d’un laboratoire en interne, nous sommes les premiers à avoir ces résultats et à sonner l’alerte », ajoute-t-elle. 

BIEN DÉSINFECTER SON VÉHICULE

CORONAVIRUS : COMMENT BIEN DÉSINFECTER SON VÉHICULE ?

Par CNEWS – Mis à jour le 19/04/2020 à 18:42Publié le 19/04/2020 à 18:42PartagerTweet

 [Rodrigo Buendia / AFP]

En cette période de pandémie, la désinfection minutieuse des objets sur lesquels le SARS-CoV-2 pourrait survivre pendant plusieurs heures est essentielle. Outre le téléphone portable, les claviers d’ordinateur et les poignées de porte, la voiture doit également être régulièrement nettoyée.

En effet, si l’on en croit une étude menée par le site CarRentals.com en janvier 2019, l’intérieur des véhicules abriterait pas moins de 700 bactéries différentes. Le volant, l’objet que nous avons le plus souvent entre les mains au cours d’un trajet, logerait à lui seul environ 629 colonies de germes, ce qui le rend quatre fois plus sale que la cuvette de toilettes publiques. 

Les zones qui méritent un nettoyage consciencieux sont celles que nous manipulons le plus souvent : les poignées, le volant, le levier de vitesse, la console centrale et l’autoradio. Pour les surfaces non poreuses, des produits spécifiques sont facilement accessibles en grande surface. A défaut de nettoyant adapté, un simple savon ou un détergent peuvent faire l’affaire. Quant à l’autoradio, il peut être nettoyé à l’aide d’un coton-tige imbibé dans de l’alcool, ou avec un autre produit conçu pour les appareils électroniques. 

Même si on ignore, pour l’instant, si le virus peut survivre sur le tissu ou le cuir, les sièges peuvent aussi être désinfectés. Après avoir passé un coup d’aspirateur, le cuir peut ainsi être nettoyé avec un tissu microfibre et un savon pour cuir, tandis que les housses en tissu peuvent elles être passées à la machine. 

Un dernier objet doit être pris en compte dans ce nettoyage : les clés, sur lesquelles le SARS-CoV-2 peut survivre plusieurs jours selon certaines études. Elles doivent être essuyées après chaque utilisation, avec une solution contenant au moins 70% d’alcool ou une lingette désinfectante. 

Pour ceux qui souhaitent désinfecter les moindres recoins de leur véhicule, un nettoyage à l’ozone peut être fait par un professionnel. Ce processus innovant, qui consiste à activer une machine à ozone dans l’habitacle fermé pendant une demi-heure, a été mis au point par la société marseillaise CosmétiCar il y a plus d’un an, comme le rapporte Le Parisien. L’entreprise offre actuellement cette désinfection aux personnels soignants. 

Un épandage agricole a tué des poissons

Ille-et-Vilaine. Un épandage agricole pollue un cours d’eau, de nombreux poissons décèdent

La pollution du ruisseau du Touru à Romagné, fin mars, a entraîné une forte mortalité piscicole. L’Office français de la biodiversité a été saisi. Une enquête est ouverte.

Le ruisseau du Touru à Romagné.
Le ruisseau du Touru à Romagné. | THOMAS BRÉGARDIS / OUEST-FRANCE

par Ouest-FranceOK

Ce sont des riverains qui ont alerté les autorités, fin mars. Après l’épandage de lisier d’un agriculteur voisin, les eaux du ruisseau du Touru, à Romagné, près de Fougères étaient troubles. Pierre Gautier, le maire de la commune s’est rendu sur place : j’ai prévenu l’agriculteur mais c’était trop tard.

Dans ce terrain vallonné, le sol a été battu par les pluies cet hiver et après un début de printemps sec, le lisier a ruisselé sur la pente, explique le maire, lui-même agriculteur.

Le ruisseau, classé comme réserve, a été lourdement pollué. Saisi, l’Office français de la biodiversité (OFB) est intervenu cette semaine : Suite à un épandage d’effluent agricole sur un terrain en pente, une pollution du cours d’eau sur environ un kilomètre a entraîné une mortalité piscicole importante, truites notamment », explique l’Office dans un communiqué.

Les constatations et investigations des inspecteurs de l’OFB, dépêchés sur place, ont entraîné l’ouverture d’une enquête judiciaire.

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Le ruisseau du Touru à Romagné. | THOMAS BRÉGARDIS / OUEST-FRANCE

L’Office français de la biodiversité rappelle que le fait de déverser des substances quelconques susceptibles de nuire à la faune ou à la flore dans les eaux superficielles constitue un délit pénal susceptible de condamnation pouvant atteindre deux ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende.

« L’agriculteur a manqué de vigilance »

Une situation qui aurait pu être évitée : l’agriculteur a manqué de vigilance, reconnaît le maire qui veut communiquer pour que ce genre de situation ne se reproduise pas.

AUSTRALIE / ce qui nous attend ?

« Main basse sur l’eau », les vautours de l’H2O

Réservoir d'eau en Californie (© Magnéto Presse)
Réservoir d’eau en Californie (© Magnéto Presse)

Le documentariste Jérôme Fritel montre à quel point l’or bleu est devenu objet de spéculation. Pour le plus grand malheur des citoyens.

Par Arnaud GonzaguePublié le 17 décembre 2019 à 18h00

Dans un monde qui tourne rond, l’eau ne devrait même pas être un sujet de discussion. Etant indispensable à toute forme de vie sur Terre, elle devrait être préservée comme un trésor et distribuée le plus équitablement possible à ceux – hommes, plantes et bêtes – qui en ont besoin. Mais, hélas, le monde ne tourne pas rond, et l’or bleu est devenu objet de spéculation comme n’importe quel produit commercialisable. De fait, on déconseille aux spectateurs un peu désespérés par la nature humaine de visionner ce documentaire : il démontre que notre civilisation ne s’est pas contentée de démolir les écosystèmes mais que certains arrivent encore à profiter du désastre pour s’en mettre plein les poches. A croire que, jusqu’à la dernière seconde du naufrage du « Titanic », certains vendront à prix d’or des bouées !

La pénurie engendre le règne du « chacun pour soi »

Voilà comment le système marche : d’un côté, il y a une ressource, l’eau, de plus en plus précieuse parce qu’elle se raréfie (pollution, réchauffement climatique). De l’autre, des besoins de plus en plus importants (agriculture intensive, accroissement démographique). Entre les deux, des financiers qui se disent : il n’y a qu’à marchander tout cela puisque la demande ne peut que grimper. Et ce n’est pas un fantasme pour lecteur de « l’Huma », mais déjà une réalité. En témoigne le cas de l’Australie, nation dont l’agriculture est littéralement asséchée par le réchauffement terrestre. L’Etat y fixe des quotas aux agriculteurs, qui doivent casser leur tirelire pour acheter un supplément d’eau à des spéculateurs privés : à 500 dollars le million de litres, ça rapporte ! On se dit que les paysans australiens vont réagir, s’unir pour faire évoluer leurs pratiques et lutter contre les fonds vautours qui leur monnaient l’eau comme des usuriers indignes ? Mais non. La pénurie engendre le règne du « chacun pour soi », déplore un éleveur.

Autre exemple de ce que l’on peut faire de pire en matière de choix de société : il y a trente ans, la Grande-Bretagne a totalement privatisé son marché de l’eau (merci Margaret Thatcher). Résultat : des citoyens dans le besoin, à qui les compagnies ont coupé le robinet sans autre forme de procès, ne pouvaient plus s’abreuver qu’à des fontaines de rue, mises à disposition par des associations caritatives. Les exemples australien et britannique sont-ils une préfiguration de ce qui nous attend tous quand nous aurons réalisé combien l’eau est une denrée en pénurie ? Dans un monde qui tourne rond, impossible. Mais dans le nôtre…

« Main basse sur l’eau »

Mardi 17 décembre à 20h50 sur Arte. Documentaire français de Jérôme Fritel (2019). 1h30. (Disponible en replay sur Arte+7).

Arnaud Gonzague

A Lire : ils se mettent à l’eau pour rouler plus longtemps

Pour Télécharger Brochure & explication : http://www.ecolomag.fr/wp-content/…/2018/12/CP-Eco-l-eau.pdf10 Août, 2019 admin écologie,économie,Non classé Après SCREG , Cadiou Industrie , des Taxis & Mairies, Les Ebénistes ALLOT, d’autres groupes … se jettent à l’eau Le kit Moteur Eau est une solution ingénieuse brevetée, développée et industrialisée par eco-leau.com. Il permet une…HYBRIDEAEAU.FRAprès SCREG , Cadiou Industrie , des Taxis & Mairies, Les Ebénistes ALLOT, d’autres groupes … se jettent à l’eau – HybrideàEau10 Août, 2019 admin écologie,économie,Non classé Après SCREG , Cadiou Industrie , des Taxis & Mairies, Les Ebénistes ALLOT, d’autres groupes … se jettent à l’eau Le kit Moteur Eau est une solution ingénieuse brevetée, développée et industrialisée par eco-leau.com. Il permet une…En savoir pluS

les voitures diesel émettaient même moins de NOx que les voitures essence

– Crédits YourMecanic

SELON UNE NOUVELLE ÉTUDE, LES VOITURES DIESEL NE REJETTENT PRESQUE PLUS DE NOX

Pointées du doigt par de nombreuses villes à cause de leurs émissions de gaz polluants, les voitures diesel seraient pourtant devenues bien plus propres qu’on ne le pense. D’après certaines études indépendantes, certains modèles de Mercedes, Opel et BMW n’émettraient presque pas d’oxydes d’azote (NOx) et ce, même durant les tests sur route les plus exigeants.

Le club automobile allemand (ADAC) a mené des tests sur route en conditions réelles de plusieurs modèles essence et diesel pour évaluer leur niveau de pollution. Nombreux sont les véhicules ayant des résultats considérablement inférieurs aux 168 mg de NOx/km actuellement autorisés par la norme Euro 6d Temp.

Il faut savoir que lorsque l’on se calque sur la norme WLTP, ces limites sont fixées à 80 mg/km pour les voitures diesel et 60 mg/km pour les voitures essence. Les résultats sont surprenants. La Mercedes C220d n’a émis aucun NOx tandis que la BMW 520d n’a émis que 1 mg/km. L’Opel Astra diesel n’a émis que 1 mg/km également. Le Citroën Berlingo BlueHDi a aussi impressionné avec 7 mg/km.

Dans certains cas, les voitures diesel émettaient même moins de NOx que les voitures essence. Toutes ces mesures ont été relevées en conditions réelles de roulage, donc avec la limite maximale de 168 mg/km ! Cela constitue donc une excellente surprise qui pourrait constituer, si les politiques l’acceptent, un retour en grâce du diesel.

Crédits L’Argus

A Lire : ils se mettent à l’eau pour rouler plus longtemps

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10 000 Enfants Pour Un salaire de 7 centimes à 3 euros

Plus de 10 000 enfants, les plus jeunes âgés d'à peine 5 ans, sont employés à Madagascar dans des mines de mica. (Photo : DIBYANGSHU SARKAR/AFP via Getty Images)

Plus de 10 000 enfants, les plus jeunes âgés d’à peine 5 ans, sont employés à Madagascar dans des mines de mica. (Photo : DIBYANGSHU SARKAR/AFP via Getty Images)ACTUALITÉS

Madagascar : plus de 10 000 enfants employés pour extraire le mica utilisé dans l’électronique et l’automobile

Selon deux ONG, les enfants ont des « conditions de travail rudes » et sont victimes de « blessures aux mains et aux pieds tous les jours ».

Plus de 10 000 enfants, les plus jeunes âgés d’à peine 5 ans, sont employés à Madagascar dans des mines de mica, un minéral résistant à la chaleur utilisé dans l’électronique et l’automobile. Ces mineurs représentent la moitié de la main-d’œuvre employée dans les mines du secteur selon l’enquête publié par Terre des Hommes et le  Centre de recherche sur les multinationales.

Au terme d’un an d’investigations dans 13 mines du sud-est de la Grande Ile, les deux ONG ont documenté en détail les « conditions de travail rudes » imposées à ces enfants. En raison de leur petite taille, la plupart sont chargés de creuser les puits et les tunnels dont ils extraient ensuite le mica. Les plus jeunes sont affectés au tri des plaques de minéraux.

« Ils souffrent du dos, de maux de tête dus à la chaleur et au manque d’eau, et sont victimes de blessures aux mains et aux pieds tous les jours », écrit le rapport. Nombre d’entre eux sont aussi « exposés aux particules de poussière de mica qui provoquent toux et des maladies des poumons ». Ces mineurs sont pour la plupart envoyés au fond des mines par leur famille, à la recherche d’un complément de revenu.

tagrawla@tagrawlaineqqiq

Dans chaque smartphone, il y a le sang d’un enfant malgache.
Je me demande combien d’enfants de chez nous recevrons un beau smartphone tout neuf pour #Noëlhttps://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/societe-africaine/madagascar-plus-de-10000-enfants-employes-dans-les-mines-pour-extraire-le-mica_3718113.html?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1574702869&fbclid=IwAR2uuQP0CiPFqurP2y9tIcILluBzMqzd56-w2LXDSIj0gDklNXaUrmM2yeM#xtor=CS1-746 …Madagascar : plus de 10 000 enfants employés dans les mines pour extraire le micaCertains enfants employés comme mineurs pour extraire le mica sont âgés d’à peine 5 ans. francetvinfo.fr10:42 AM – Nov 26, 2019Twitter Ads info and privacySee tagrawla’s other Tweets

Le salaire ? de 7 centimes à 3 euros 

Madagascar est considéré comme un des pays les plus pauvres de la planète. Les trois-quarts de ses 26 millions d’habitants vivent avec moins de 2 dollars par jour. Selon l’enquête, le salaire quotidien octroyé aux travailleurs du secteur – entre 27 centimes à 3 euros – ne suffit souvent pas pour un repas quotidien.

Madagascar est le troisième producteur mondial de mica, pour un revenu estimé dans le rapport à 5,8 millions d’euros (6,5 millions de dollars) en 2017. La Grande Ile en est récemment devenue le premier exportateur de la planète en devançant l’Inde. L’essentiel – 87% – de la production mondiale est achetée par la Chine, selon l’Organisation des Nations unies (ONU).

« Il est urgent que les entreprises internationales se préoccupent de l’origine du mica qu’elles utilisent et que le gouvernement malgache (…) s’engage à faire respecter les droits des enfants », concluent les deux ONG.

Très recherché pour sa capacité à supporter les fortes chaleurs, le mica est utilisé comme isolant dans les industries aéronautique et automobile, ainsi que dans la téléphonie.

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Le ciment pollue plus que tous les camions du monde


PLANÈTE

Pourquoi la fabrication du ciment participe-t-elle au réchauffement climatique ?

QUESTION/RÉPONSEClassé sous :RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE , FABRICATION DU CIMENT , DIOXYDE DE CARBONE

Le ciment participe au réchauffement climatique car sa production rejette d'importantes quantités de dioxyde de carbone. © Davidbascunana, Wikimedia Commons, cc by 3.0

Le ciment participe au réchauffement climatique car sa production rejette d’importantes quantités de dioxyde de carbone. © Davidbascunana, Wikimedia Commons, cc by 3.0 

Produire du ciment relève d’une industrie lourde et complexe, qui consiste à transformer le calcaire et l’argile dans des fours puissants. La chaleur qui en résulte dégage d’importantes quantités de dioxyde de carbone. Le transport et l’extraction de ces matières premières sont également sources de rejet de CO2 dans l’atmosphère. Ce gaz est responsable à lui seul de 75 % de l’effet de serre qui participe au réchauffement climatique. Dans le monde, on estime à un milliard de tonnes le CO2 rejeté par l’industrie du ciment.

Un besoin important en hydrocarbures pour la fabrication du ciment

Le ciment est produit à partir de calcaire et d’argile extraits de carrières. Ces deux roches sont ensuite concassées et mélangées : 80 % de calcaire pour 20 % d’argile environ. Le mélange est chauffé dans un four à 1.450°C pour obtenir du « clinker ». Une fois broyé, le clinker devient le ciment. Pour obtenir cette température, il faut que les flammes atteignent 2.000°C. Or, une telle combustion est rendue possible grâce à des carburants fossiles (essence, kérosène ou diesel), qui génèrent du dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Le procédé contribue ainsi à l’effet de serre, et donc au réchauffement climatique.

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Fabrication du ciment : le transport du calcaire et de l’argile émet du CO2

Le calcaire et l’argile, les ingrédients de base du ciment, sont extraits dans des carrières. Ces sites ne sont pas présents partout sur le territoire. Il est donc nécessaire d’acheminer ces matières premières jusqu’aux usines de ciment. Ce transport se fait essentiellement par camions. Or les poids-lourds contribuent à hauteur de 27 % aux émissions de CO2 des transports en France.

A Lire : ils se mettent à l’eau pour rouler plus longtemps

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Une Feuille Produit du Carburant

Grâce à une « feuille artificielle » qui imite le processus naturel de la photosynthèse, une équipe canadienne a mis au point une méthode de production de carburant à partir de CO2. Si le procédé n’est pas nouveau, leur système, simple et peu coûteux, pourrait être transposable à échelle industrielle.

La photosynthèse, fascinant processus chimique naturelle.

LA PHOTOSYNTHÈSE DÉSIGNE LE PROCESSUS DE TRANSFORMATION NATURELLE PAR LES PLANTES DU DIOXYDE DE CARBONE EN GLUCOSE À PARTIR D’EAU ET DE LUMIÈRE DU SOLEIL. STEVEPB/PIXABAY

Chaque jour, l’Homme produit près de 100 millions de barils de pétrole dans le monde, soit plus de 15 milliards de litres. Un chiffre vertigineux, que l’on peine à réduire malgré la raréfaction des énergies fossiles et les signaux d’alerte que nous envoient notre Terre en surchauffe. Au même moment, une autre production de carburant, cette fois capitale à la survie de notre planète, se déroule en silence. La photosynthèse, processus de transformation naturelle du dioxyde de carbone en glucose à partir d’eau et de lumière du Soleil, propre à tous les végétaux, est bien la plus magique des productions d’énergie. C’est pourquoi la science tente de s’en inspirer depuis plusieurs années pour pouvoir un jour fabriquer, à grande échelle, un carburant capable de remplacer de façon viable le pétrole.

Une équipe de chercheurs canadiens de l’Université de Waterloo (Canada) a donc consacré trois années de travail à la mise au point d’une « feuille artificielle » s’appuyant sur le principe de la photosynthèse, avec pour objectif de convertir à moindre coût le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant de substitution. Dans un article publié lundi 4 novembre dans la revue Nature Energy, elle décrit ainsi comment elle est parvenue à convertir du CO2 en méthanol en utilisant simplement de l’eau, la lumière du Soleil et un oxyde cuivreux se présentant sous forme de poudre à diluer dans l’eau.

Une simple poudre à diluer

C’est précisément cette poudre rougeâtre que Yimin Wu, professeur d’ingénierie et auteur principal de l’étude, désigne comme cette feuille artificielle. Créée à partir de la réaction chimique de quatre substances – le glucose, l’acétate de cuivre, l’hydroxyde de sodium et le dodécylsulfate de sodium –, « elle sert de catalyseur ou de déclencheur à la réaction chimique souhaitée », explique Yimin Wu. « Les végétaux utilisent la lumière du Soleil pour convertir le dioxyde de carbone et l’eau en glucose et en oxygène. Notre ‘feuille’ à nous les convertit en méthanol et en oxygène. »

A Lire : ils se mettent à l’eau

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Ségolène Royal mise en cause

Ségolène Royal convoquée à l’Assemblée sur son bilan d’ambassadrice des pôles

Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 25/12/2019 à 09:14 , mis à jour à 10:15 

L'ex-ministre Ségolène Royal, le 17 mai 2017 à Paris
L’ex-ministre Ségolène Royal, le 17 mai 2017 à Paris afp.com/GEOFFROY VAN DER HASSELT

L’ambassadrice des pôles devra s’expliquer sur « son absence aux réunions du Conseil de l’Arctique » et sur « ses interventions médiatiques hebdomadaires ».

Ségolène Royal, mise en cause pour l’utilisation de ses moyens d’ambassadrice des pôles, va être convoquée pour s’expliquer à l’Assemblée, à l’initiative de deux députés UDI et LREM, a indiqué mardi le président de l’UDI Jean-Christophe Lagarde, confirmant une information du Figaro

Le député Christophe Naegelen (UDI), co-responsable de la mission d’information de l’Assemblée nationale sur la problématique des pôles, et son collègue macroniste Éric Girardin vont transmettre la convocation à l’ex-ministre dans les jours à venir. « Nous demandons qu’elle soit en parallèle auditionnée par la commission des Affaires étrangères », a précisé Jean-Christophe Lagarde. 

Ségolène Royal, nommée il y a deux ans ambassadrice de France chargée des négociations internationales pour les pôles, devrait recevoir la convocation dans les jours à venir.  

Des explications

Les députés veulent entendre ses explications sur « son absence à l’ensemble des réunions officielles au Conseil de l’Arctique qui se sont tenues depuis sa nomination » et « ses interventions médiatiques quasiment hebdomadaires sur la politique nationale », selon Christophe Naegelen, cité par Le Figaro

En novembre, l’hebdomadaire Le Point et Franceinfo avaient publié des enquêtes pointant le comportement de l’ex-candidate socialiste à la présidentielle, la chaîne d’info l’accusant de se servir de sa fonction – pour laquelle elle n’est pas rémunérée – et de ses trois collaborateurs, financés par le ministère des Affaires étrangères, pour promouvoir des activités personnelles.