Une nouvelle machine qui transforme le plastique en carburant inventée par un Azuréen
18/09/2018
Le comédien Samuel le Bihan est connu pour son implication environnementale. Le fondateur de l’association Earthwake a présenté le 10 septembre 2018 un prototype d’une machine qui va permettre la valorisation du plastique afin d’éviter que ces déchets se retrouvent dans l’océan.
Regardez la vidéo afin de découvrir comment fonctionne cette machine et les applications qui lui sont destinées :
TRANSFORMER DU PLASTIQUE EN CARBURANT EST DÉSORMAIS POSSIBLE
Par CNEWS – Mis à jour le Publié le
L’association EartWake a dévoilé lundi 10 septembre à Antibes, le prototype d’une machine capable de transformer le plastique en carburant.
Cette machine a été inventée et développée par Christopher Costes. Son fonctionnement est très simple, il suffit de ramasser quelques déchets plastiques réduits en paillette et ensuite de les verser dans la machine. La machine va chauffer à 350 degrés le plastique et on obtient du diesel et de l’essence. Présentée par le comédien Samuel Le Bihan, la machine Chrysalis est capable de transformer un kilogramme de déchet plastique en 600g de diesel et 250g d’essence en 30 minutes.
Les carburants obtenus sont utilisables dans des moteurs de bateaux, de voitures ou de générateurs. L’objectif maintenant est de créer une machine plus grande d’ici quelques mois pour traiter 70 kilos de plastiques par heure afin de l’envoyer sur une zone polluée. Cette machine a été pensée pour lutter contre la pollution de la mer.
C’est sur le port d’Antibes que l’équipe de Earthwake a présenté le prototype. C’est Christofer Costes, employé de l’association et résident des Alpes-Maritimes, qui a inventé cette machine baptisée Chrysalis.
Pollution de l’air, carburants, taxes, entretien, L’automobile coûte cher à l’environnement et aux Français. Conjuguez Economie & Ecologie…
Moteur$.Bzh eco-leau.com : l’injection de vapeur d’eau, via ECO L’Eau, permet de ralentir l’usure prématurée des pièces moteur & apporte un plus au niveau confort de conduite : plus de couple, moins de sonorité moteur etc…
Le système a été doublement médaillé du concours Léonard de VINCI 2013 de La Fédération Française des Inventeurs [🇫🇷 &
Concours des meilleures inventions françaises 🇫🇷]
Des entreprises, à l’image du groupe SUEZ, SCREG & COLAS, Les Ebénistes ALLOT etc… ont déjà adopté le kit Hybride4All En savoir Plus
un dispositif qui diminue la consommation de carburant grâce à l'injection de vapeur d'eau dans le moteur. Les ventes explosent. Plus d'info sur HTTPS://HybrideAeau.fr
À 60 km/h sur une nationale, il est verbalisé pour excès de lenteur
Le conducteur a donc été arrêté par deux motards qui contrôlaient la vitesse sur la route nationale. Il a écopé d’une contravention de 22 euros.
Le conducteur tente de s’expliquer : « Nous étions en plein dans les vendanges, avec beaucoup de tracteurs sur la route. J’ai pensé qu’un accident venait d’avoir lieu, j’ai donc levé le pied ».
Dans le Code de la route il est signalé qu’un conducteur ne doit pas gêner la marche normale des autres véhicules et qu’il peut dans ce cas, être verbalisé pour « vitesse anormalement réduite ».
« Franchement, c’est injuste ! », s’est exclamé le conducteur.
Remplacer le glyphosate par de l’eau chaude… L’invention révolutionnaire d’un breton !
Avec l’interdiction progressive des désherbants chimiques, voilà l’occasion d’effectuer une véritable transition écologique qui plus est, de faire preuve d’imagination et de créativité tout en respectant l’environnement…
Les géants de l’industrie des produits phytosanitaires ont certainement encore de beaux jours devant eux : l’agriculture productiviste peine en effet à se défaire des liens étroits –et non moins mortifères- qui la lie au glyphosate et à nombre d’autres biocides ! Pour autant, çà et là, de petites lueurs d’espoir se font jour et démontrent qu’une autre agriculture est tout à fait envisageable !
Jean-Pierre Barre, ancien vendeur de produits chimiques, en précurseur éclairé, a probablement senti le « vent tourner » ! Dès le début des années 2000, ce professionnel a travaillé tout en anticipant une fin plus ou moins rapide de l’ère du « tout chimique »… Saisissant cette opportunité, l’ex VRP s’est mué en inventeur de génie en planchant sur une machine capable d’optimiser un procédé fort simple pour désherber tel que le faisaient les anciens en ayant recours à l’utilisation d’eau chaude !
« Son idée ? Récupérer de l’eau de pluie, la porter à une température de 120° et la pulvériser par gouttelettes à basse pression sur les herbes invasives. Au départ, bien entendu, personne n’a cru à son projet. Ni les banques, ni les géants mondiaux de la chimie » raconte Axel Leclerc sur le site Positivr !
Pour autant, Jean-Pierre Barre s’entête et, en 2007, vend sa première machine quelque peu révolutionnaire ! Depuis, le rythme de production ne cesse de croître à tel point qu’actuellement la Société Oéliatec -créée par l’inventeur en question- en fabrique une par jour : l’entreprise emploie en effet une trentaine de personnes ! Ces machines sont, pour le moment, vendues aux collectivités et aux paysagistes de toute l’Europe… Mais, avec l’interdiction progressive du glyphosate, Oéliatec s’apprête également à se positionner sur le marché agricole !
Voilà donc une excellente nouvelle pour l’environnement -et pas forcément pour les utilisateurs de produits chimiques- qui, espérons-le, révolutionnera durablement les techniques agricoles en créant par-dessus le marché, des emplois…
En octobre 2016, un « faux tribunal » constitué de vrais juges condamnait Monsanto pour les ravages sur l’homme et l’environnement qu’est fortement soupçonné de causer son herbicide à base de glyphosate, le Roundup. La journaliste Marie-Monique Robin a enquêté en amont du procès et accumulé les indices contre Monsanto. Son documentaire, Le Roundup face à ses juges(diffusé le 17 octobre 2017 sur Arte), ouvertement à charge, est accablant, non seulement pour le glyphosate, mais aussi pour la firme américaine, qui semble prête à tout pour sauver son herbicide.
C’est une succession de témoignages à vous glacer le sang.
En Argentine, la caméra de Marie-Monique Robin suit des chercheurs à la rencontre de populations vivant à proximité de champs aspergés d’herbicides à base de glyphosate. « Nous avions une fille, elle avait 11 ans. Elle est morte d’une pneumonie et d’un arrêt respiratoire. » « Ma femme est morte l’an dernier, elle avait 56 ans. Elle a eu un problème d’asthme grave quand ils ont pulvérisé le champ en face. Et mon petit-fils vient d’être opéré d’un rein à cause d’une malformation congénitale. » « Mon frère est décédé il y a un peu moins de deux ans d’un cancer du foie », dit encore un homme tremblant et rachitique. Son sort n’est guère plus enviable : il souffre de polyneuropathie toxique sévère. Son métier avant la maladie ? Remplir les cuves des avions d’épandage avec du glyphosate. Le lien ne fait pour lui aucune doute. « C’est un génocide silencieux dont je ne veux plus être complice. »
Sécurité routière : refuser la priorité à un piéton coûtera désormais cher
Société > Sécurité routière > Sécurité routière : refuser la priorité à un piéton coûtera désormais six points
Par Gael Brulin, publié le 19 septembre 2018 à 9h25.
2 minutes
SOCIÉTÉ
Photo d’illustration. Un passage piéton. Pixabay.com CC0 Public Domain
Mesure entrant en vigueur mardi dans le cadre d’un décret modifiant le Code de la route, une plus lourde sanction pour les automobilistes qui refuseraient la priorité à un piéton. Des contrevenants s’exposant ainsi désormais à une perte de six points sur leur permis.
Suite au comité interministériel de la sécurité routière s’étant réuni le 9 janvier janvier, plusieurs mesures s’apprêtent à entrer en vigueur, voire le sont déjà depuis mardi, et ce dans le cadre d’un décret modifiant le Code de la route. Possiblement la plus notable de toutes, celle d’un alourdissement de la sanction pour les automobilistes refusant d’accorder la priorité à un piéton.
Ainsi, alors que jusqu’ici, les contrevenants s’exposaient à la perte de quatre points sur leur permis de conduire, depuis mardi, ils peuvent désormais écoper d’un retrait de six points, mais seulement dans la situation où un piéton “s’engage régulièrement dans la traversée d’une chaussée ou manifeste clairement l’intention de le faire”.
Refus de priorité à un piéton : un manquement constatable par vidéosurveillance
On apprend de même que la constatation de ce manquement pourra maintenant s’effectuer par simple vidéosurveillance, rapporte La Dépêche du Midi. Ce ne sont toutefois pas les dernières mesures prévues vis-à-vis des piétons car il est également prévu d’améliorer la visibilité des passages sur lesquels ils traversent.
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La mesure présentée a pour objectif de faire reculer le nombre de piétons morts sur les routes. L’an dernier, ce bilan était de 519.
Les éthylotests anti-démarrages quasi-systématiques
Autre mesure qui ne s’appliquera quant à elle qu’à compter du 1er janvier prochain, celle d’une quasi-systématisation du recours aux éthylotests anti-démarrages (EAD). Toute personne contrôlée avec une alcoolémie comprise entre 0,8 g/l et 1,8 g/l sera soumise à un dispositif inédit.
Au lieu de voir son permis suspendu, l’automobiliste alcoolisé pourra ainsi être autorisé à continuer de prendre le volant, mais uniquement celui de véhicules équipés de ces EAD, et ce pour cinq ans maximum. C’est la préfecture qui prendra cette décision dans les trois jours suivant l’infraction.
Il est à préciser que c’est le contrevenant qui devra assumer le coût de l’installation de ce dispositif, coûtant environ 1.300 € à l’achat ou 100 euros à la location.
D’après les chiffres de l’association Robin des Bois, la région compte deux départements gros consommateurs de désherbant.
Bretagne, France
La Commission européenne devait déciderde valider ou pas l’utilisation du glyphosate pour les 10 prochaines années. Ce désherbant très puissant avait été classé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) comme « cancérogène probable ». La Bretagne compte de gros utilisateurs. C’est ce que révèle l’association Robin des Bois
Finistère et Côtes d’Armor : plus de 400 tonnes de glyphosate utilisées chaque année
Deux départements bretons sont dans le top 10 des plus gros utilisateurs de glyphosate. C’est ce que révèle l’association écologiste Robin des bois dans son livre L’Atlas de la France toxique. Le Finistère est à la septième place avec 206 tonnes en moyenne chaque année et les Côtes d’Armor sont juste derrière avec une utilisation annuelle de 198 tonnes.
Pourquoi ? Robin des Bois pointe du doigt « 40 000 hectares de maïs, les vastes cultures de pommes de terre, de choux-fleurs, de tomates et d’artichauts. »Jacky Bonnemains de l’association explique que « pour ces cultures maraîchères, le glyphosate est utilisé par les agriculteurs pour éliminer les mauvaises herbes qui freinent la croissance des légumes et qui baissent le taux de rentabilité. »
Les départements d’Ille-et-Vilaine et du Morbihan eux s’en sortent mieux puisque leur consommation moyenne annuelle d’herbicide est comprise entre 90 et 100 tonnes.
L’organisation interprofessionnelle des apiculteurs estime à 16 900 le nombre de ruches mortes cet hiver en région Bretagne. Sur 59 000 au total ! Beaucoup se demandent pourquoi les apiculteurs bretons sont plus atteints par la mortalité des abeilles que dans le reste de la France ?
La réponse ne demande pas beaucoup de recherches. On utilise beaucoup de glyphosate en Bretagne, autant que dans les vignobles du Bordelais. Les Côtes d’Armor et surtout le Finistère font partie des 10 départements français qui consomment le plus de glyphosate. La Loire-Atlantique n’est pas en reste avec son important vignoble. Le glyphosate est un herbicide inventé par un chimiste suisse en 1950 et fabriqué par la firme américaine Monsanto. Monsanto fabriquait déjà l’agent orange , aussi un défoliant, utilisé pendant la guerre du Vietnam et qui a affecté les populations civiles et leurs descendances de terribles mal-formations.
Et pourquoi ça ? Tout simplement parce que, d’une part la Bretagne est une terre d’agriculture, et que d’autre part, l’herbe y pousse plus vite et plus drue qu’ailleurs. Même les Chinois avaient remarqué que chez nous l’herbe pousse toute l’année et ne jaunit pas. Les vaches y produisent beaucoup de lait. Les éleveurs sont contents, mais les céréaliers ou les producteurs de légumes et de légumineuses beaucoup moins.
Pour contrôler l’herbe, les agriculteurs bretons, non-bio, aspergent leurs champs de glyphosate avant les semailles. Même les plantations de sapins de Noel sont aspergées entre les rangs régulièrement pour éliminer l’herbe et les broussailles et aussi certains vergers. Deux tiers des agriculteurs utilisent du glyphosate selon la FDSEA du Finistère.
Le glyphosate est utilisé comme herbicide, mais il est aussi utilisé depuis peu comme agent de dessiccation. Il s’agit de dessécher les récoltes pour récolter une ou deux semaines plus tôt et éliminer des plantes invasives comme les chardons !
Tout le Monde l’a déja constaté : les moteurs fonctionnent d’ailleurs mieux par temps de pluie et idéalement … Lorsqu’il y a du brouillard, Parce que l’air est plus dense !
Si le moteur à eau relève de l’utopie, mélanger ce liquide aux vapeurs d’essence permet de diminuer la consommation et la pollution. Testé sur la M4 GTS forte de 500 chevaux, le système Bosch débarquera sur des BMW plus modestes courant 2019.
Injecter de l’eau dans un moteur pour économiser de l’essence ? On pourrait croire à une plaisanterie si l’affirmation ne recevait la caution de noms aussi prestigieux que ceux du motoriste BMW et de l’équipementier Bosch. De fait, la BMW M4 GTS est la première auto de série au monde à aspirer de la vapeur d’eau en même temps qu’un mélange d’air et d’essence. Oh ! A peine quelques millilitres d’eau par centaine de kilomètres parcourus. C’est suffisant, prétendent les ingénieurs allemands, pour économiser 4 % de carburant et de CO2 en moyenne sur le cycle normalisé WLTP, et davantage en conditions réelles de conduite (jusqu’à 13 %).
Introduit en 2016 sur le modèle le plus puissant et le plus exclusif de la Série 4 (forte de 500 chevaux, la M4 GTS est vendue au prix de 149.900 euros), ce système Waterboost breveté par Robert Bosch GmbH devrait être introduit sur des BMW à diffusion plus large dans le courant de l’année 2019. En effet, le constructeur laisse entendre que l’injection d’eau convient aussi bien à de modestes 3-cylindres qu’à un gros 6-cylindres surpuissant. Tout est question de rendement thermique, de taux de charge et de suralimentation.
Qui l’eût cru ? Une part de l’essence sert à refroidir le moteur
Revenons aux fondamentaux. Pour gagner des chevaux, les motoristes ont recours au compresseur qui sert à gaver le moteur en air et en essence. Résultat, à puissance égale, on peut diminuer la taille du moteur.
Mais comprimer l’air l’échauffe, tant et si bien que l’essence arrive à s’enflammer à son seul contact, sans attendre l’étincelle à la bougie (auto combustion ou cliquetis). Voilà qui fait désordre.
Le remède immédiat consiste à diminuer la pression de suralimentation et le taux de compression du mélange. Mais puissance et rendement thermique s’en ressentent alors. En compétition, les préparateurs ont recours depuis des dizaines d’années à des carburants exotiques, à très fort taux d’octane, dont la vaporisation absorbe davantage de calories que le supercarburant du commerce : méthanol et éthanol.
Il n’était pas question pour BMW d’exiger de ses clients qu’ils abreuvent leur M4 GTS en méthanol ou en éthanol : on n’en trouve pas à la station du coin. Pas question non plus d’abuser de la stratégie qui consiste à injecter un surcroît d’essence pour refroidir les chambres de combustion. Le 6-cylindres 3.0 biturbo de la BMW M4 y a déjà recours (comme nombre de moteurs suralimentés à essence, lorsqu’ils fonctionnent sous forte charge) mais pour passer de 431 chevaux à 500 chevaux, la consommation de carburant et les émissions de CO2 se seraient envolées au-delà du raisonnable.
Refroidir le mélange pour mieux exploiter le turbo
Au lieu de cela, les motoristes de BMW ont essayé puis adopté le système Waterboost de Bosch. L’injection de fines gouttelettes d’eau dans la tubulure d’admission permettrait d’abaisser de 25°C la température du mélange admis, par le simple effet de vaporisation. C’est le même effet qui fait frissonner le baigneur au sortir de la piscine en plein été.
Moins chaud, l’air conserve une densité supérieure qui renforce l’effet de gavage du compresseur qui souffle plus fort de 0,2 bar. En conséquence, le rendement thermique augmente, la consommation diminue, le seuil de cliquetis est repoussé et le point d’allumage peut être avancé. Le cercle vertueux, en somme.
La technique du dopage à l’eau ne sert pas uniquement les fortes puissances. En 2015, BMW avançait des gains significatifs pour son prototype de moteur 3-cylindres 1.5 turbo à essence : consommation en baisse de 8 %, malgré une puissance en hausse de 10 % (218 chevaux). Mieux, le constructeur constatait une réduction sensible des émissions d’oxydes d’azote.
Les amendes CO2 rentabilisent le coût du dopage à l’eau
Face à tous ces avantages, on se demande pourquoi les constructeurs n’ont pas adopté plus tôt le dopage à l’eau, utilisé sur certains moteurs d’avion alimentés au méthanol durant la Seconde Guerre Mondiale.
Comme toujours, la réponse tient en un équilibre délicat entre coût et fiabilité. Le renforcement de la taxation des émissions de CO2 permet de rentabiliser un système tel que le Waterboost de Bosch qui aurait été considéré comme superflu voici encore deux ans. Son surcoût reste difficile à estimer : de l’ordre de quelques centaines d’euros sur la BMW M4 GTS qui emporte un réservoir de cinq litres d’eau et sa pompe dédiée, ainsi que six injecteurs supplémentaires. Fort logiquement, la consommation varie en fonction de l’usage (conduite plus ou moins sportive). Le prix de revient devrait baisser avec la fabrication en série.
Des entreprises font confiance àMoteur.Bzh Eco-Leau, à l’image de COLAS & SCREG T.P. *(filiale du groupe
Bouygues), du groupe AXIMA Réfrigération , ainsi que des Stés de Transports, Taxi, Ambulances, etc… , qui ont déjà adopté le kit pour équiper leur flotte de véhicules et quelques institutions publiques & Mairies …
Montage effectué sur le Site de Screg Heillecourt en 2013 sur un Master : Résultat, plus de 2.5 L de Gain aux 100 KM…
Par ailleurs, certains préparateurs ont vérifié à leurs dépens que l’eau n’est pas compressible : la vaporisation des gouttelettes doit être absolument garantie, au risque de voir l’eau s’accumuler et briser pistons et bielles. La puissance de calcul de l’électronique garantit une finesse dans le dosage qui n’existait pas même en rêve voici dix ans.
On se souviendra que Renault et Daimler, entre autres constructeurs se sont intéressés à l’injection d’eau pour en évaluer l’intérêt. Nul doute que leurs conclusions devront être réévaluées à l’aune du renchérissement du coût des systèmes de dépollution et des malus CO2 qui frappent le consommateur. Sans parler d’une taxation qui pourrait se baser à l’avenir sur les émissions de gaz polluants. Le potentiel de l’injection d’eau intéresse également le constructeur allemand MAN, qui l’adapte à ses gros moteurs Diesel marins.
Moteur Pantone et injection d’eau : pas la même chose
Dans un moteur à combustion interne, les deux tiers de l’énergie contenue dans le carburant sont transformés en chaleur. Une perte que les ingénieurs cherchent aujourd’hui à récupérer pour diminuer les consommations.#Hybride4All Injection de vapeur froide d’eau a l’admission d’air P…
Inventeur américain, Paul Pantone a donné son nom en 1980 au principe qu’il a breveté : exploiter la chaleur du système d’échappement du moteur pour vaporiser un mélange de supercarburant et d’eau (à hauteur de 80 %). On est loin des quelques centilitres qu’injecte le système H4All demoteur.Bzh. Le débat autour du moteur Pantone dure depuis des décennies : certains le considèrent clos, en raison de l’absence d’étude scientifique indépendante venant quantifier les bénéfices vantés (puissance en hausse, diminution de la pollution et de la consommation). D’autres préfèrent se laisser séduire par la théorie fantasque du complot ourdi par les sociétés pétrolières et les motoristes, pour étouffer les mérites du procédé et décourager ceux qui seraient tentés d’investir les sommes considérables que réclamerait son perfectionnement nécessaire.
Les quelques ingénieurs consultés à ce propos par Challenges balaient le procédé du revers. Leur argumentaire se limite à ce constat : l’idée de produire de l’énergie à partir de l’eau est séduisante mais si, finalement, le procédé consomme davantage d’énergie qu’il n’en produit, alors le système est vain. Les ingénieurs parlent d’un bilan énergétique absurde. Sans parler du fait que la température des gaz d’échappement du moteur sont bien inférieures à celles requises par les réactions chimiques invoquées par le système Pantone.
« De l’eau dans le gasoil ? » : de la légende à la réalité !
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Légende urbain, énième intox du « moteur à eau » ou technique trouvant des fondements scientifiques ? En 2008, Patrick Lefrère et Cyril Flouard entendent pour la première fois parler du « dopage à l’eau », technique qui permettrait d’augmenter l’efficacité des moteurs des voitures. Intrigués, les deux réalisateurs ont voulu en avoir le cœur net, multipliant les rencontres avec des inventeurs indépendants, des agriculteurs et des scientifiques aux quatre coins de la France. Les deux compagnons mènent une enquête de fond depuis des bricoleurs passionnés jusqu’aux plus grandes marques de voitures dans le monde, pour répondre à une question aux enjeux économiques et environnementaux importants. Le documentaire , porté par le collectif « Les zooms vert », est en libre accès sur YouTube.
« Réunis par une même volonté de contribuer à une réflexion citoyenne pour réduire l’impact du transport sur l’environnement », Patrick Lefrère et Cyril Flouard n’avaient pas froid aux yeux, lorsqu’ils ont décidé de s’attaquer à « la légende des moteurs à eau », parfois également connue sous l’appellation de « moteur Pantone ». Une fois les fakes et autres théories bidons écartées, on découvre un socle expérimental sérieux mais méconnu. Se pourrait-il qu’en ajoutant un système d’injection d’eau à des moteurs classiques, les rendements d’une voiture soient augmentés et les pollutions diminuées ? Ils veulent en avoir le cœur net.
Une enquête de 4 ans !
Patrick, technicien audiovisuel depuis 2002, a toujours essayé de « faire des films pour que les citioyen.ne.s puissent vivre dan un monde meilleur ». C’est dans le même esprit qu’il s’est lancé dans l’aventure avec Cyril Flouard, également en recherche d’informations sur le sujet. Avec nuance, en toute transparence et avec le soucis de présenter des éléments suffisamment solides pour alimenter leur propos de manière scientifique, les deux réalisateurs nous présentent une enquête aux multiples soubresauts, naviguant adroitement entre théories du complot et intérêts économiques industriels pour tenter d’approcher la vérité.
Au fil des mois, l’équipe se rend progressivement compte que le dopage à eau n’est pas un simple mythe. Une application technologique est possible, ce dont certaines personnes se sont rendues compte il y a déjà bien longtemps : en 1902, un ingénieur nommé Clergé déposait un brevet se fondant sur cette technique, car elle allongerait la durée de vie des moteurs. La clé ? Grâce à l’injection d’eau, la température de combustion du moteur est réduite, sa puissance et son rendement sont augmentés. L’eau ne remplace en aucun cas l’essence, mais son action permet d’augmenter les performances.
Plus récemment, de grandes marques se sont penchées sur la question. C’est ainsi que Renault possède un brevet depuis 2005 et qu’un moteur de Bosch employant cette technique est désormais monté sur la M4 GTS de BMW, une voiture de série de luxe. Bosch prévoit désormais la commercialisation de moteurs de ce type pour des voitures plus petites, estimant que les gains pourraient aller jusqu’à 13%.
Prototypage Bosch.« Questionner la mécanique profonde du monde de l’automobile »
« C’est un système qui marche et qui mérite d’être développé, notamment sur les voitures anciennes, pour limiter la pollutions des véhicules » commente Patrick Lefrère, qui reconnaît que beaucoup de personnes installent mal le système sur leur propre voiture, si bien que les résultats ne sont pas à la hauteur des espérances. Par ailleurs, il estime que l’idée devrait surtout être développée sur les moteurs ayant une charge importante, c’est à dire les tracteurs ou encore les véhicules de chantier. Mais si ce « moteur Pantone » permet bien de réduire de manière significative les émissions de monoxyde de carbone et de dioxyde de carbone, reste à savoir : pourquoi une telle technologie est-elle restée au placard si longtemps, et ne connaît qu’un regain d’intérêt si tardivement ?
Patrick Lefrère en est convaincu : « L’industrie ne cherche pas à faire des voitures performantes d’un point de vu environnemental.Cette industrie, explique t-il, est un mélange d’intérêts économiques, géopolitiques, et technologiques. À l’heure actuelle nous pourrions faire des voitures pouvant rouler avec 1 litre au 100 kilomètres. Mais aujourd’hui, on cherche à faire des voitures puissantes, confortables, sécurisées et avec beaucoup de gadgets et ça, ca consomme », lance t-il encore. Pas de complot donc, mais de simples logiques commerciales dans un monde capitaliste. Alors, faut-il, comme le suggère le réalisateur, « un débat citoyen et politique autour du sujet » ?
L’entreprise écossaise Celtic Renewables a mis au point un système de fermentation permettant de produire du Biobutanol, un biocarburant issu des résidus de la production du whisky. Pour ce faire, elle a utilisé des grains d’orge riches en sucre (draffe), utilisés dans la fermentation pour produire le whisky, et du liquide de levure issu de la fermentation (pot-ale). Le Biobutanol développé offre 25 % plus d’énergie en plus dans un litre, comparativement aux biocarburants classiques. L’entreprise est parvenue à faire rouler une Ford Fiesta avec le Biobutanol, et ce, sans apporter aucune modification au moteur de la voiture.
Source
BFM TV
Langue
Français
Carburant: Cette startup veut faire rouler les voitures au whisky
AUTOMOBILELes matières premières utilisées dans la fermentation du whisky peuvent produire un biocarburant particulièrement efficace…
20 Minutes avec agence
Celtic Renewables, une start-up basée en Écosse, a une solution pour se passer des carburants fossiles.
La société spécialisée dans les biocarburants a fait rouler début juillet une voiture au Biobutanol, un carburant issu de résidus de la production du whisky, a rapporté lundi BFM.
Ce biocarburant durable « est produit à partir du « draff », les grains d’orge riches en sucre utilisés dans la fermentation pour produire le whisky, et du « pot-ale », le liquide de levure issu de la fermentation », indique la startup sur son site.
Fondée en 2011 après quelques années de recherches, Celtic Renewables est parvenue à obtenir un carburant transparent qui peut remplacer directement l’essence ou le gazole.
Pour réaliser son expérience, l’équipe a rempli le réservoir d’une Ford Fiesta avec son biocarburant.
Plus efficace que les autres biocarburants
« C’est la première fois dans l’histoire qu’une voiture roule avec un biocarburant issu des résidus de la production du whisky », a expliqué Martin Tangney, chimiste et fondateur de Celtic Renewables.
En plus d’éviter de consommer un carburant issu du pétrole, le Biobutanol a l’avantage de fournir 25 % d’énergie en plus dans un litre que d’autres biocarburants. Un plein de Biobutanol permettrait donc de rouler plus longtemps.
Commercialisation espérée en 2019
Avec 750.000 tonnes de draff et 2 milliards de litres de pot-ale produits chaque année par l’industrie écossaise du whisky, les capacités de production sont particulièrement importantes, relève BFM.
Celtic Renewables peut espérer produire son biocarburant dans tous les pays distillant du whisky, au Royaume-Uni mais aussi au Japon. La start-up envisage de le commercialiser à partir de 2019
Vider une carafe dans le réservoir vous enverra direct au garage. Par contre, ajouter ce kit injectant de l’eau de pluie pourrait réduire la consommation et la pollution de votre voiture. Soudain, on regarde les nuages autrement…
Rain man.En général dans les titres de la presse, la Bretagne est plus souvent accolée à des problèmes de boisson que des solutions aqueuses. Pourtant, voilà deux fois que le journaliste du Télégramme rencontre Marc Renaudin, un Breton qui a installé le kit Eco-l’eau (ça ne s’invente pas) sur sa voiture, pour vérifier que tout va bien. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le sexagénaire propriétaire d’une routière de 138CV est ravi des économies :
depuis qu’il a installé cet injecteur d’eau, il y a presque trois ans, il gagne 300 km à chaque plein.
Avant le kit, il parcourait 800 kilomètres en sortant d’une station contre 1200 aujourd’hui. Pas besoin de calculatrice : le kit, vendu 480 €, est largement remboursé.
25% d’essence économisée. Et c’est parfaitement légal, confirme la PME Moteur.Bzh qui fabrique ce kit et développe le système depuis 2012. « Il s’agit en fait d’apporter de l’eau sous forme pulvérisée pour améliorer le rendement du moteur », résumait-il au Figaro. Enfilez votre bleu de chauffe, voici les explications : un collecteur fixé au collecteur d’échappement est relié au réservoir d’une capacité d’un litre (eau de pluie ou déminéralisée), tandis que le diffuseur est relié à la prise d’air. Ainsi, l’air humidifié est aspiré par le réacteur avant son injection dans le moteur. La combustion reçoit plus d’oxygène, améliorant le débit de carburant injecté. En bout de ligne, le contrôle technique confirme qu’il pollue moins et chaque arrêt à la pompe confirme qu’il consomme 25% en moins.25% d’essence économisée.
Prix du carburant: une association invite les automobilistes à envoyer leur ticket de caisse à l’Élysée
La hausse confirmée des taxes sur le carburant en 2019 incite l’association « 40 millions d’automobilistes » à lancer une pétition. Les conducteurs sont invités, après leur passage à la pompe, à envoyer leur ticket de caisse à l’Élysée, en franchise de courrier.
La hausse continue de la fiscalité sur les carburants couplée à celle du prix du pétrole brut, passe de plus en plus mal dans la population. Une association d’automobilistes lance l’opération « coût de pompe ». Elle demandant au gouvernement « d’appliquer un taux réduit de TVA sur les carburants routiers et d’abaisser le montant de la TICPE aux niveaux des minima applicables en Europe sur décision du Conseil de l’Union européenne, soit 0,359 €/L d’essence (au lieu de 0,6829 €/L actuellement) et 0,33 €/L de gazole (contre 0,594 €/L). »
« Cette très forte évolution à la hausse des prix de nos carburants est due principalement à l’augmentation démesurée du montant des taxes pesant sur les produits pétroliers, qui représentent aujourd’hui 60 à 65% du prix total d’un litre de carburant, soit environ 0,95€ pour un litre de SP 95 et 0,84€ pour un litre de gazole » explique l’association « 40 millions d’automobilistes », à l’origine de cette opération.
Elle suggère en plus, pour soutenir ces propositions, aux automobilistes de télécharger un courrier standard sur son site Internet et d’y joindre leur ticket de carburant et d’adresser le tout au Président de la République. « L’envoi d’un courrier au Président de la République ne nécessite aucun affranchissement », rappelle malicieusement l’association.
Diesel : Élisabeth Borne confirme une hausse de 7 centimes
La ministre des Transports a par ailleurs indiqué que la taxe sur l’essence augmentera aussi de 4 centimes.
PUBLIÉ LE 17/09/2018 À 12:42
Améliorer le pouvoir d’achat, voici la priorité des Français. Dans une enquête Kantar Sofres-Onepoint, pour RTL, Le Figaro, LCI, 55% des personnes sondées en font leur attente principale, devant la « baisse du chômage » (40%) et la « diminution des impôts et des charges » (39%).
Concernant la hausse des prix du carburant, Élisabeth Borne a confirmé que « le gouvernement a annoncé une trajectoire carbone, pour tenir compte de la pollution et donc il y a une trajectoire qui a été annoncée ». La ministre des Transports concède ensuite sur BFMTV qu' »effectivement, ça va continuer à augmenter. Ce sera discuté dans le cadre du projet de loi de finances ». La taxe sur le diesel augmentera de 7 centimes et celle sur l’essence de 4 centimes.