une riche idée qui tombe à l’eau ?

Le moteur H2O : une riche idée qui tombe à l’eau ?

  • par Eco Leau
  • 28 févr., 2018

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Le moteur H2O : une riche idée qui tombe à l’eau ?

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La Rédaction

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7 février 2017

  

Le monde va très vite et pour y parvenir, il roule en voiture ! On consomme, on achète, on produit, on consomme encore, et on pollue beaucoup ; on pollue beaucoup plus, on pollue beaucoup trop.

Les problèmes que pose la quantité phénoménale de particules fines recrachée par nos véhicules à la planète et à la santé des êtres humains sont nombreux. Au moins aussi nombreux que les réponses que l’on cherche à y apporter.

La situation étant grave on voit fleurir, un peu partout dans le monde de l’automobile, des concepts nouveaux. Des concepts de moteur propre. Propre comme ça. Enfin, notamment. Et puis un concept, qui se différencie des autres. Peut-être parce qu’il est trop formidable pour ne pas laisser perplexe. Ou peut-être parce que les sceptiques vis-à-vis de lui ont raison de l’être.

Ou peut-être encore parce qu’on pressent un changement prochain dans la politique des grands constructeurs… un renoncement à la suprématie du pétrole… Quoi qu’il en soit, ce concept vraiment particulier, c’est le moteur à eau.

Le cas fabien Lecler

En 2006, on a vaguement entendu parler d’un obscur personnage, un certain monsieur Lecler, qui aurait inventé un moteur pour voiture entièrement propre. En fait, il avait littéralement trouvé le moyen de fabriquer par lui-même une sorte de moteur à eau, en de nombreux points similaires à un autre moteur, aujourd’hui bien fonctionnel et commercialisé : le moteur à hydrogène.

Ironie du sort, le premier modèle de voiture de série fonctionnant à l’hydrogène a été révélé au grand public en… 2006 !

On peut donc dire que pour un homme seul, développer une technologie en même temps qu’une entreprise toute entière (la voiture était une BMW) tient de rien de moins que du tour de force !

Cependant – et c’est là une bonne occasion de s’interroger quant aux vrais atouts du fonctionnement à l’hydrogène – cet espèce de moteur à l’eau miracle doit impérativement produire du dihydrogène afin de pouvoir s’associer au dioxygène et recracher de l’eau à la place des habituels résidus d’essence ou de diesel.

Or, le dihydrogène doit être produit par une source d’énergie indépendante du moteur à hydrogène per se. Et cette énergie… elle pollue ! Par conséquent, remplacez toutes les voitures du monde roulant encore à l’essence à ce jour, par des voitures à hydrogène, et vous obtenez un taux de pollution sensiblement plus élevé qu’il ne l’est déjà ! On est donc loin du compte.

Le dopage à l’eau, une vérité vraie

Non seulement il existe, mais en plus son procédé est connu depuis la fin du XIXème siècle ! Le moteur à eau s’est retrouvé dans les systèmes d’injection du Messerschmitt B-109. On a même commercialisé des kits d’injection propre dans les années 1970 et 1980 ! Quoi qu’il en soit, la nécessité de réduire la consommation et la pollution n’était à l’époque pas aussi apparente qu’aujourd’hui.

Il a donc fallu attendre qu’un homme isolé, comme Fabien lecler avant lui, cherche une solution tout seul, sans l’aide des grands constructeurs pressés par les lobbys pétroliers à continuer de faire tourner à l’essence le moindre moteur.

Le principe est simple : on ajoute de l’eau à l’Admission par un procédé qui vous sera expliqué en profondeur sur ce site. On réduit ainsi drastiquement la consommation, mais aussi la pollution. Le hic, c’est que pour qu’une commercialisation efficace de cette nouvelle méthode – pour le coup vraiment miraculeuse – soit envisageable, il faudrait compter sur une augmentation drastique du prix de l’essence.

Car un prix stable pousserait simplement les gens à utiliser leur voiture plus. Ils dépenseraient le même prix qu’avant, pour le double voire le triple du trajet. Une affaire qui reste à suivre … A Savoir Que la Solution est d’ores et déjà commercialisée Chez BG Moteur en Bretagne !

Les solutions sont sur la table…

AVENIR  Les solutions sont sur la table…

Nicolas Raffin

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La sécheresse a été particulièrement sévère dans plusieurs régions de France cet été. Ici, à Saint-André de Corcy, dans l'Ain.
La sécheresse a été particulièrement sévère dans plusieurs régions de France cet été. Ici, à Saint-André de Corcy, dans l’Ain. — KONRAD K./SIPA
  • Le rapport du Giec est publié ce lundi.
  • Il prône une limitation stricte des émissions de gaz à effet de serre.
  • Les ONG rappellent que le choix appartient désormais aux décideurs politiques.

Il est très attendu ce lundi, et il sera sûrement commenté partout dans le monde. Non, il ne s’agit pas du remaniement ministériel, mais bien du rapport du Giec (Groupe des experts du climat). Sa principale conclusion est déjà largement connue : pour éviter des impacts majeurs sur l’humanité, le réchauffement climatique devrait être contenu à +1,5 °C au maximum.

Pour l’instant, on en est encore très loin. « Au rythme actuel, le seuil des +2°C sera dépassé vers 2075, rappelait la semaine dernière Pierre Cannet, responsable du programme climat et villes durables WWF France. Le cinquième rapport d’évaluation du Giec [publié en 2014] avait été très clair sur le fait que ce +2°C était un point de non-retour climatique. »

Le nouveau rapport de cette année doit donc inciter les gouvernements à agir, d’autant plus qu’ils en ont approuvé le contenu ce samedi, lors d’une réunion à huis clos en Corée du Sud. « Maintenant qu’il est adopté, [les Etats] doivent se l’approprier » a jugé Jennifer Morgan, la directrice de de Greenpeace International. « Aujourd’hui, nous regardons la maison brûler, appuie Maxime Combes, porte-parole de l’association Attac. Plus personne ne peut dire qu’il manque des données. »

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Mettre le paquet sur la rénovation thermique

En France, les associations regroupées dans le Réseau action climat attendent désormais des gestes significatifs du gouvernement. « Le premier moyen d’action pour limiter les émissions de gaz à effet de serre, c’est la rénovation énergétique, explique Célia Gautier, chargée de projet climat-énergie à la Fondation pour la nature et l’homme (FNH)

Le dopage à l’eau, une vérité vraie

Non seulement il existe, mais en plus son procédé est connu depuis la fin du XIXème siècle ! Le moteur à eau s’est retrouvé dans les systèmes d’injection du Messerschmitt B-109. On a même commercialisé des kits d’injection propre dans les années 1970 et 1980 ! Quoi qu’il en soit, la nécessité de réduire la consommation et la pollution n’était à l’époque pas aussi apparente qu’aujourd’hui.

Il a donc fallu attendre qu’un homme isolé, comme Fabien lecler avant lui, cherche une solution tout seul, sans l’aide des grands constructeurs pressés par les lobbys pétroliers à continuer de faire tourner à l’essence le moindre moteur.

Le principe est simple : on ajoute de l’eau à l’Admission par un procédé qui vous sera expliqué en profondeur sur ce site. On réduit ainsi drastiquement la consommation, mais aussi la pollution. Le hic, c’est que pour qu’une commercialisation efficace de cette nouvelle méthode – pour le coup vraiment miraculeuse – soit envisageable, il faudrait compter sur une augmentation drastique du prix de l’essence.


Car un prix stable pousserait simplement les gens à utiliser leur voiture plus. Ils dépenseraient le même prix qu’avant, pour le double voire le triple du trajet. Une affaire qui reste à suivre … A Savoir Que la Solution est d’ores et déjà commercialisée Chez BG Moteur en Bretagne !

 

chute d’une dizaine de mètres en vidéo

Chute d’une voiture devant un garage (Atlanta)


 

Lundi dernier à Atlanta, dans l’État de Géorgie, un automobiliste de 63 ans a perdu le contrôle de sa voiture qui est allée percuter un muret avant de faire une chute d’une dizaine de mètres de hauteur pour atterrir sur le toit devant un garage. L’homme n’a été que légèrement blessé.


« L’hybride pour tous » de Valeo enfin de sortie

« L’hybride pour tous » de Valeo enfin de sortie


Cliquez sur l’image pour voir la vidéo


Le Mondial de l’Automobile a pris une telle coloration première monte que les équipementiers qui choisissent d’y installer un stand sont de plus en plus rares. Mais en vertu de sa position de « leader » dans l’OEM également, Valeo ne s’est pas privé de s’installer à trois mètres de l’énorme espace dévolu à Renault. On est français ou on ne l’est pas ! L’événement a donc permis à Valeo de dévoiler au grand public un système qui a beaucoup fait parler de lui au mois de juillet dernier : « l’hybride pour tous ». Certes, le produit n’était pas présent « en chair et en os », pour ainsi dire, mais vidéo et visuels permettaient aux visiteurs de saisir son fonctionnement.

Définitivement première monte
L’annonce exclusive d’Europe 1 en juillet dernier a suscité un enthousiasme bien passager, car l’Hybrid4All, de son nom officiel, ne pourra pas être adapté à loisir par l’automobiliste en post-équipement. Il s’agit, définitivement, d’un produit première monte, d’où sa présentation, fort logiquement, lors du Mondial plutôt qu’au salon Automechanika de Francfort au mois de septembre.


Optimisé pour s’intégrer aux petits véhicules (segments A, B et C), l’Hybrid4All se compose d’un petit moteur électrique, d’un convertisseur courant alternatif/courant continu, d’une unité de supervision de chaîne de traction et de contrôle moteur, d’une batterie 48 volts et d’un onduleur.

Comme une « full hybrid »
Le tout apporte l’ensemble des prestations attendues d’un véhicule « full hybrid ». Par récupération d’énergie cinétique au freinage, le moteur électrique recharge la batterie progressivement durant la conduite.


Ce petit moteur offre également un complément de couple au moteur thermique au démarrage et à l’accélération. Lorsque la batterie est pleine et que la puissance nécessaire au déplacement se réduit, la voiture équipée peut rouler «tout électrique». Le système dispose également d’un mode Génération, destiné à améliorer le rendement global de la chaîne de traction par une recharge forcée de la batterie.

Cette recette « miracle » permet de réduire jusqu’à 15% les émissions de C02 et d’optimiser le coût au gramme de C02.

Faites attention, Nos conseils

Attention  – les vols par ruse se multiplient


Attention aux faux policiers, faux couvreurs et faux agents des eaux – les vols par ruse se multiplient

Faites attention aux vols par ruse : ne laissez jamais entrer un inconnu chez vous, même s’il porte un uniforme de policier. Le commissariat de police d’Arras prévient que ce phénomène est récurrent chaque année à cette époque, ce qui est le cas encore une fois depuis plusieurs jours.

Regardez la vidéo pour découvrir comment les voleurs agissent :

 




Ils se présentent comme faux couvreurs – comme ceux qui ont réussi à voler 1 500 € à une dame de 90 ans à Arras le 27 septembre – faux banquiers, faux agents des eaux ou encore faux policiers. Ils ciblent généralement les personnes âgées dans le but de leur voler argent ou bijoux.

Ils utilisent la ruse pour entrer chez vous, puis détourner votre attention et vous voler. Demandez-leur une carte professionnelle avant de les faire entrer, posez-leur des questions, et n’hésitez pas à appeler la police ou la gendarmerie en composant le 17 si vous avez le moindre doute

C’est confirmé pour la conspiration des « chemtrails »

De quoi sont composés les chemtrails ?

Crédits : Wikimedia Commons / Adrian Pingstone Arpingstone

Beaucoup pensent que les contrails (ce que les complotistes nomment chemtrails) sont en réalité des nuages ​​de produits chimiques utilisés par les gouvernements pour contrôler les populations. Mais que sont en réalité les chemtrails ? Sont-ils aussi néfastes pour la santé que prétendus ?


Les chemtrails (traînées chimiques) sont les traînées blanches que vous voyez derrière un avion. Les théoriciens du complot pensent que les fumées d’un avion devraient normalement se dissiper rapidement. Or ce n’est pas le cas : ces traînées seraient ainsi en réalité des nuages ​​de produits chimiques disséminés par les gouvernements dans le but de faciliter le contrôle des populations. S’interrogeant sur ces affirmations partagées en masse sur Internet, un groupe de 77 experts en science atmosphérique publiait il y a quelques mois un rapport dans la revue Environmental Research Letters, examinant de près la composition de ces traînées.




Parmi ces 77 scientifiques, 76 (98,7 %) ont déclaré n’avoir trouvé aucune preuve d’un “programme atmosphérique à grande échelle”, rapportant au lieu de ça que “les données citées comme preuves [pour un tel programme] pourraient être expliquées par d’autres facteurs, y compris la physique et la chimie bien connues associées aux aéronefs”. En d’autres termes, ces traînées seraient tout à fait normales.


Qu’en est-il alors de ces traînées ? Il s’agit en fait de nuages ​​de condensation. Tout simplement, de la vapeur d’eau se condense en effet lorsque les gaz d’échappement (hydrocarbures) sont expulsés par les avions. Une partie de l’hydrogène expulsée se combine avec l’oxygène ambiant pour former des molécules d’H2O (de l’eau). Il se passe un peu la même chose lorsque vous démarrez le moteur de votre voiture ou respirez par temps très froid.


Pour repérer les chemtrails, rien de plus facile : les traînées blanches se dissiperaient beaucoup plus lentement que les traînées de vapeur classiques libérées par les avions.

Pour les chercheurs interrogés dans l’étude, cependant, l’explication réside dans deux facteurs beaucoup plus logiques : l’augmentation du trafic aérien, qui multiplie de facto le nombre de traces blanches dans le ciel, et le réchauffement climatique, qui pourrait jouer dans la persistance accrue de ces phénomènes. Mais aussi solide que soit la méthode de l’étude, ses auteurs ne se font pas d’illusions : elle ne convaincra pas les partisans de la conspiration.

« Je trouve qu’il était important de donner une bonne fois pour toutes l’avis des experts en contrails et aérosols, a déclaré Ken Caldeira, coauteur de l’étude, à Science DailyOn n’arrivera peut-être pas à convaincre les plus fervents adeptes que leur programme d’épandage adoré n’est qu’un fantasme paranoïaque, mais avec de la chance, leurs amis accepteront les faits. »

deux mariages… 70 PV 

Annecy : les débordements de deux mariages communautaires conduisent la police à dresser 70 PV !


Deux mariages communautaires célébrés la semaine dernière à Annecy ont donné lieu à de très nombreux procès-verbaux liés à la pagaille qui s’était invitée dans les rues de la ville.

Le 29 septembre, deux mariages célébrés au sein de la communauté turque d’Annecy ont généré de nombreux débordements dans le centre-ville. Voitures sur les trottoirs, circulation à contre-sens, refus de priorité, feux rouges grillés, utilisation de fumigènes, la liste des infractions est longue !

Des incivilités qui ont donné du travail aux policiers.

« Ce jour-là, nous avons reçu énormément d’appels de la part de piétons ou de conducteurs excédés par ces comportements », a rapporté un responsable du commissariat d’Annecy aux journalistes de France Bleu.


Du fait du nombre élevé des invités (plus de 300 pour les deux cérémonies), les agents n’ont pas sorti tout de suite leur carnet de PV.

« Nous ne voulions pas prendre le risque que cela dégénère », a expliqué un policier.

L’Essor Savoyard@lessorsavoyard

Deux cortèges de mariage sèment la pagaille en centre-ville. Résultat : 70 PV pour infractions au code de la route et un total 11765 euros d’amende ! —> http://www.lessorsavoyard.fr/a-la-une-l-essor-savoyard/annecy-deux-corteges-de-mariage-sement-la-pagaille-et-ia919b0n205073 

Les forces de l’ordre se sont appuyées sur les images de vidéosurveillance de la ville pour identifier les auteurs des infractions et verbaliser une cinquantaine de fautifs.


« Grâce au travail effectué avec le Centre de coopération policière et douanière nous avons même retrouvé ceux qui avaient loué leur voiture en Suisse », indique un enquêteur.

Plus de 70 infractions ont finalement été enregistrées par les policiers qui ont infligé près de 12 000 euros d’amende et retiré 72 points sur les permis de conduire des contrevenants.

« La joie et la liesse qui entourent ces événements ne permettent pas de faire n’importe quoi sur la route », rappellent les responsables du commissariat d’Annecy.


MOTEUR EAU

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Le système a été doublement médaillé du concours Léonard de VINCI 2013 de La Fédération Française des Inventeurs [🇫🇷 &
Concours des meilleures inventions françaises 🇫🇷]

Rouler à l'eau pour économiser du Carburant

un dispositif qui diminue la consommation de carburant grâce à l'injection de vapeur d'eau dans le moteur. Les ventes explosent. Plus d'info sur HTTPS://HybrideAeau.fr

Publiée par Moteur Eau sur Jeudi 6 décembre 2018

Une méthode efficace à 100 %

Comment échapper aux radars ?


Vos points se comptent sur les doigts d’une main ? Éviter les radars est pour vous une question cruciale ? Outre vous comporter de façon exemplaire sur la route, voici quelques pistes pour vous aider à conserver votre permis.

radars

Il en existe différents modèles et leur technique évolue chaque année. Les radars de dernière génération ne sont pas plus grands qu’une grosse paire de jumelles. Ils calculent la vitesse, photographient le véhicule mais aussi le conducteur en un clin d’œil et transmettent le tout sans délai. Du coup, ils sont capables d’enregistrer tout type d’infraction (excès de vitesse mais aussi ceinture oubliée, téléphone au volant). Enfin, ils prennent de vitesse un détecteur de radar… On fait quoi ?

Faites preuve de bon sens :

Les représentants des forces de l’ordre n’ont pas de temps ni d’argent à perdre. Il faut bien rentabiliser le matériel. Aussi vont-ils disposer les radars à des endroits stratégiques, dans le but de « piéger » un maximum de mauvais conducteurs. À nous de réfléchir et d’estimer la probabilité de trouver des radars à tel ou tel endroit sur les routes. Eh oui, le meilleur détecteur, c’est encore vous !


Autres critères à prendre en compte, la météo, l’heure, la date… En effet, en cas de pluie intense ou de période caniculaire, les risques sont moindres. À la tombée du jour et de nuit, la présence policière se calme aussi, même si les véhicules de police banalisés sont aujourd’hui équipés de radars discrètement cachés derrière la plaque minéralogique et fonctionnent parfaitement de jour comme de nuit. Enfin, les périodes de grands départs en vacances doivent nous faire redoubler de vigilance.

Méfiez-vous de certaines zones stratégiques :


Sur l’autoroute, on ralentit à l’approche des ponts, des aires de parking et des péages.

En ville, on roule cool à l’entrée de souterrains, le long des parcs et jardins, vers les abribus et évidemment sur les grands axes périphériques où les caches sont nombreuses et les excès de vitesse encore plus.

Sur les nationales et les départementales, on surveille les zones situées après une côte et en bas des descentes mais aussi les intersections et tous les endroits où le camouflage est possible (bosquets, renfoncements, bâtiments).

On se renseigne aussi sur les habitudes des forces de l’ordre auprès des locaux. Ils se feront un plaisir de vous indiquer les coins stratégiques.

En outre, de manière générale, méfiez-vous des véhicules arrêtés sur le bas-côté, à droite en particulier, il peut s’agir de voiture photo.

Limitez les dégâts :


Si vous avez été flashé par un radar mobile, vous pouvez peut-être échapper à la sanction ou en diminuer les conséquences. Arrêtez-vous dès que possible après l’infraction, sur le bas-côté ou en tout début d’aire d’autoroute. Garez-vous, faites semblant de dormir et patientez au moins 5 minutes.

Le radar enregistre les infractions les unes après les autres et les communique à la brigade chargée, quelques centaines de mètres plus loin, d’intercepter les véhicules. Il se peut que vous disparaissiez de la liste assez rapidement si le trafic est dense et que les infractions sont nombreuses. Vous repartez ensuite tranquillement, en croisant les doigts…

Prenez la précaution de rouler le pare-brise baissé, cela altère parfois la visibilité du visage sur les photos. Les plus roublards changeront leur apparence lors des longs trajets. Lunettes de soleil, casquette… Difficile pour la police de vous identifier clairement. Vous n’échapperez pas à l’amende — puis qu’il s’agit de votre voiture — mais vous ne perdrez pas de point.

Et les antiradars ?


Ces systèmes de détection embarqués sont aujourd’hui appelés : « assistant d’aide à la conduite ». Ils doivent strictement se limiter à avertir le conducteur qu’il entre dans une zone à risque (les automobilistes eux-mêmes alimentent les données en signalant la présence de « zones à risque » croisées sur leur route). Les autres détecteurs, indiquant le point précis de présence d’un radar, tout comme les brouilleurs, sont désormais interdits et leur usage est lourdement sanctionné.

Rappelez-vous que le meilleur moyen d’éviter les radars, amendes et retraits de point reste encore de respecter les limitations de vitesse. Une méthode efficace à 100 % !

Les gendarmes dévoilent trois astuces imparables

 

RADARS

Radars. Les gendarmes dévoilent trois astuces imparables pour éviter l’amende


Comment échapper systématiquement aux amendes pour excès de vitesse ? Les gendarmes de l'Oise ont la réponse.
Comment échapper systématiquement aux amendes pour excès de vitesse ? Les gendarmes de l’Oise ont la réponse. | MARC OLLIVIER – OUEST FRANCE

Elle risquait une amende

Bretagne : une agricultrice sommée de retirer un panneau indiquant l’adresse de sa ferme où elle fait de la vente directe

Une productrice de légumes et de tisanes bio établie à Cast, dans le Finistère, a été obligée de retirer le panneau situé en bord de route qui indiquait l’emplacement de sa ferme. Elle risquait une amende de 7500 euros.

 

À la tête d’une petite ferme bretonne spécialisée dans la production d’herbes, de légumes et de tisanes biologiques, Maelenn Lastennet avait installé des panneaux le long de la route pour indiquer l’emplacement de son exploitation où elle fait de la vente directe.

Une initiative allant à l’encontre de la loi Grenelle votée en 2015 qui interdit les panneaux publicitaires hors des agglomérations et dans les communes de moins de 10 000 habitants au nom de la lutte contre la pollution visuelle.


Dans un post publié sur la page Facebook dédiée à sa petite entreprise, Maelenn Lastennet a expliqué avoir reçu « un sympathique mail » la menaçant d’une amende 7500 euros si elle ne retirait pas son panneau.

Un message que ne comprend pas la jeune femme qui dénonce une différence de traitement :

« Quel beau soutien des petits producteurs qui veulent faire de la vente directe ! », s’est-elle indignée avant de poursuivre :


« Par contre si vous cherchez la direction du Leclerc, Super U ou McDonald, pas de problème, ils sont toujours en place (et 10 fois plus grand que les miens) ! »

L’interdiction des panneaux publicitaires – aussi appelés pré-enseignes – est régulièrement dénoncée par les petits commerçants ou les exploitants agricoles pratiquant la vente directe à la ferme.